Je pense que c'est pourquoi je suis un acteur: donc je peux raconter ces histoires sans avoir à vivre vraiment à travers ces histoires avec des conséquences réelles et de vraies enjeux, une vraie responsabilité.

À l'école supérieure, Aubrey Berg au Conservatoire de Cincinnati m'a donné la chance de jouer avec les meilleurs du pays de Broadway Caliber Productions.

Au lycée, mon professeur d'anglais Celeste McMenamin m'a présenté les grands romans et Shakespeare et m'a appris à écrire. Essais, poésie, analyse critique. L'écriture est une compétence qui était douloureuse à l'époque, mais un amour de moi maintenant.

Sur l'enregistrement PBS de «The Light in the Piazza» dans les coulisses, vous pouvez me voir faire de doux fentes dans le couloir du Vivian Beaumont.

Christine Bass était ma professeur de musique de lycée. Elle a suivi un programme sur ses dernières jambes et en quelques années s'est transformée en l'un des meilleurs programmes du pays. Notre lycée a dominé les compétitions de chorale nationale tout au long de son mandat de plus de 20 ans.

Avant «Giant», je n'avais jamais travaillé avec Michael Greif, Michael John Lachiusa et Kate Baldwin dans Readings. C'est vraiment excitant d'être béni de l'opportunité de travailler avec autant que je mettrais dans le livre «génie».

J'essaye d'aller avec le flux, ce qui n'est pas ce que je faisais. J'essayais de microgérer mes choix de carrière.

Je sais que je ne peux pas planifier dans cette entreprise, mais je vais continuer tant que je continue de me rapprocher ... jusqu'à présent, je me sens chanceux et infiniment reconnaissant pour les succès que j'ai eu. Je vais continuer à travailler dur, et quoi qu'il arrive, se passe.

Je veux porter un spectacle, mais il n'y a pas beaucoup de pièces de tête pour les personnes qui ne sont pas des célébrités.

Je peux chanter, jouer et écrire et créer et produire pour vivre et partager l'art avec les gens, et j'ai l'impression qu'un morceau de cela est en l'honneur de ceux qui m'ont précédé.

Je me souviens de la visite des «chats» à Philadelphie. J'avais 12 ans et j'avais un bug d'estomac.

2009 était assez fou! Je n'arrive pas à croire que j'ai travaillé avec Jeremy Irons, Joan Allen, Marsha Mason, Catherine Zeta-Jones et Angela Lansbury, Jack O'Brien et Trevor Nunn au cours des mêmes 12 mois.

Les femmes sont tellement plus difficiles et plus patients que les hommes - leur capacité d'empathie m'échappe. Et leur capacité à gérer le stress pendant de longues périodes est également une sorte d'inspiration.

Ma mère me dit que le premier spectacle que nous avons vu était «le jardin secret», mais je ne m'en souviens pas.

Vous devez apprendre à jouer une chanson pop. Vous devez trouver l'équilibre de la pop de la chanson pop et la signification lyrique de la scène dans laquelle vous vous trouvez.

J'étais tellement excité d'avoir un enfant! Je l'ai tenu comme s'il était Simba dans «The Lion King». Je voulais chanter «le cercle de la vie».

Je suis allé à l'ouverture de «Sister Act» et j'ai passé un si bon moment. Je ne savais pas de quoi il s'agissait et je n'avais jamais vu les films. Mais j'ai entendu que le spectacle avait traversé une folie majeure de dernière minute dans les aperçus, et l'homme, la soirée d'ouverture était vraiment amusante et vraiment divertissante.

Vous entendez parler de Broadway toute votre vie, et j'ai appris ce que cela signifiait de travailler à Broadway dans «The Phantom of the Opera».

Évidemment, je suis un grand fan de Matt Morrison, et je suis un grand fan de Lea Michele parce que je connais ces gars de retour.

La vie à New York peut l'être, je ne sais pas, chaotique, écrasante, occupée, frénétique et souvent, les personnes âgées peuvent facilement être négligées.

J'ai toujours été enthousiasmé par l'idée d'exécuter un spectacle solo.

L'idée de faire une production de «carrousel» qui n'a pas l'impression qu'elle est coincée dans les années 1950 m'intrigue vraiment.

J'ai en quelque sorte jugé à tort «Mamma Mia! depuis si longtemps. Je l'ai pensé comme une comédie musicale de juke-box qui ne m'intéressait pas. J'avais tellement tort.

Il y a des parties auxquelles je me connecte - être père et tout - mais "Mamma Mia!" me permet d'aller là-bas et d'être moi et de m'amuser. Je n'ai jamais vraiment eu la chance de faire ça avec autant de liberté.

En septième et huitième année, la grammaire et le vocabulaire n'étaient pas mes sujets préférés.

Il était surréaliste de jouer en face Angela Lansbury et Elaine Stritch, Bernadette Peters et Catherine Zeta-Jones. Il y avait tellement de choses à apprendre juste en les regardant, et ce fut un honneur de partager la scène avec des femmes qui ont accompli ce qu'elles ont.

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