Je pense que c’est ça qui lui est arrivé. Il s’est perdu au milieu des lettres, des titres, perdu au milieu des histoires qui habitaient sa tête. Parce que nous sommes tous faits d’histoires, pas d’adé-ènes et de codes génétiques, ni de chair, muscles, peau et cerveaux.Elias Bonfim, douze ans, n’a jamais connu son père : ce modeste fonctionnaire amateur de littérature a définitivement disparu des radars après s’être engouffré un bel après-midi dans L’île du docteur Moreau de H. G. Wells. Taraudé par cette insolite fugue paternelle, le jeune garçon part à sa recherche… À travers ce bref roman au tempo endiablé, Afonso Cruz nous fait partager ses aventures loufoques, passant de Lao-tseu et Ray Bradbury au héros de Dostoïevski, Raskolnikov, et à d’autres personnages encore, dans un périple qui est aussi un merveilleux hommage à la littérature, aux livres et à la lecture.

Les livres qui ont dévoré mon père

Je pense que c'est ça qui lui est arrivé. Il s'est perdu au milieu des lettres, des titres, perdu au milieu des histoires qui habitaient sa tête. Parce que nous sommes tous faits d'histoires, pas d'adé-ènes et de codes génétiques, ni de chair, muscles, peau et cerveaux.

Elias Bonfim, douze ans, n'a jamais connu son père : ce modeste fonctionnaire amateur de littérature a définitivement disparu des radars après s'être engouffré un bel après-midi dans L'île du docteur Moreau de H. G. Wells. Taraudé par cette insolite fugue paternelle, le jeune garçon part à sa recherche... À travers ce bref roman au tempo endiablé, Afonso Cruz nous fait partager ses aventures loufoques, passant de Lao-tseu et Ray Bradbury au héros de Dostoïevski, Raskolnikov, et à d'autres personnages encore, dans un périple qui est aussi un merveilleux hommage à la littérature, aux livres et à la lecture.

Les livres qui ont dévoré mon pere

In una Dresda devastata dai bombardamenti, s'intersecano e si fondono le vite di Isaac Dresner, giovane ebreo tedesco che si è rifugiato nello scantinato di un negozio di uccelli per sfuggire alle persecuzioni naziste; di Bonifaz Vogel, il proprietario del negozio, e della pittrice Tsilia Kacev, che con il suo vestito verde e il cuore infreddolito, attraversa la vita di entrambi come l'ombra leggera di un passero. In questo triangolo fa irruzione Mathias Popa, autore de La bambola di Kokoschka, che racconta la storia del pittore Oskar Kokoschka e della sua bambola fatta a immagine e somiglianza dell'amata Alma Mahler. Con grande ironia e inventiva, Afonso Cruz costruisce un magistrale gioco di matrioske, dove realtà e finzione si incontrano e dove lo sguardo dell'altro è fondamentale per la nostra storia e la nostra identità.

La bambola di Kokoschka

Si dice che se la montagna non va da Maometto, Maometto va alla montagna. Seguendo questo adagio popolare un piccolo paesino dell'Alentejo viene trasformato in una Gerusalemme portoghese per esaudire l'ultimo desiderio dell'anziana Antónia che vorrebbe, più di ogni altra cosa, compiere un pellegrinaggio in Terra Santa. Tra i personaggi che calcano il palcoscenico di questa messinscena accuratamente preparata si susseguono Rosa, la nipote di Antónia, appassionata lettrice di romanzi western e convinta che la Vergine Maria si sia sostituita alla sua vera madre; Borja, un professore in pensione emulatore di Diogene di Enoanda che come lui imbratta i muri del paese con citazioni e aforismi epicurei; una ricca signora inglese, che dorme dentro lo scheletro di una balena e organizza simposi filosofici con un bramino indiano e a un sacerdote nigeriano. Una commedia surreale e grottesca sull'amore, sulla perdita e sui cambiamenti che travolgono e condizionano le nostre vite.

Gesù beveva birra

Nous remplirons le monde de choses précieuses. Ce sera tellement que les hommes les passeront en les jugeant banal.

Ses oeuvres

Ses derniers livres