Préférez-vous un café ou un ristretto ? Attention : ce choix apparemment anodin peut déterminer votre avenir et celui du monde. Finirez-vous au pinacle de la gloire ou dans un cul-de-basse-fosse ? Fiez-vous au destin et rejouez votre vie dans les pages de " Superdubois ", le roman multipistes de Roger Gaillard.

Superdubois

Le monde des revues est indissociable de l'édition. Les revues constituent des laboratoires de création et d'idées, des lieux de débats et de découvertes où se forgent les premières armes, s'affûtent les plumes, se trempent les caractères, se tissent les réseaux. Les revues, il faut les lire pour y entrer. II faut les suivre pour comprendre les tendances du moment. ARLIT donne des clés pour les connaître et optimiser vos contacts. Plus de 500 revues ! ARLIT répertorie 544 revues d'études et/ou de créations littéraires ou artistiques. En essai, près de 300 revues publient des articles de critique littéraire et artistique, 200 les études biographiques et portraits, 170 d'histoire littéraire ; 100 des analyses de textes, 80 des correspondances, 90 des textes philosophiques ou religieux et 90 autres des témoignages, souvenirs et récits vécus. En création, 325 revues publient de la poésie, 200 des contes et nouvelles, 140 des récits et des extraits de roman/récit, 200 s'intéressent aux petites formes (pamphlet, insolite, écrits intimes, proses très littéraires, journal et récit de voyage, pastiche...), 56 publient de l'humour, 23 du théâtre, et 50 de la SF ou du polar. Les Beaux-arts sont présents dans 250 publications, le cinéma et la musique dans une centaine et la BD dans une quarantaine. ARLIT : un annuaire des revues littéraires pour les auteurs ! ARLIT répond aux questions que se posent les auteurs lorsqu'ils doivent s'abonner ou aborder la publication de leurs textes : laquelle lire ? quelles sont ses lignes directrices ? est-elle sélective ? est-elle ouverte aux auteurs nouveaux ? si j'envoie des textes, me répondra-t-on ? quand ? serai-je payé ? combien coûte-t-elle ? est-elle belle ? Toutes ses questions et bien d'autres trouvent leurs réponses dans ARLIT. Un annuaire des revues pour les responsables de revues ! ARLIT informe sur vos confrères. Il signale les revues qui parlent des autres et des livres. Il apporte des solutions aux problèmes que vous rencontrez comme dirigeant : comment se situe mon tirage et mes abonnés par rapport aux autres ? mon SP est-il efficace ? comment les autres communiquent-elles ? et pour quels résultats ? Les autres publics d'ARLIT. ARLIT apporte une aide précieuse aux attachés de presse. Les auteurs autoédités s'en servent pour monter leur Service de presse ou pour faire de la pub. Il précise si les revues recherchent des collaborateurs (traducteurs, illustrateurs, photographes, maquettistes,...).

ARLIT - Annuaire des Revues LITtéraires

L'intérêt du « Fernand Ledoux » de André Lang n'est pas seulement d'ordre biographique. Certes, l'enfance et l'adolescence rêveuses de Fernand Ledoux, fils d'un grossiste - sucres et vins - de Tirlemont ; l'insolite naissance de sa vocation théâtrale au séminaire de Saint-Trond ; la façon dont il s'engage en 1914, pour jouer, dans l'armée belge, son premier grand rôle ; son arrivée à Paris, en complet bleu, chapeau Rembrandt et canne de jonc ; sa discrète entrée en 1921 à la Comédie-Française, qu'il quittera une première fois vingt ans plus tard dans des circonstances tragi-comiques, et où il ne semble pas vouloir poursuivre sa carrière - tout cela, conté avec vivacité et qui donne d'un des grands comédiens de ce temps une image forte en couleurs et en relief, constitue l'attrait romanesque et anecdotique du livre. Mais André Lang a voulu aussi mettre à profit ses cordiales rencontres avec Fernand Ledoux pour faire avec lui, en toute indépendance, le tour des problèmes du théâtre d'aujourd'hui. Les libres entretiens de l'acteur-metteur en scène et du critique-auteur dramatique sur les Quatre (Baty, Dullin, Jouvet, Pitoëff), leurs vertus, leurs erreurs, les conséquences de leur brutale disparition et du démembrement de leur, royaume, l'interprétation abusive de théories qui ne valaient que pour eux-mêmes ; sur les remèdes à apporter à la fièvre de décoration et de mise en scène qui a gagné la France entière ; sur la mission de la Comédie-Française et les causes de crises périodiques, etc., font de ce petit livre un document passionné, un vivant témoignage, sévère mais loyal, qui suscitera peut-être de vives réactions, mais dont on devra reconnaître qu'il ne fut inspiré, au comédien comme au biographe, que par le haut souci des destinées de l'art dramatique français et de la grandeur du Théâtre.

Fernand Ledoux - Illustré de 12 photographies

Christian Mégret, le romancier de classe, le psychologue d'envergure à qui l'on doit : Les fausses compagnies, En ce temps-là, Sophie et Danaé, n'est pas seulement un des meilleurs écrivains de sa génération, mais aussi un spécialiste de cet art à multiples facettes qu'on appelle le music-hall : Le music-hall, fournisseur du théâtre, souvent, car c'est sur les planches de l'ancien café-concert qu'ont débuté des comédiens illustres comme Vilbert, Raimu, Tramel et Dranem qui joua Molière, et le grand Max Dearly. Sa connaissance des artistes de variétés et l'amitié qui lie Mégret à Yves Montand ont permis au romancier de suivre pas à pas la vie du chanteur, devenu tout récemment une vedette importante du cinéma et dont le tour de chant peut être pris pour modèle. Cette existence pittoresque, variée, pleine d'oppositions et de contrastes, qui commence sous le soleil des docks de Marseille et aboutit aux projecteurs du théâtre de l'Étoile, aux sunlights du Salaire de la peur, Christian Mégret l'a contée sans fioritures, dans la manière directe, solide et baignée, cependant, de cette poésie particulière dont Yves Montand enrichit ses interprétations.

Yves Montand - Suivi d'un poème inédit de Jacques Prévert

Il serait vain de présenter au lecteur deux artistes aussi notoires. Mais, la curiosité, c'est de voir l'une étudier l'autre. L'éminent professeur et le remarquable critique qu'est Dussane a suivi, jour par jour, presque pas à pas, l'évolution, puis l'éclosion rapide de Maria Casarès, qui fut son élève au Conservatoire. Le livre, conçu sous forme de journal, donc aussi vivant que véridique, nous montre Casarès à ses débuts, chez elle, dans ses loges, dans les coulisses, sur le « plateau », dans les studios cinématographiques, sur les scènes de plein air, au cours de ses voyages et de ses escales, étudie sa technique de comédienne et dévoile son visage secret. Et Dussane, sans jamais quitter des yeux le modèle qu'elle prend visiblement plaisir à peindre, enrichit ce portrait, en second plan, d'autres silhouettes, d'autres personnages. Comme tous les grands essayistes, s'élevant du particulier au général, elle fait, à propos de la créatrice d'Orphée, un tour d'horizon qui embrasse non seulement l'art scénique, mais l'Art tout court. Cet ouvrage, traité en profondeur, et passionnant comme un conte, fourmille d'aperçus ingénieux, pénétrants et chargés d'intelligence. On ne pourra plus parler du théâtre contemporain sans recourir à son témoignage.

Maria Casarès - Illustré de 15 photographies

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

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