The promise of living

Old american songs

Available separately for the first time in many years Fanfare for the Common Man (1942), Aaron Copland's now iconic contribution to the war effort and celebration of American democracy is scored for brass ensemble and percussion. In the composer's words, this short majestic piece 'honors the man who did no deeds of heroism on the battlefield, but shared the labors, sorrows and hopes of those who strove for victory. It has since become known in innumerable arrangements - Copland himself incorporated it into the finale of his Third Symphony. Instrumentation : 4 horns, 4 trumpets, 3 trombones, tuba, timpani and percussion

Fanfare for the Common Man - 4 horns, 4 trumpets, 3 trombones, tuba, timpani and percussion. Partition.

Appalachian spring suite

These two popular vignettes from the classic American ballet Billy the Kid have been staples in the orchestral concert repertoire since their introduction in 1940. Now available for string orchestra, the music is distinctively Copland in two contrasting styles-the pastoral innocence of "Prairie Night" (also known as "Card Game at Night") and the rhythmic, dissonant "Celebration, " depicting the capture of the famed outlaw. Instrumentation : string orchestra

Billy the Kid - Prairie Night and Celebration. string orchestra. Partition et parties.

This collection of 24 songs and arias draws on works that span the composer's lifetime, including his early experimental and mature Americana periods. Instrumentation : medium (low) voice and piano

Art Songs and Arias - medium (low) voice and piano.

Old american songs chant

Old american songs -partition+parties separees

Aaron Copland, né le 14 novembre 1900 à Brooklyn (New York) et mort le 2 décembre 1990 à Tarrytown (New York), est un compositeur, écrivain sur la musique, pianiste et chef d'orchestre américain.

L'inspiration peut être une forme de super-conscience, ou peut-être de subconscience que je ne saurais pas. Mais je suis sûr que c'est l'antithèse de la conscience de soi.

Une grande symphonie est un Mississippi créé par l'homme dans lequel nous coulons irrésistiblement depuis l'instant de notre départ vers une destination longtemps prévue.

J'espère que mes enregistrements de mes propres œuvres inhiberont les performances des autres. Le fait brutal est que l'on n'obtient pas toujours le tempo exact que l'on veut, bien que l'on s'améliore avec l'expérience.

Une mélodie n'est pas simplement quelque chose que vous pouvez fredonner.

Quand je parle de l'auditeur surdoué, je pense au non-Musicien principalement de l'auditeur qui a l'intention de conserver son statut amateur. C'est la pensée d'un tel auditeur qui excite le compositeur en moi.

Arrêter le flux de la musique serait comme l'arrêt du temps lui-même, incroyable et inconcevable.

L'essentiel est d'être satisfait de votre travail vous-même. Il est inutile d'avoir un public heureux si vous n'êtes pas content.

Écouter la cinquième symphonie de Ralph Vaughan Williams, c'est comme regarder une vache pendant 45 minutes.

Si un homme littéraire rassemble deux mots sur la musique, l'un d'eux aura tort.

L'ensemble du problème peut être énoncé tout simplement en demandant "Y a-t-il un sens à la musique?" Ma réponse serait "oui" et "pouvez-vous dire en tant de mots quel est le sens?" Ma réponse serait "Non."

Pour moi, la chose la plus importante est l'élément du hasard qui est intégré à une performance en direct. Le très grand inconvénient du son enregistré est le fait qu'il est toujours le même. Peu importe à quel point un enregistrement est merveilleux, je sais que je ne pouvais pas vivre avec - même ma propre musique - avec les mêmes nuances pour toujours.

J'adore l'extravagance mais je déteste les déchets.

L'inspiration peut être une forme de superconscient, ou peut-être de subconscience - je ne le saurais pas. Mais je suis sûr que c'est l'antithèse de la conscience de soi.

L'ensemble du problème peut être énoncé tout simplement en demandant: «Y a-t-il un sens à la musique? Ma réponse serait: «Oui». Et "pouvez-vous dire en tant de mots quel est le sens?" Ma réponse serait: «Non.»

Les plus grands moments de l'esprit humain peuvent être déduits des plus grands moments de la musique.

Tant que l'esprit humain prospère sur cette planète, la musique sous une forme vivante accompagnera et la soutiendra et lui donnera un sens expressif.

Vous composez parce que vous voulez en quelque sorte résumer sous une forme permanente vos sentiments les plus élémentaires sur le fait d'être en vie, pour définir ... une sorte de déclaration permanente sur la façon dont il se sent de vivre maintenant, aujourd'hui.

Vous pouvez vous sentir déprimé, mais cela ne peut pas être si déprimant que vous ne pouvez pas bouger. Non, je dirais que les gens créent dans des moments où ils sont ravis d'exprimer leur dépression!

Si l'on demandait de nommer un musicien qui se rapprochait le plus de la composition sans défaut humain, je suppose que le consensus général choisirait Johann Sebastian Bach.

La mélodie est généralement ce que la pièce est.

Mozart dans sa musique était probablement le plus raisonnable des grands compositeurs du monde. C'est l'heureux équilibre entre le vol et le contrôle, entre la sensibilité et l'autodiscipline, la simplicité et la sophistication du style qui est sa province particulière ... Mozart a à nouveau tapé la source à partir de laquelle toutes les musiques coulent, s'exprimant avec une spontanéité et un raffinement et La justesse à couper le souffle qui n'a jamais été dupliquée depuis.

Il y a quelque chose à propos de la musique qui garde sa distance même au moment où il nous engloutit. Il est en même temps à l'extérieur et à l'extérieur de nous et à l'intérieur et une partie de nous. Dans un sens, cela nous éclipse, et dans un autre, nous le maîtrisons. Nous sommes conduits encore et encore, et pourtant, d'une manière étrange, nous ne perdons jamais le contrôle.

Si vous voulez en savoir plus sur les années 60, jouez la musique des Beatles.

Tout ce problème peut être énoncé tout simplement en demandant: «Y a-t-il un sens à la musique?» Ma réponse serait: «Oui». Et "Pouvez-vous dire en tant de mots quel est le sens?" Ma réponse à cela serait «Non.»

Arthur V. Berger commentant la musique d'Aaron Copland: voici enfin un Américain que nous pouvons placer sans vergogne à côté des grandes figures créatives reconnues de tout autre pays.

Mozart a tapé la source à partir de laquelle toute la musique coule, s'exprimant avec une spontanéité et un raffinement et une justesse à couper le souffle.

Le moment inspiré peut parfois être décrit comme une sorte d'état d'esprit hallucinatoire: la moitié de la personnalité émotionne et dicte tandis que l'autre moitié écoute et note. La moitié qui écoute a mieux parlé dans l'autre sens, ne ferait mieux que simuler une moitié d'attention, car la moitié qui dicte est facilement mécontent et s'impose pour une inspection trop étroite en s'estompant entièrement.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Aaron_Copland

Ses oeuvres

Ses derniers livres