Adam Arkin est un acteur, réalisateur et scénariste américain né le 19 août 1956 à New York, dans l'État de New York (États-Unis).

L'endroit rampait avec des jeunes. C'était bien, car les enfants étaient bons. Je ne peux pas faire une hypothèse générale. Encore une fois, vous obtenez probablement, en tant que thème général de ma part, que je ne fais pas beaucoup de règles larges et radicales sur les films.

L'idée de cela devient un peu bizarre si vous avez affaire à quelqu'un qui a du mal à se différencier entre la fantaisie et la réalité, mais c'est une préoccupation quel que soit le type de film avec lequel vous avez affaire.

Je suis toujours honoré, mais je pense que pour 100 de ceux qui viennent, l'un d'eux va se produire. Et, le fait qu'il s'agissait d'une offre sur un film majeur qui avait une date de début, était assez impressionnant.

Vous parvenez par l'horreur, vous traversez l'isolement, mais vous êtes responsable en vous rappelant que vous êtes connecté à tout le monde.

Les gens peuvent être obsédés par la romance, ils peuvent être obsédés par la paranoïa politique, ils peuvent être obsédés par l'horreur. Ce n'est pas la faute du sujet qui crée l'obsession, je ne pense pas.

Je pense que c'était le cas ici. Nous voulions juste que ce soit bon pour tout le monde.

C'est la même chose qui pousse les gens à vouloir ressentir un plaisir sexuel ou prendre trop de boissons. Nous voulons tous vivre l'autre et sortir de notre existence quotidienne.

J'ai l'impression que Josh, Michelle et Adam étaient tous des joueurs d'équipe, qui voulaient faire partie d'un ensemble.

Je ne peux pas imaginer que j'aurais été jeté dans le rôle, sans que Jamie Lee ne me donne un coup de pouce.

C'est beaucoup de travail et j'ai aussi l'impression de l'avoir fait. La comédie me manque. Et je pense aussi que, d'un point de vue purement logistique, que le calendrier quotidien d'une comédie vous permet d'avoir une vie, beaucoup plus une vie, que sur un drame.

Je pense que dans le cas de l'horreur, c'est une chance d'affronter beaucoup de vos pires peurs et ces peurs doivent généralement faire, ironiquement, avec l'impuissance et l'isolement.

J'aurais vraiment été stupide de ne pas l'avoir fait. C'était aussi un film qui se produisait, je veux dire, Miramax le faisait, et il y avait une sorte de légitimité. Et une fois que j'ai lu le script, j'étais là.

Ce que j'avais à dire, c'était, en général, je ne suis pas vraiment fan de tout genre de tout type de film.

Je pense que cela a créé un environnement sain. Les comparaisons avec «ER» étaient exaspérantes et il y avait cette hypothèse que nous nous regardions tous les deux avec rage et ressentiment, ce qui n'était pas non plus le cas.

Je veux continuer à faire une grande variété de choses que je peux le faire, et si cela signifie que j'ai l'honneur de faire plus de travail de fonctionnalité, j'aimerais ça. Je sais que si je prends d'autres engagements de télévision à long terme, ce ne sera pas sur un drame.

D'abord et avant tout, c'était amusant. Toutes les personnes impliquées vous ont fait sentir qu'ils ont été un contributeur important au processus. Nous avons été faits de nous sentir valorisés.

Pour affronter ces peurs, dans un environnement contrôlé, où il y a 300 personnes autour de vous en passant par la même chose, c'est cette étrange sorte de yin et de yang.

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