Un pauvre type, au fond, cet étrange Monsieur Francis, qui porte des faux-cols bizarres et des vestons à la mode de 1920... Sans trop de scrupules, il a exercé un peu tous les métiers : secrétaire très particulier, agent secret, jusqu'au jour où, voulant satisfaire les exigences pécuniaires de sa femme, il imaginera une sordide combinaison destinée à le sortir de la médiocrité. Hélas ! les événements ne se déroulent nullement selon ses prévisions. Il se heurte à d'implacables adversaires : Micheline, une jolie fille sensuelle pour qui la vie des autres ne compte guère ; Pierre, un inquiétant gigolo échappé des boites de nuit montmartroises ; Félix, l'homme qui rit sans cesse, un « gros père » moins inoffensif peut-être qu'il ne paraît. Et le drame se déroulera, ponctué de coups de théâtre, dans une atmosphère oppressante où rodent la mort et la volupté pour se terminer par un dénouement véritablement inattendu et sinistrement logique.

Il était moins cinq

Les Chroniques d'Ona

Salva a décidé d'avouer à ses parents qu'il fume de la marijuana. Pas régulièrement ni à grosses doses, mais suffisamment pour que ça le tracasse et qu'il estime devoir leur en parler. Il est nerveux et inquiet. Il se sent bête et coupable, il a l'impression de faire quelque chose de mal, de trahir la confiance de ses proches et de ses parents ... mais pourtant, il fume quand même et en redemande.

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