Si, dans toutes les villes, chaque maison qui est passée par la réparation pourrait être abaissée ou brûlée, à quel point le crash serait formidable, comment le paradis est-il à la conflagration. Ce serait une véritable fissure de malheur et d'ébullition du jugement.

... nous voyons les pauvres comme une masse d'ombre, peinte en un seul lavis gris et plat, aux confins de notre soleil.

Cela me fait mal d'entendre le ton dans lequel les pauvres sont condamnés comme «sans déclenchement» ou «avoir un esprit pauvre», tout comme si une foule se moquait d'un enfant pour sa faiblesse, ou riait d'un homme boiteux parce qu'il pouvait pas courir, ou un aveugle parce qu'il trébucha.

... nous pouvons supporter avec beaucoup de philosophie les souffrances des autres, surtout si nous ne les voyons pas réellement.

La leçon quotidienne de la durée de vie des bidonvilles, visualisée, réitérée, de faibles normes, de vie vile, de obscénité, de blasphèmes, d'impureté, est liée à la naine et à la dégradation des enfants qui en sont au milieu.

L'un des sites les plus tristes des bidonvilles est de voir la femme économe de l'homme qui travaille bruit et saleté et confusion, dans l'obscurité du bidonville.

Plusieurs générations d'environnement des bidonvilles produiront une hérédité des bidonvilles.

... rien ne semble complètement différencier les pauvres d'autre que la pauvreté. Nous ne trouvons pas d'adjectifs qui leur correspondent, dans leur ensemble, seulement ceux dont Want est la mère. "Miserable" en couvre plusieurs ; "minable" le plus, et je suis tristement conscient que, dans une grande majorité d'esprits, "désagréable" les inclut tous.

...Je me suis souvenu du rosier qui avait tendu une branche épineuse à travers la clôture en lambeaux, et qui avait attrapé ma robe, me retenant alors que j'aurais voulu passer. Et une fois de plus, le symbolisme de tout cela m'est apparu. Ces souvenirs et ces visions des pauvres, c'était l'emprise des épines. Les travailleurs sociaux ont tous ressenti cela. Cela les retient à leur travail, parce que les épines se recourbent vers l'arrière et que l'on ne peut pas s'en détacher.

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