Pour elles, des hommes se sont battus, d'autres sont morts, d'autres encore sont devenus fous. Pour elles, ils marchaient durant des mois et parfois durant des années à travers l'Afrique, de Zanzibar au Tanganyika, de Gondokoro aux Monts de la lune, dans l'espoir d'être les premiers à les voir. Espoir vain, puisque les sources du Nil n'existent pas... En tout cas, pas comme ils le croyaient. Aucun roman d'aventures, aucun film à grand spectacle ne peut égaler les carnets de voyage de ces explorateurs qui tous avaient quelque chose des chevaliers de la quête du Graal. Voici leurs plus belles pages. Elles racontent la traversée des savanes écrasées de soleil, le bivouac autour d'un feu, la rencontre avec les chefs africains et les chasseurs d'esclaves, les rivières en crue et les murailles de terre, les échos de la brousse, les vagues immenses des troupeaux de gnous... Les sources du Nil ou l'Aventure absolue.

Le Nil - Aux sources du mystère

The Baital-Pachisi, or Twenty-five Tales of a Baital is the history of a huge Bat, Vampire, or Evil Spirit which inhabited and animated dead bodies. It is an old, and thoroughly Hindu, Legend composed in Sanskrit, and is the germ which culminated in the Arabian Nights, and which inspired the "Golden Ass" of Apuleius, Boccacio's "Decamerone, " the "Pentamerone, " and all that class of facetious fictitious literature.

The story turns chiefly on a great king named Vikram, the King Arthur of the East, who in pursuance of his promise to a Jogi or Magician, brings to him the Baital (Vampire), who is hanging on a tree. The difficulties King Vikram and his son have in bringing the Vampire into the presence of the Jogi are truly laughable; and on this thread is strung a series of Hindu fairy stories, which contain much interesting information on Indian customs and manners. It also alludes to that state, which induces Hindu devotees to allow themselves to be buried alive, and to appear dead for weeks or months, and then to return to life again; a curious state of mesmeric catalepsy, into which they work themselves by concentrating the mind and abstaining from food

Vikram and the Vampire

"Ceux qui trouvent que le danger assaisonne agréablement le plaisir peuvent tenter une visite à La Mecque." (Richard Burton) Mû par le démon de l'aventure, Richard F. Burton avait une grande passion : percer des secrets. En 1853, ce polyglotte qui parlait parfaitement l'arabe, alors officier de la Compagnie des Indes, entreprit un voyage clandestin à Médine et à La Mecque. La ville sainte de l'islam, interdite aux infidèles sous peine de mort, n'avait été visitée, depuis la Renaissance, que par une poignée d'Européens. Le récit que Burton a laissé de son pèlerinage est un classique de la littérature de voyage du XIXe siècle. L'humour et la puissance d'évocation y côtoient sans cesse la plus époustouflante érudition.

Voyage à la Mecque

Récit de l'extraordinaire voyage vers La Mecque que fit Burton, au milieu du XIXe siècle - alors interdit aux infidèles chrétiens - en se faisant passer pour un persan.

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