Selon la légende de Loosewood Island, à quelques miles des côtes du Maine, Brumfitt Kings, venu d'Écosse au XVIIIe siècle pour pêcher la morue et le homard, aurait reçu son épouse en cadeau de l'océan...
Deux cents ans plus tard, la rudesse de la vie insulaire ne laisse guère de répit à la jeune Cordelia. Première femme à défier la mer à bord de son homardier, livrée aux rivalités familiales et aux menaces de contrebandiers, l'héritière des Kings doit assurer l'avenir de sa communauté.
Dans ce roman contemporain aux accents de tragédie shakespearienne, une héroïne farouche et déterminée tente de réconcilier le passé et le présent d'une culture ancestrale. C'est l'histoire inoubliable d'une famille, d'une passion, d'un destin.

La légende de Loosewood Island

Selon la légende de Loosewood Island, à quelques miles des côtes du Maine, Brumfitt Kings, venu d'Ecosse au XVIIIe siècle pour pêcher la morue et le homard, aurait reçu son épouse en cadeau de l'océan... Deux cents ans plus tard, la rudesse de la vie insulaire ne laisse guère de répit à la jeune Cordelia. Première femme à défier la mer à bord de son homardier, livrée aux rivalités familiales et aux menaces de contrebandiers, l'héritière des Kings doit assurer l'avenir de sa communauté. Dans ce roman contemporain aux accents de tragédie shakespearienne, une héroïne farouche et déterminée tente de réconcilier le passé et le présent d'une culture ancestrale. C'est l'histoire inoubliable d'une famille, d'une passion, d'un destin.

La famille Kings habite sur l'île de Loosewood depuis trois cents ans. Les richesses de la mer et l'abondance des homards ont permis à toutes les générations de régner sans partage sur l'activité de la pêche. Après la disparition tragique de son petit frère, Cordelia va reprendre la couronne que lui cède son père. Partagée entre les rivalités avec ses deux sours, la lutte farouche qu'il lui faut mener contre les trafiquants de drogue qui transitent dans les eaux poissonneuses de l'île à quelques encablures de la terre ferme et l'amour qu'elle porte au marin de son bateau, la jeune fille doit résister aux dangers qui l'entourent et rendent son avenir incertain. Le récit formidablement réaliste et poétique est nourri des mythes qu'Alexi Zentner sait si bien susciter, comme dans son premier roman, Les Bois de Sawgamet. Il nous offre ici un conte inoubliable. Traduit de l'anglais par Marie-Hélène Dumas

Dans les immenses forêts du Grand Nord canadien, à Sawgamet, colonie de bûcherons et de chercheurs d'or, le froid est si intense, la coupe si dangereuse et les esprits si susceptibles, que survivre est déjà presque une offense à la nature. Une femme est en train de mourir. Stephen, son fils, devenu pasteur, contemple son corps fragile. A l’approche d’un nouvel hiver, les souvenirs de cette saison redoutable et superbe s’imposent à lui : la disparition de son père et de sa jeune sœur Mary, pris par la glace, alors qu’il n’avait que 10 ans ; les histoires de son grand-père Jeannot et de sa femme bien aimée Martine… Un monde perdu, sauvage et merveilleux revit, où les caribous d’or côtoient les sorcières des bois, où les hommes se révèlent dans la beauté stupéfiante de l'hiver."Ce premier roman d’Alexi Zentner est d’une effrayante beauté." Xavier Houssin, Le Monde des livres.

Les Bois de Sawgamet

Stephen, aujourd’hui pasteur, revient sur les lieux de son enfance, au chevet de sa mère mourante, mais aussi afin de reprendre place au sein d’une communauté qui a tant compté pour lui. A Sawgamet, ville champignon fondée dans les forêts du Nord par son grand-père un demi-siècle plus tôt, le froid est si intense pendant l’hiver qu’il brise le verre des thermomètres et la magie des bois est plus à craindre que les dangers du travail de bûcheron. Stephen retrace l’histoire de son grand-père Jeannot et de sa femme bien aimée Martine, la façon dont ils se rencontrèrent et s’aimèrent… Mais à Sawgamet, il y eut aussi la tragique disparition de son père et de sa jeune sœur, emportés sous la glace, lorsqu’il était enfant. Les Bois de Sawgamet entraîne le lecteur dans un monde merveilleux et plein de tendresse, où les sorcières des bois et les caribous d’or côtoient des chiens qui chantent, où les vivants et les morts se séparent et se retrouvent dans la beauté stupéfiante de l’hiver.

Stephen, aujourd'hui pasteur, revient sur les lieux de son enfance, au chevet de sa mere mourante, mais aussi afin de reprendre place au sein d'une communaute qui a tant compte pour lui. A Sawgamet, ville champignon fondee dans les forets du Nord par son grand-pere un demi-siecle plus tot, le froid est si intense pendant l'hiver qu'il brise le verre des thermometres et la magie des bois est plus a craindre que les dangers du travail de bucheron. Stephen retrace l'histoire de son grand-pere Jeannot et de sa femme bien aimee Martine, la facon dont ils se rencontrerent et s'aimerent... Mais a Sawgamet, il y eut aussi la tragique disparition de son pere et de sa jeune s ur, emportes sous la glace, lorsqu'il etait enfant. "Les bois de Sawgamet" entraine le lecteur dans un monde merveilleux et plein de tendresse, ou les sorcieres des bois et les caribous d'or cotoient des chiens qui chantent, ou les vivants et les morts se separent et se retrouvent dans la beaute stupefiante de l'hiver.

