Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Un cercueil de roche

La mort qu'on voit danser

Depuis deux jours, le chien et le cadavre étaient enfermés dans cette pièce aux volets clos. Un chien efflanqué, haut sur pattes et dont le poil raide et roux faisait penser à une brosse usée. Un mort allongé bras en croix, presque cloué au sol par le poignard à long manche et dont la poitrine dénudée était toute marquée de petites brûlures rondes... Toute similitude entre les personnages de Roger Vilard et la réalité, ne pourrait être qu'une coïncidence regrettable.

Les requins

Si vous n'aviez pas violé la secrétaire d'une milliardaire, et surtout - oui, surtout - massacré quatre adorables pékinois... Fuyez, loubards, sur vos motos rutilantes, vous n'échapperez pas à la loi du talion et celui qui vous poursuit est sans pitié.

Spécial-police : Ne tuez pas les pékinois

Tout ce qui brille...

Si vous découvrez que votre belle-sour est en train de vous tuer à petit feu, à petites doses, n'avez-vous pas envie de renverser les rôles et de la devancer ? Mais attention, n'est pas assassin qui veut ! Et n'allez surtout pas, en plus, vous tromper de victime !

Spécial-police : Meurtre en double face

Croyez-moi, escamoter deux milliards de centimes, ce n'est pas facile. Les garder, c'est moins facile encore et pourtant, j'ai couru jusqu'en Amérique du Sud. Mais, là-bas aussi, les rongeurs et les rapaces étaient au rendez-vous. Une révolution, un peloton d'exécution...

Spécial-police : Prête-moi ton visage...

Le troisième larron

Je m'appelle Ange, et je cours après une mallette bourrée de dollars. Passant par Monaco, je rencontre deux cadavres, à Istanbul, un Turc crevant de peur. On me tabasse, on me jette en prison et, dans tout ça, que sont devenus les bijoux de Topkapi ?

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