Février 1849 : en présence du prince-président Bonaparte, le Tout-Paris de la Seconde République se presse place Vendôme pour participer à un événement exceptionnel, une prestigieuse soirée costumée rappelant les folies du Directoire : le Bal des muscadins. Mais, alors que les réjouissances battent leur plein, une morbide apparition interrompt théâtralement les festivités... Bonaparte confie donc à son agent spécial, Léandre Lafforgue, alias " le Goupil ", le soin d'assister la police pour éclaircir cette étrange situation. C'est l'occasion pour le Goupil d'entrer dans une aventure faite de livres rares et d'érudition touchant à l'irrationnel, via sa rencontre avec les frères Lazare, riches héritiers liés à d'importantes personnalités du milieu des lettres, mais également avec deux mystiques Anglaises aux charmes ravageurs... Pendant ce temps, des hommes sont assaillis, décapités, et leurs corps privés de têtes sont découverts aux quatre coins de la capitale. La Révolution et ses débordements reviendraient-ils au goût du jour ? Existerait-il un lien entre le bal, des voleurs de manuscrits anciens et ces assassinats ?

Au bal des muscadins (les enquêtes de Léandre Lafforgue #2)

Que le spectacle commence ! En ce mois de novembre 1851, alors que le mandat du président Bonaparte touche à sa fin et que les plus sombres prévisions courent quant à l'avenir de la politique française, Léandre Lafforgue, alias "Le Goupil", songe en vérité plus volontiers à sa carrière naissante de dramaturge qu'au devenir du pays. Mais sitôt le rideau de l'Odéon tombé sur la première représentation de sa pièce, un crime perpétré dans le théâtre met en suspens le futur de son oeuvre. Et comme un malheur n'arrive jamais seul, voilà que pour faire taire d'éventuelles rumeurs, Bonaparte charge les deux dernières recrues de la Noble Cour de mener l'enquête... et ce à la place du Goupil ! Tandis que se trame en secret un complot destiné à changer le cours de l'Histoire, entre fausses pièces d'or, corps dépouillés et coup de coeur, Léandre peut-il parvenir à voir clair dans ce capharnau¨m sans s'y perdre tout à fait ?

Une enquête de Léandre Lafforgue

Menace ultime de l'arsenal judiciaire jusqu'en 1981, à l'origine fruit d'un désir d'égalité parfaite entre citoyens, même devant le trépas, la guillotine reste dans le monde entier le symbole le plus terrifiant de la Révolution française. Version moderne et mécanisée de la faux de la Mort, fille de la potence et de la hache des bourreaux, objet méprisé, à l'existence relativement méconnue, le tabou dans lequel on la conserve toujours a permis à l'imaginaire collectif d'inventer mille rumeurs qui l'ont rendue plus effrayante encore. De la création de ses ancêtres au Moyen-âge à son statut actuel de pièce de musée, des lois plus ou moins injustes qui ont régi son emploi, des pays qui l'ont adoptée de façon exceptionnelle ou durable, en passant par la vie de ses concepteurs, de ses serviteurs, mais aussi de ses victimes, plongez-vous sans hésiter dans l'histoire sombre de ces bois qu'on qualifiait « de justice », en des temps pas si lointains où la peine de mort était légale et populaire...

Le couperet de l'éternité : histoire de la guillotine

1848. La France vient de chasser son dernier roi, et à Paris, la République nouvelle-née se construit au jour le jour. Dans ce climat de tensions politiques, tandis que se préparent au loin les élections du premier Président, plusieurs décès endeuillent les sièges du Palais-Bourbon.
Accidents ou maladies ?
Quoi qu'il en soit, la police ne semble pas y prêter une grande attention. Au même moment, fraîchement débarqué de sa Gascogne natale, un garçon à la recherche de son passé se retrouve involontairement mêlé à ces affaires, puis convié par le futur prince-président Napoléon à en trouver la trame commune. Il va ainsi devenir «le Goupil» et faire preuve de tout son talent... Sa sagacité sera-t-elle suffisante pour déjouer ce mystère ?

L'oeil du goupil

DES MEURTRES de l'Auberge rouge au procès de Troyes qui remit en cause la peine de mort, en passant par le suspense des braquages de la bande à Bonnot jusqu'au regard glacial de Lucien Léger, les Grandes Affaires Criminelles de France retracent les péripéties des plus célèbres histoires judiciaires qui ont ému la France et continuent de susciter l'effroi. Chaque procès d'assises nous touche au coeur en même temps qu'il meurtrit les familles. La riche collection des GRANDES AFFAIRES CRIMINELLES des éditions De Borée, où les meilleurs écrivains se sont réunis pour raconter avec justesse, talent et sans jugement, les faits divers les plus emblématiques de ces deux derniers siècles, se prolonge aujourd'hui parce recueil d'histoires qui sauront à coup sûr vous passionner, car toutes sont le reflet des dérèglements de notre société. Alors, huissier : "Faites entrer l'accusé ! ".

Grandes Affaires Criminelles de France

La suite des aventures de Léandre, personnage central de la série L'oeil du Goupil....
1849 : Lors du bal des Muscadins, une macabre apparition stoppe net les festivités.... Leandre missionné par Bonaparte enquête alors que des corps décapités font leurs apparitions aux 4 coins de la capitale...et que des manuscrits anciens disparaissent....

