Les Contes d'Albert Samain ont été publiés en 1902 à titre posthume.

Contes

Cette édition scientifique de la Correspondance d'Albert Samain, en partie inédite, est la plus complète à ce jour. Elle contient 725 lettres qui offrent un éclairage unique sur la vie et l'oeuvre de ce poète injustement méconnu.

Correspondance (1876-1900)

Cette édition des oeuvres en prose d'Albert Samain, en partie originale, est la plus complète à ce jour. Elle contient l'intégralité de ses contes et propose deux états de ses Carnets intimes. L'apparat critique présente des notices introductives, deux index et un choix de trois articles.

Oeuvres en prose

Albert Samain (1858-1900) est né à Lille. Il est surtout connu pour sa poésie, dont il nous reste trois recueils : Au jardin de l'infante (1893), Aux flancs du vase (1898) et Le Chariot d'or (1901). Il a aussi laissé des contes et un drame lyrique, Polyphème, joué en 1904 seulement. Il est mort de la tuberculose. Extrait : Hélas ! c'était sur les genoux de l'odieux magot qu'elle était assise. Un fou rire la secouait ; et le vilain bonhomme, gloussant plus fort que jamais, chiffonnait de ses gros doigts boudinés le péplum d'azur dont les beaux plis semblaient souffrir. Ah ! ce ne fut pas long. Un rugissement se fit entendre, dont frémirent les vitres, le faune leva son poing de bronze, et paff !... la petite danseuse de Tanagra, sans même jeter un cri, se cassa en mille morceaux.

Oeuvres (1924-1925) - En deux volumes

Albert Samain, né le 3 avril 1858 à Lille et mort le 18 août 1900 à Magny-les-Hameaux, est un poète symboliste français.

La tourterelle d'Amymone

À Marceline Desbordes-Valmore

Automne

Bacchante

Blotti comme un Oiseau

Chanson d’été

Comme un père en ses bras

Comme une grande fleur

Confins

Dans le parc…

Devant la mer, un soir

Dilection

En printemps

Extrême-Orient

Hiver

Hyacinthe

Idéal

Invitation

L'hermaphrodite

La chimère

La coupe

La cuisine

La grenouille

La prière du convalescent

Larmes

Le berceau

Le bonheur

Le laboureur

Le marché

Le petit Palémon

Lèvres ! Lèvres ! Baiser qui meurt, baiser qui mord. Lèvres, lit de l'amour profond comme la mort !

Ton souvenir est comme un livre bien-aimé, qu'on lit sans cesse, et qui n'est jamais refermé. Un livre où l'on vit mieux sa vie, et qui vous hante, d'un rêve nostalgique, où l'âme se tourmente.

Quand vous devenez pessimiste, regardez une rose.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Samain

Ses oeuvres

Ses derniers livres