Paul Éluard vit le jour à Saint-Denis le 14 décembre 1895. En 1916, il choisit le pseudonyme de Paul Éluard, patronyme qu'il emprunte à sa grand-mère maternelle, « la douce Félicie?». Il adhérera au mouvement dada et deviendra l'un des piliers du surréalisme avec Breton, Aragon, Soupault et bien d'autres encore, sur un demi-siècle de créations artistiques et littéraires.

Publié pour la première fois en 1926, Capitale de la douleur est un recueil de poèmes qui met en relief le prix de l'amour et du bonheur et l'intérêt de l'instinct de survie, face à la maladie, la solitude, la peur, la perte d'adhérence de l'âme et la mort, faucheuse omniprésente et menaçante, partout et en tout temps. 

Les Atemporels est une collection qui réunit des ouvres qui ne vieillissent pas, qui ont une date de publication mais pas de date de péremption. Car elles seront encore lues et relues dans un siècle.

Dossier documentaire sur Paul Éluard et illustrations de Yoann Laurent-Rouault.

Capitale de la douleur, poèmes de Paul Eluard

Tu n'iras pas à l'école mon fils.

C'est avec du Kipling dans le sang, que Yoann Lauren-Rouault, papa pour la troisième fois, remonté contre un mammouth sans âme, livre à son fils, non un poème, mais un brûlot, lui expliquant avec ferveur pourquoi il n'ira pas à l'école comme "tous les autres". 

Ce pamphlet qui décortique les mécanismes de l'échec, les incohérences des programmes scolaires, leur empreinte idéologique, s'adressera à tous les parents dont l'esprit a au moins une fois été effleuré par l'idée de donner à leurs enfants "l'école à la maison". 

Un texte inoubliable, qui peut faire basculer ses lecteurs. Préfacé par un professeur Agrégé de l'Éducation Nationale : Jean-David Haddad.

Collection Uppercut - JDH Éditions

Tu n'iras pas à l'école, mon fils

Il y en a qui trouvent que face à ce virus maudit appelé Corona, les états n'en font pas assez. 

D'autres trouvent qu'ils en font trop.

Il y en a qui en veulent toujours plus des états, quitte à être bridés, contrôlés, infantilisés... 

D'autres qui veulent plus de liberté, de responsabilité, de bon sens et qu'on cesse de les prendre pour des enfants,

voire pour des imbéciles. 

Et ceux là, s'ils entendent bien mugir dans la campagne sanitaire ce féroce virus qui vient jusque dans nos villes pour fermer nos écoles et affoler nos familles, n'en pensent pas moins des dérives politiques et gouvernementales qui s'appliquent à nos pays. 

Ce sont ces derniers qui décident de prendre la parole, à travers 4 textes, 4 courts pamphlets qui très certainement ne laisseront pas les lecteurs insensibles. 

La collection UPPERCUT réveille le pamphlet littéraire. Elle donne de la voix, dénonce et exprime ce que des milliers d'entre nous pensent sans pouvoir le dire.

Coronavirus, la dictature sanitaire

Tête de pion, c'est une série de portraits d'élèves, d'étudiants, de professeurs, de tous les acteurs de la vie quotidienne des collèges et des lycées français. Ce sont aussi des histoires vraies, des anecdotes vécues, qui révèlent mieux que les longs discours la réalité de l'école aujourd'hui. La somme d'un itinéraire de six années passées à travers le microcosme administratif de l'Éducation nationale. De poste en poste, de villes en villages, d'humeurs en humour noir, de poésie en grisaille. Un voyage plus initiatique qu'éducatif... L'isolement, l'enfermement, l'apprentissage des autres, l'absurde, la méchanceté, la violence, la lourdeur de la machine scolaire sont les principaux thèmes abordés. Mais aussi les tranches de vie, les perles, les portraits et d'une manière générale, tout ce qui fait le quotidien d'un simple pion, sans poudre ni masque. Parfois cru, le journal d'un pion choquera, étonnera sûrement. Savoir ce qui se passe dans les loges, ne pas voir que le spectacle et les acteurs en costume, récitant plus qu'ils ne jouent leurs rôles, tel est l'objectif. L'école est malade, elle est dépassée et fatiguée. C'est une vieille dame. Elle a besoin de notre réflexion. Elle a besoin de nous.

Ses oeuvres

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