Au bal des muscadins ; une enquête de Léandre Lafforgue

Le crime est souvent la face cachée d'une société... De 1816 à nos jours, Sylvain Larue et Gisèle Vigouroux ont exhumé l'autre Histoire du Tarn-et-Garonne : celle des destins tragiques, des grands criminels, des avocats et des bourreaux. Au fil des pages vous découvrirez, avec la guillotine en toile de fond, la ronde sordide des infanticides et des enfants martyrs, l'incroyable cruauté de " la Gatasso " de Montauban, la perversité du " Satyre " de Montpezat, le fabuleux destin de Stanis, un adolescent aux yeux d'ange qui assassina froidement une quinzaine de personnes dans les années 1940, jusqu'au drame de la Fumade en 1975. Le Tarn-et-Garonne est-il un département criminogène ? On est forcé de répondre qu'on n'a pas plus tué qu'ailleurs en ces terres, mais que souvent les mobiles que sont l'argent, le sexe ont fait basculer des vies qu'on croyait toutes tracées... Voici deux siècles d'affaires criminelles à travers des récits palpitants restituant les lieux et les époques pour constituer une véritable chronique des faits divers d'autrefois. Les Grandes Affaires Criminelles du Tarn-et-Garonne rappellent que nul n'est à l'abri du drame...

Les grandes affaires criminelles du Tarn-et-Garonne

Parmi les affaires criminelles terrifiantes, on fait toujours une place à part aux tueurs en série. Leurs froids calculs, leur détermination sans faille créent souvent des monstres indifférents à la pitié. Narrer leurs "faits d'armes" a de quoi nous plonger dans l'horreur la plus implacable. A l'image de Francis Heaulme, de Guy Georges, d'Émile Louis ou, au XIXe siècle, de Joseph Vacher, le Jack l'Éventreur du Sud-Est, ce livre décrypte la personnalité des serial killers d'hier et d'aujourd'hui en retraçant avec fidélité, talent et retenue leurs méfaits. Pour passer de l'ombre à la lumière - autrement dit pour se résoudre à la défaite face à ses pulsions criminelles -, il faut avoir de solides mobiles... et de solides dérèglements.

Tueurs en série de France

Desfourneaux, bourreau - L'homme du petit jour

Un matin d'été 1855, Magon, le meurtrier sadique de prostituées, est conduit à l'échafaud. Mais jusqu'au bout, il clame son innocence. Il est à peine exécuté que le corps d'une femme atrocement mutilé est retrouvé. L'hypothèse d'une erreur judiciaire éclate dans la presse.

Le Goupil et ses agents mènent une enquête à haut risque pour recouvrer leur réputation d'enquêteurs et retrouver l'assassin.

La révolution de 1848 charrie son lot de bouleversements. Le peuple français vient de chasser Louis-Philippe, son dernier roi, et à Paris, la nouvelle République se construit au jour le jour. Dans ce climat de tensions politiques, tandis que se préparent au loin les élections du premier président, Léandre Lafforgue, un jeune homme épris de liberté et d'idéal, débarque de sa gascogne natale à la recherche de son passé. Involontairement mêlé à une mort suspecte, et ayant affaire à une police qui ne semble prêter qu'une attention limitée à plusieurs faits similaires, Léandre se retrouve désigné par le prince Bonaparte pour en démasquer la trame commune...

L’œil du goupil

Voici plusieurs décennies, les crimes commis dans le département du Val-d'Oise ont grandement alimenté les chroniques judiciaires et captivé bien des lecteurs ! Assassins confondus par leur physionomie, meurtriers de chauffeurs de taxis ou de policiers, apaches de banlieue, tueur en série : le choix est large, et les cours d'assises chargées de remédier à cela n'ont jamais hésité à faire appel aux services des bourreaux

Les grandes affaires criminelles du Val-d'Oise

Affaires criminelles : deux mots qui semblent méconnus dans le département du Gers. Et pourtant ! Sylvain Larue est allé dénicher dans les archives les documents judiciaires et la presse d'époque la trace de trente-deux affaires criminelles qui ont en leur temps, entre 1844 et 1975, défrayé la chronique du Gers. Crimes crapuleux, vengeances. Valets meurtriers, satyres et empoisonneurs. Une "bien jolie" bande de criminels qui se sont retrouvés souvent dans le box des accusés, et parfois dans le couloir de la mort. Tous sont plus ou moins oubliés. Les crimes étant, malgré toute leur horreur, un peu de notre histoire, il était bon de se pencher sur ceux, trop méconnus, d'un département rural qui ne s'est souvenu que très récemment qu'il n'était pas à l'abri des drames de sang.

Les grandes affaires criminelles du Gers

En novembre 1851, la première pièce de Léandre Lafforgue, agent spécial du président Bonaparte, est montée au théâtre de l'Odéon. Un crime passionnel commis dans l'établissement au même moment gâche la première du dramaturge débutant. Léandre est décontenancé lorsque l'enquête est confiée à deux recrues de la Noble cour, mais rencontre une romancière qui ne le laisse pas indifférent.

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