Notre réponse a été: «Eh bien, faisons ensuite un effort pour amener les Israéliens et les Palestiniens à s'asseoir autour de la table. Cela ne s'est pas produit. Nous n'avons donc que nous-mêmes à blâmer pour cette crise.

La paix avec Israël est un impératif stratégique pour la Jordanie.

Monsieur le Président, Premier ministres, ayons des ambitions: les ambitions pour aller au-delà de la violence et de l'occupation, au jour où deux États, Palestine et Israël, peuvent vivre ensemble côte à côte en paix et en sécurité.

Au cours des dernières années, la route de confrontation a montré ses conséquences: perte de vies innocentes, destructions et de peur. Le plus coûteux, cependant, a été la perte d'espoir. Le cadeau le plus précieux que vous pouvez présenter à vos peuples au cours des prochaines semaines est l'espoir renouvelé né des progrès tangibles sur le terrain.

Je ne suis pas le type de personne qui est forcée.

Je crois que l'énergie nucléaire en Jordanie se fera de manière à ce qu'il s'agisse d'un partenariat public-privé afin que tout le monde puisse voir exactement ce qui se passe.

Le Moyen-Orient a le pourcentage de chômage le plus élevé de n'importe quelle région du monde, nous avons la plus grande cohorte de jeunes d'histoire qui se traduit par la frustration que la frustration se traduit par la sphère politique lorsque les gens ont faim et sans emplois.

Je pense que c'est vraiment un moment déterminant pour le monde arabe. Le problème est que tout dépend du sang, de la sueur et des larmes. Dans certains pays, il peut être de transpiration, et dans certains pays, transpire et larmes, et dans certains pays, comme vous pouvez le voir, beaucoup de sang. Je pense que l'instabilité initiale est quelque chose dont nous sommes tous extrêmement nerveux.

WikiLeaks n'a pas aidé la confiance avec les administrations américaines en raison des conversations rendues publiques si facilement.

Plus je soutiens avec mes plans économiques, la construction d'une classe moyenne, plus ils vont se retourner et dire: «Hé, nous voulons une plus grande disse dans les choses. Donc, je savais ce que j'allais dans le début. C'est ce qu'il faut faire.

Le printemps arabe, je pense que nous reviendrons en arrière, que ce soit deux ans, cinq ans, dix ou quinze. Et dis que c'est une bonne chose.

Peu importe ce qui se passe au Moyen-Orient - le printemps arabe, et cetera, les défis économiques, les taux élevés de chômage - le problème émotionnel et critique est toujours le problème israélo-palestinien.

Il y a dix ans, j'ai dit, vous savez, mon objectif est de pouvoir prendre de la nourriture sur la table. Ce que j'essaie de dire, c'est d'essayer de créer une classe moyenne dynamique, capable et efficace. Plus nous pouvons le faire plus rapidement et plus rapidement, plus il est facile pour la réforme politique d'avancer.

Chaque pays son analyse des coûts va être différent. Donc, ce que nous voyons en Syrie, par exemple, est différent de ce qui se passe en Jordanie. Les cartes sont en cours de réécriture.

Nous voulons être, je pense, un exemple pour le reste du monde arabe, car il y a beaucoup de gens qui disent que la seule démocratie que vous pouvez avoir au Moyen-Orient est les Frères musulmans.

J'aime regarder le verre à moitié plein.

La sécurité et l'avenir de la Jordanie sont main dans la main avec l'avenir des Palestiniens et des Israéliens.

Le développement politique devrait commencer par la base.

Ce qui me tient debout la nuit, c'est la pauvreté et le chômage.

La monarchie que je remets à mon fils ne sera pas la même que j'ai héritée.

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