Uno dei motivi di maggiore contrasto in conseguenza a una separazione e a un divorzio è legato alla definizione delle spese fisse e variabili. Se la domanda di per sé è semplice, "la spesa che bisogna affrontare nell'interesse del figlio va intesa come spesa ordinaria oppure come spesa straordinaria?", la risposta lo è meno. Perché se in linea teorica risulta agevole offrire un criterio distintivo, a livello pratico la soluzione non è sempre immediata e, soprattutto, concettualmente condivisa. Dai libri di testo alle spese per i trasporti; dai costi per il pre e il dopo scuola alle spese da sostenere per l'acquisto di un motorino; dal corredo scolastico ai viaggi di studi all'estero; dalla dotazione informatica all'assicurazione scolastica. Attraverso l'esame della normativa, delle principali pronunce giurisprudenziali e dei Protocolli adottati dai Tribunali, il volume si propone come strumento in grado di orientare i genitori auspicando che, sapendo classificare preventivamente le spese in ordinarie e straordinarie, si riducano i motivi di attrito di natura economica tra gli ex coniugi. Il tutto, al fine di tutelare e garantire il best interest del minore, che nel diritto di famiglia deve sempre rappresentare l'unico obiettivo da raggiungere. Il testo è completato da diciotto Protocolli di intesa di Tribunali italiani per la ripartizione delle spese fisse e variabili, i Criteri introdotti dal Tribunale di Monza pensati dal giudice Piero Calabrò, e il Piano genitoriale di base.

Spese ordinarie e straordinarie - Prontuario per l'affidamento e il mantenimento dei figli in caso di separazione e divorzio

Passione, business, awareness, costanza, visibilità, internazionalizzazione, endorsment: queste, per lo più, le motivazioni che portano le aziende a investire importanti risorse economiche e tecniche in sponsorizzazioni di team, atleti e strutture sportive. Ma la sponsorizzazione si slega sempre più frequentemente dallo sport, andando a interessare ambiti quali la cultura e l'ambiente con iniziative mirate a coinvolgere la cosiddetta società civile. Questo volume affronta e approfondisce la nascita e lo sviluppo del contratto di sponsorizzazione, nello sport e nella cultura, tra modelli, dottrina e giurisprudenza, analizzando sia le singole clausole contrattuali sia gli effetti della risoluzione dei contratti. L'opera è corredata da un corposo formulario di contratti, pronti all'uso e personalizzabili a seconda delle esigenze.

Sponsor e sponsorizzati

In the age of giorgione

Le Musée des Beaux-Arts de Caen présente du 27 mars au 19 septembre 2010, les collections d'art italien de l'Accademia Carrara de Bergame. Cette prestigieuse institution lombarde a été fondée en 1796 par le comte Giacomo Carrara, collectionneur, mécène et fin connaisseur de peinture. Son impressionnant patrimoine, qui comprend plus de mille huit cents œuvres, fut enrichi successivement par plusieurs collectionneurs illustres, tels le comte Gulglielmo Lochis ou le grand historien de l'art et connaisseur Giovanni Morelli. L'Accademia se trouve actuellement fermée pour travaux et le musée de Caen saisit cette occasion pour effectuer un choix dans ses prestigieuses collections qui ont très rarement quitté leur lieu d'origine. Réunissant plus de 80 tableaux, de la Renaissance au XVIIIe siècle, l'exposition fait la part belle aux artistes issus des écoles vénitienne, florentine et bergamasque.   La collection Morelli C'est l'une des collections majeures de l'Accademia Carrara, elle illustre le goût d'un amateur éclairé du XIXº siècle. Giovanni Morelli critique d'art italien (Vérone 1816- Milan 1891), mit au point une méthode que l'on nomme depuis "morellienne", par laquelle il devrait être possible, en étudiant les détails morphologiques des personnages d'un tableau, d'en reconnaître avec certitude l'auteur. Il est évident que la méthode "morellienne" relève du déterminisme de l'esthétique positiviste et qu'elle dut une partie de son grand succès à la vogue de la science expérimentale entre 1850 et 1880. Ses écrits sont présentés sous la forme d'une revue des attributions courantes de quelques pinacothèques italiennes et allemandes, et ils portent essentiellement sur la peinture italienne. Morelli légua à l'Accademia Carrara de Bergame sa collection de peintures, comprenant une centaine d'oeuvres. A côté de tableaux lombards et d'un groupe de peintures flamandes et néerlandaises, cette collection était surtout remarquable par ses panneaux du quattrocento : Portrait de Lionello d'Este par Pisanello, oeuvres importantes de Lorenzo Monaco, Pesellino, Botticelli (Histoire de Virginie), Neroccio dei Landi, Signorelli, Costa, Matteo di Giovanni, Botticelli.

Botticelli, Bellini, Guardi... - Chefs-d'oeuvre de l'Accademia Carrara de Bergame

L'Accademia Carrara de Bergame, l'un des plus anciens et des plus importants musées d'art du Nord de l'Italie, a été fondée en 1755 par le comte Giacomo Carrara comme Galerie de peinture pour une Éole des Beaux-arts. À la mort du conte en 1796, l'Accademia hérita de sa collection et de son patrimoine, puis, au fil du temps, elle s'enrichit de manière significative grâce à d'autres legs : ceux de Guglielmo Lochis (1866) et de Giovanni Morelli (1891), mais aussi de plus récents, comme ceux de Francesco Baglioni, Carlo Ceresa, Cesare Pisoni, sans oublier le legs de sculptures de Federico Zeri (1998). Actuellement, le patrimoine du musée comprend presque deux mille tableaux, environ deux mille sept cents dessins anciens et à peu près neuf mille gravures, sans compter des sculptures et des objets d'arts appliqués, comme des petits bronzes, des porcelaines, des médailles, des éventails, des meubles et l'ancienne bibliothèque de Giacomo Carrara. L'édifice qui accueille l'Accademia Carrara, réalisé entre 1804 et 1810 sur un projet de Simone Elia, va être restauré et agrandi pour répondre de manière efficace aux contraintes d'exposition d'un musée moderne. Quand il a fallu déplacer les oeuvres au moment du début des travaux, nous avons sélectionné un groupe de 65 tableaux et une sculpture susceptibles de représenter au mieux cette extraordinaire collection : cette sélection, centrée sur les trois principaux collectionneurs (Carrara, Lochis et Morelli), visait à mettre en évidence les choix culturels spécifiques de chacun d'entre eux. L'exposition de cette sélection raffinée à la Fondation de l'Hermitage à Lausanne est donc l'occasion de " relire " des chefs-d'œuvre d'artistes très célèbres (Pisanello, Tura, Giovanni Bellini, Carpaccio, Botticelli, Benozzo Gozzoli, Raphaël, Titien, Lotto, Palma il Vecchio, Canaletto et Guardi, jusqu'aux meilleurs artistes de Bergame, comme Moroni ou fra Galgario), en tenant également compte de leur histoire à l'intérieur des collections et du musée. Il s'agit donc d'un premier pas vers l'élaboration d'un catalogue scientifique, qui complète celui de la collection, Morelli, réalisé il v a désormais vingt ans.

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