Al Kooper (de son vrai nom Alan Peter Kuperschmidt, né le 5 février 1944 à Brooklyn, New York, États-Unis) est un auteur-compositeur-interprète américain. Il débute comme guitariste, puis passe ensuite aux claviers et devient également producteur.

L'endroit où j'ai travaillé, j'avais l'habitude de plaisanter à ce sujet. Il y avait un, tous les matins à 10h30, je venais au travail et j'allais dans cette cabine qui avait un peu de piano droit et de fausses briques de liège blanc sur le mur, et une petite ardoise qui sortait du mur qui Vous pouvez réellement écrire. Et une porte qui s'est verrouillée de l'extérieur. Chaque jour de 10 à 6 ans, nous y allions et prétendons que nous étions des filles de 13 ans et écrivions ces chansons. C'était le concert.

Musicalement Bob [Dylan] est une primitive. Ce n'est pas un Gershwin, ni quelqu'un qui utilise des termes musicaux éloquents.

De temps en temps, nous pouvions voler les trucs de quelqu'un d'autre.

À la fin de la lecture de la prise de "comme une pierre de rouleau", ou en fait pendant la chose, Bob Dylan a dit au producteur, monte l'orgue. Et Tom Wilson a dit, oh mec, ce type n'est pas un joueur d'orgue. Et Dylan a dit: Je m'en fiche, réprimande l'organe, et c'est vraiment ainsi que je suis devenu un joueur d'orgue.

Dans le, euh, 30 ans et 40, le bâtiment Brill était la plaque tournante de l'activité musicale, euh à Tin Pan Alley à New York. Je crois que Irving Berlin était là, et euh, et tout s'est juste centré là-bas.

J'ai commencé dans le monde de la musique, j'ai été présenté pour la première fois au 1650 Broadway, euh, qui était en réalité où tout s'est passé dans les années 60.

... Vous ne pouviez pas vous empêcher d'être influencé par Dylan.

Ce qui est très drôle à propos de "Like a Rolling Stone", c'est que c'était une chanson de six minutes, il n'y avait pas de musique à lire. Et là, je jouais à cet instrument inconnu. Je venais donc sur le optimisation d'un. J'attendrais que le groupe jouait l'accord, puis aussi rapidement que je pouvais jouer dans l'accord.

Ce n'est qu'à travers une pure ambition que j'ai fini par jouer sur [Bob Dylan Sessions] et le fait que je puisse faire cela témoigne de la désorganisation que c'était désorganisé.

Je pense que c'était Columbia Politics, Columbia enregistre la politique que, Tom Wilson a quitté [Bob Dylan] après "comme une pierre roulante".

La production de Bob Dylan était à peu près un sport de spectateur.

L'album "Highway 61" [de Bob Dylan] a été produit par Bob Johnston si je ne suis pas incorrect. Et Bob Johnston était un producteur entièrement différent de Tom Wilson. Tom Wilson avait produit des disques de jazz et était un Harvard éduqué.

Mike Bloomfield s'est assis et a commencé à jouer, et je suis allé, Whoa! Parce que je n'avais jamais entendu aucun blanc jouer comme ça auparavant. Et il avait à peu près mon âge, et il a juste terminé ma carrière de guitare, comme ça, en un après-midi.

La première génération des années 50 en 1650 [Broadway] était à peu près tous des escrocs, je veux dire juste des escrocs. Et la génération suivante avait un peu plus de finesse. Mais je veux dire que cette première vague de personnes, vous savez, prendrait certainement tout votre argent, sans aucun doute.

Si vous aviez fait du bon travail, vous repartiriez et laissez toutes ces différentes chimies interagir et lâchez-la.

Toujours ambitieux de vouloir jouer sur le disque, j'étais un clavier médiocre. Et euh, j'ai saisi l'occasion et joué de l'orgue.

Les sessions [Bob] Dylan ont été très désorganisées, pour dire le moins. Je veux dire, la session "Like a Rolling Stone", j'ai été invitée par le producteur à regarder.

Contrairement à tant de dylan-wannabes et de faux compilateurs «encyclopédie», Sean Wilentz me fait sentir qu'il était dans la salle quand il raconte les événements auxquels j'ai participé. Enfin une bouffée de mots frais fondés dans des recherches intelligentes hardcore.

Mes influences étaient principalement l'évangile. Je jouais donc mon équivalent juif tordu de la musique gospel sur son équivalent tordu de la musique rock and roll. Et c'était un très excellent mariage.

Ses oeuvres