Pierre Prévost rencontre Georges Bataille en 1937. Pendant dix ans ils chemineront proches l’un de l’autre. Un témoignage vivant. Le Collège de sociologie, la revue Acéphale, l’expérience intérieure, la création et le lancement de Critique.De leurs rencontres à la Bibliothèque nationale et à la brasserie Lipp, de leurs échanges de correspondance et des notes prises par Pierre Prévost au jour le jour, une approche directe de Bataille.

Pierre Prévost rencontre Georges Bataille

C'est au milieu des années 1990 que le projet 1,2,3 GO ! voyait le jour, grâce à l'initiative de Centraide du Grand Montréal. Dans six communautés de la région, des citoyens, des élus et des intervenants d'organismes publics, communautaires et privés ont formé un consortium dont le but est de promouvoir le développement et le mieux-être des jeunes enfants, cela en leur assurant des environnements sains, sécuritaires, stimulants et solidaires. Depuis, d'autres communautés ont emboîté le pas et mis en oeuvre des stratégies d'action susceptibles de produire des changements dans les différentes sphères individuelles et collectives de leur communauté, allant de la subvention aux besoins alimentaires et matériels à l'élaboration des politiques familiales de leur municipalité. Miser sur l'engagement des membres d'une communauté : voilà le pari lancé il y a quinze ans par le projet 1,2,3 GO ! Aujourd'hui, il importe non seulement de documenter les réalisations accomplies et d'en faire le bilan, mais aussi de témoigner des réflexions qui ont émergé de cet espace de dialogue entre recherche et pratique. C'est ce que font les auteurs dans cet ouvrage unique qui intéressera tous ceux et celles participant au développement de la petite enfance et à la mobilisation des communautés.

Le projet 1, 2, 3 GO ! Place au dialogue - Quinze ans de mobilisation autour des tout-petits et de leur famille

L'homme d'aujourd'hui est désorienté, incapable de prendre une décision claire. Regroupé clans d'immenses concentrations urbaines, il se trouve paradoxalement isolé, individu perdu dans la foule. Souvent sans famille naturelle, il recherchera une cellule conviviale.L'homme est un solitaire-social. Mais les communautés, églises, sociétés de pensée, monde de l'économie, monde rural, systèmes d'éducation, partis politiques, qui forment les structures de la civilisation moderne, sont en crise profonde. On comprend alors que cette masse d'êtres humains désorientés se tournent vers les sectes. Celles-ci foisonnent. Aux Etats-Unis on en compte plusieurs milliers, en France plusieurs centaines.Les objectifs annoncés sont de grande valeur : la Paix et la Fraternité, un Monde Nouveau à construire, la secte le moyen initial... L'auteur dénonce ces pseudo-initiations. puis les errements de la pensée moderne et les limites des penseurs officiels et les "progrès" des savants d'une science sans conscience. S'appuyant sur le concept d'infini, l'auteur développe la métaphysique à partir du langage traditionnel des symboles, forme de pensée synthétique susceptible de modifier de fond en comble le milieu social humain et de provoquer un renouveau spirituel.

La spiritualité et ses parodies modernes

L'homme d'aujourd'hui est désorienté, incapable de prendre une décision claire.
Regroupé clans d'immenses concentrations urbaines, il se trouve paradoxalement isolé, individu perdu dans la foule. Souvent sans famille naturelle, il recherchera une cellule conviviale. L'homme est un solitaire-social. Mais les communautés, églises, sociétés de pensée, monde de l'économie, monde rural, systèmes d'éducation, partis politiques, qui forment les structures de la civilisation moderne, sont en crise profonde.
On comprend alors que cette masse d'êtres humains désorientés se tournent vers les sectes. Celles-ci foisonnent. Aux Etats-Unis on en compte plusieurs milliers, en France plusieurs centaines. Les objectifs annoncés sont de grande valeur : la Paix et la Fraternité, un Monde Nouveau à construire, la secte le moyen initial... L'auteur dénonce ces pseudo-initiations. puis les errements de la pensée moderne et les limites des penseurs officiels et les " progrès " des savants d'une science sans conscience.
S'appuyant sur le concept d'infini, l'auteur développe la métaphysique à partir du langage traditionnel des symboles, forme de pensée synthétique susceptible de modifier de fond en comble le milieu social humain et de provoquer un renouveau spirituel.

Le rapprochement des deux noms, Bataille et Guénon, peut sembler insolite, scandaleux même, pour certains. L’auteur de ce livre, qui a bien connu Bataille (il a participé à la fondation de la revue Critique) montre cependant que l’un et l’autre, chacun à sa manière, tracent la voie pour celui qui recherche l’expérience illuminatrice avec la volonté d’être pour agir. Ces deux hommes, si différents, ont voué leur vie à un même grand dessein : susciter une nouvelle élite.Contemporains, tous deux font une critique virulente du monde et recherchent sans cesse de nouvelles formes de pensée fondées sur une expérience intérieure non rationnelle. Certes, ils partent l’un et l’autre de points de vue différents. Georges Bataille s’intéresse aux multiples formes de l’activité de l’homme et de son comportement. Contemplatif mais soucieux d’action, il appuie sa quête sur l’Expérience intérieure qui donnera son titre au premier livre publié sous son nom. À l’expérience mystique, René Guénon oppose l’expérience initiatique.La première partie de l’ouvrage de Pierre Prévost est consacrée au livre de Georges Bataille. Dans la seconde, seuls ont été retenus les ouvrages de René Guénon traitant de l’Occident, non d’un simple point de vue critique, mais afin d’aider à répondre à l’interrogation de Bataille sur l’énigme posée à l’homme par sa présence dans l’univers.Titre de la couverture : Georges Bataille & René Guénon : L’expérience souveraine ; faux-titre : De Georges Bataille à René Guénon ou l’expérience souveraine ; page de titre : Georges Bataille, René Guénon : L’expérience souveraine.

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