Najaf : the gate of wisdom

enseigner et apprendre : atteindre la qualite pour tous

Les inefficacités chroniques des systèmes éducatifs de l’enseignement primaire empêchent de nombreux pays de proposer de réelles possibilités d’apprentissage à tous leurs élèves. L’édition 2012 du Recueil de données mondiales sur l’éducation s’intéresse à deux obstacles majeurs à l’éducation primaire universelle : des taux élevés de redoublement et de départ prématuré de l’école. Selon le Recueil, environ 32,2 millions d’élèves dans le monde ont redoublé au primaire en 2010, contre 34,7 millions en 2000. La bonne nouvelle est qu’au cours de la dernière décennie, le nombre de redoublants a diminué malgré une augmentation de la scolarisation dans l’enseignement primaire. La situation reste cependant problématique dans nombre de pays où les élèves peuvent passer des années à redoubler avant de quitter l’école prématurément. En 2010, environ 31,2 millions d’enfants ont quitté l’école avant d’avoir atteint la dernière année de l’enseignement primaire. Le départ prématuré de l’école reste une préoccupation politique majeure, notamment en Afrique subsaharienne, en Asie du Sud et de l’Ouest, et en Amérique latine et les Caraïbes.Le Recueil présente des données permettant d’identifier les enfants qui sont les plus susceptibles de redoubler ou de quitter prématurément l’école, ainsi qu’à quel moment cela se produit. En Afrique subsaharienne, par exemple, environ un enfant sur six quitte l’école avant d’avoir atteint la deuxième année d’études. Le rapport examine le sexe et l’âge de ces enfants, tout en soulignant le rôle que jouent le niveau de revenu du ménage et le lieu de résidence dans la progression scolaire de l’enfant.
Le Recueil étudie également les options politiques, notamment en ce qui concerne les pratiques de promotion automatique et de redoublement. Pour mieux étayer ce débat, le rapport présente les derniers résultats d’évaluations de l’apprentissage chez les élèves du primaire avant d’examiner les coûts économiques inhérents à un taux élevé de redoublement et d’abandon scolaire.

opportunites perdues: impact du redoublement et du depart premature de l'ecole

Sixty Years of Science at UNESCO 1945-2005 offers an inside perspective on the past six decades of this engagement. Written by historians and scientists from all over the world as well as by former and active staff members, the story is enriched by an historical analysis of the first 20 years of the Organization's action in science. The volume traces through six parts the role played by UNESCO in the history of international science cooperation in an ever-changing world : Setting the Scene, 1945-1965. Basic Sciences and Engineering. Environmental Sciences. Science and Society. Overviews and Analyses and Looking Ahead. It also features a list of chronological milestones set along the way.

Sixty Years of Science at Unesco - 1945-2005

This 2009 edition presents a wide range of educational indicators to assess progress towards Education for All Millenium Development Goals. Theses cross-nationally comparable indicatrs also provide benchmarks for the performance of national education systems. The special of this 2009 global education digest is the analysis of emerging global trends in teritiary education, highlighting the rapid growth of tertiairy education systems since 1970, changing patterns in tertiary education graduates by fiekd of study, and in particular, the changing landscape odf international student mobility.

Global Education Digest 2009 - Comparing Education Statistics Across the World

Recueil des données mondiales sur l'éducation 2007 - Statistiques comparées sur l'éducation dans le monde

L'héritage de l'humanité ; splendeurs du patrimoine mondial

L'industrie du fer est un marqueur lourd de la civilisation. Elle est sous-tendue par tout un corpus de notions fortement valorisées. Jusqu'à une époque récente, l'Afrique subsaharienne était considérée comme un simple récipiendaire de cette technique qui se serait diffusée depuis le Proche-Orient par l'Afrique du Nord et la vallée du Nil.
Il ne sera désormais plus possible de soutenir que l'Afrique subsaharienne a emprunté sa technologie du fer à d'autres cultures. Elle a, au contraire, inventé et développé sa propre métallurgie du fer, et ce, dès le IIIe millénaire avant J.-C. Les travaux de spécialistes - archéologues, historiens, ethnologues, sociologues, ingénieurs métallographes - qui sont réunis dans ce livre, attestent de la vitalité des recherches menées dans le domaine de la sidérurgie africaine. Ils permettent non seulement de mieux connaître ses origines et son développement à travers te continent, mais aussi de découvrir ses caractéristiques techniques ainsi que les conséquences tant sociales et économiques que culturelles engendrées par ce progrès. L'intérêt que l'UNESCO porte à l'étude de la métallurgie du fer en Afrique vise entre autres à réhabiliter la contribution des métallurgistes africains - fondeurs et forgerons - au patrimoine technologique de l'humanité.

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