Transports de Provence, voici le dernier volet de la trilogie consacrée aux transports par Patrick Boulanger et Tiennick Kérével. Après l'aérien et le maritime, le terrestre... Une histoire en région, jusqu'à présent jamais écrite, jamais illustrée, pour ressusciter l'oublié et comprendre certains enjeux contemporains. Chacun de ces créateurs a mis son talent et son expertise au service de l'autre ; une complémentarité de bon aloi, une émulation constructive afin d'offrir une présentation synthétique montrant l'évolution de la locomotion en Provence depuis les origines. Une entreprise de longue haleine courant des déambulations des premiers hominidés aux chars grecs et litières romaines, des carrosses de la comtesse de Sévigné aux diligences empruntées par Stendhal et Dumas, puis des locomotives du PLM aux rames des TGV, des automobiles Turcat-Méry aux récents bus électriques et cars au gaz naturel, avant les véhicules à oxygène de demain. Autant d'éléments d'une mémoire retrouvée, puisés aux meilleures sources archivistiques et iconographiques, originalement illustrés, facteurs de compréhension d'une Provence en perpétuelle mutation.

Transports de Provence - Histoire de la locomotion terrestre des origines à nos jours

Après Ciels de Provence, consacré à l'histoire de l'Aviation en Provence, Tiennick Kérével et Patrick Boulanger nous racontent l'évolution des Marines du littoral méditerranéen. Nos deux éminents passionnés nous restituent les nombreuses générations de navires triomphant des espaces maritimes, conçus pour le service des hommes, qu'ils soient instruments de négoce, de cabotage, transports ou navires de combat. Entre Massalia et Toulon, d'Arles à Antibes et Nice, allant parfois jusqu'au delta de la Camargue et Aigues-Mortes. Cette reconstitution historique et graphique nous révèle un autre aspect de la Provence, tournée depuis toujours vers la Méditerranée.

Marines de Provence - Les navires des origines à nos jours

Mon inspiration m'a conduit le long de la côte Marseillaise jusqu'au port de Cargo. Je n'ai pas cherché à faire un recensement géographique de toutes les calanques et ports du bord de mer, mais plutôt une découverte des sites qu'il m'intéresserait de peindre pour leur lumière. Comme disait Théodore Rousseau peintre de l'école de Barbizon : " en observant avec toute la religion de son cœur, on ne copie pas ce qu'on voit avec la précision mathématique, mais on sent et on traduit un monde réel dont toutes les fatalités vous enlacent " (Tiennick Kérével)

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