Une histoire d'amour sur fond de premiers troubles révolutionnaires. À la veille de la Révolution française, Colin Clarisse, âgé d'une quinzaine d'années, vit pauvrement avec son père, vigneron, ses deux soeurs et sa grand-mère dans un village au nord de Paris. Mais il y a peu de raisons de se réjouir en ces années 1787-89, les seigneurs font peser de plus en plus de taxes sur les villageois, la grêle et le froid abîment les récoltes et la famine n'est pas loin. Tout devient prétexte à soulèvements et à rancoeurs...
Mais dans le village des idylles naissent. Agnès, la soeur aînée de Colin, est amoureuse de Guillaume Hébert et le coeur de Colin balance entre Toinette, sa promise, et Fleur, la fille d'un notable du village, son coup de coeur. Tous quittent Taverny et seuls deux d'entre eux y reviendront, dans des circonstances difficiles...

Le coeur à la renverse

Le mal en patience

Dans la France métropolitaine de ce glacial hiver 1954, les appels de l'abbé Pierre à la solidarité pour
les sans-abri troublent les consciences ; l'insurrection du 1er novembre en Algérie, puis sa répression brutale par l'armée, elles, n'émeuvent guère. Dans l'Aurès, Héléna, une jeune ethnologue, est confrontée au sort d'une population musulmane délaissée, méprisée. Elle comprend que ce qu'elle vit, c'est une guerre qu'on ne veut pas nommer...

Sous le calme du djebel

Les lumières du matin

Dans la France métropolitaine de ce glacial hiver 1954, les appels de l'abbé Pierre à la solidarité pour les sans-abri troublent les consciences; l'insurrection du 1er novembre en Algérie, puis sa répression brutale par l'armée, elles, n'émeuvent guère. Dans l'Aurès, Hélèna, une jeune ethnologue, est confrontée au sort d'une population musulmane délaissée, méprisée. Elle comprend que ce qu'elle vit, c'est une guerre qu'on ne veut pas nommer...

Sous Le Calme Du Djebel

" Jamais de place nulle part. Même en poussette, c'était jamais mon tour... Il a fallu que j'attendre d'avoir huit ans pour comprendre qu'on disait pas "décamiller" mais " décaniller "... Amochée. Voilà le mot qui me va comme un gant, le mot convenable pour une comparaison affûtée entre le visible et le caché. C'est de l'intérieur que je suis amochée, songea Camille, et je ne sais même plus pourquoi. Qu'est-ce qui m'a abîmée comme ça ? "

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