Les bois de Sawgamet

Bien que Shakespeare n'était pas la première voix de la salle, en Amérique du Nord et en Europe, il est l'une des voix les plus bruyantes.

Mes filles sont à la fois drôles et intelligentes et très amusantes. Ils jouent à la crosse, au football, aux instruments de musique, aiment cuisiner avec moi et sont des naturels dans la piscine. Honnêtement, cependant, ce que j'aime le plus faire avec eux, c'est manger. J'ai travaillé très dur pour m'assurer qu'ils sont prêts à essayer toutes sortes d'aliments différents.

L'histoire d'essayer de respecter le mythe est plus intéressante que le mythe lui-même.

Si vous prenez une vision froide et franc de la plupart des religions, et que vous dites en quelque sorte: «Eh bien, voici la base:« La plupart d'entre eux semblent fous. C'est la croyance qui les rend réelles. Je m'intéressais à cette question: quand une croyance devient-elle un mythe? Quand quelque chose en lequel vous croyez devient juste une histoire?

Un de mes amis les plus anciens a un chalet sur le lac Smoke dans le parc provincial Algonquin, et c'est l'un de mes endroits préférés au monde.

Mes enfants ont volé mes rêves dans un sens très littéral. J'ai perdu des mois dans les minutes et les heures que Sabine et Zoey ont eu besoin de moi la nuit, leurs cœurs minces et battus en papillon poussés contre moi dans l'obscurité.

Si je pense à un lecteur pendant que j'écris, le seul lecteur qui compte vraiment pour moi est ma femme. Il est très important pour moi qu'elle aime ce que j'écris.

Les livres d'Ezekiel Boone, à commencer par la série «The Hatching», sont censés être de grands livres tentaculaires, intelligents et divertissants qui sont amusants avant tout; Les romans littéraires écrits sous mon vrai nom, Alexi Zentner, sont certainement un peu plus silencieux.

Je suis absolument terrifié par les araignées.

J'ai commencé à écrire «The Lobster Kings» le lendemain d'avoir vendu mon premier roman, «Touch».

Ayant grandi à Waterloo, le prix du gouverneur général n'était pas quelque chose que je souhaitais même souhaiter.

J'ai aimé Shakespeare au lycée, mais à l'université, j'ai passé un semestre à étudier à Londres, et c'était en quelque sorte au milieu de moi qui tombe profondément amoureux de la littérature, et j'ai suivi un cours Shakespeare avec un professeur qui ne pouvait rien imaginer rien plus important que Shakespeare.

Je suis très fatigué des livres qui semblent émotionnellement vides. Je préférerais de loin que les écrivains se trompent du côté d'être trop sentimental que non. Je pense que l'équilibre parfait est une histoire qui vous fait bouger sans être maussade, mais je n'aime pas les livres qui sont vides d'émotion et il n'y a pas de lien avec les personnages.

Pour «The Lobster Kings», j'ai écouté beaucoup de Johnny Cash. Et il fait son chemin dans le livre.

Autant j'aime mes filles, je n'étais pas satisfait d'être seulement un foyer, et ma femme m'a encouragé à essayer, à vraiment essayer, à être écrivain. Plus que tout, je ne voulais pas la laisser tomber.

J'ai grandi en lisant des thrillers, de la science-fiction, de la fantaisie - vous l'appelez - et un jour je me suis demandé s'il y avait une raison pour laquelle une peur des araignées était si courante. Y a-t-il eu quelque chose enterré profondément dans notre histoire évolutive qui a fait de la peur des araignées un instinct de survie?

Je crois que l'art élève l'humanité. Je me sens incroyablement privilégié d'en faire partie.

Je ne m'attendais pas à être en mesure de pouvoir dire: «Hé, voyez le magazine avec J. Lo sur la couverture? Ils ont passé en revue mon livre à l'intérieur.

J'adore enseigner l'écriture créative, et je pense que je suis bon dans ce domaine, mais dans une vie différente, j'aurais pu enseigner l'école primaire.

Quand j'écris un roman, l'une des choses que je fais est d'obtenir de grandes panneaux d'affiches. Ce sont en fait des toiles que les artistes utilisent. Et je garde tous les noms des personnages sur eux. Si vous écrivez un grand roman, il y a beaucoup de personnages.

Ma femme m'a incroyablement soutenu en tant qu'écrivain. Essayer vraiment de m'assurer d'obtenir l'espace et le temps dont je dois travailler en tant qu'écrivain et être prêt à faire certains des sacrifices que vous devez faire pour vivre la vie d'un artiste.

Pour cartographier le prix du gouverneur général, c'est cartographier le passé et l'avenir de la littérature canadienne, et être nominé pour mon premier livre est Wonderful.

Je pense qu'une grande partie de la littérature des jeunes adultes est en quelque sorte ghettoïde - le titre «jeune adulte» fait que les gens le remettent immédiatement. Et tout comme avec des livres qui sont écrits pour les adultes, il y a beaucoup de littérature pour jeunes adultes qui est mauvais. Mais il y a aussi beaucoup de littérature pour jeunes adultes qui est brillante.

Il y a très peu de choses comparables à voir l'étincelle sur le visage d'un élève quand elle obtient quelque chose avec lequel elle a du mal.

Il n'y a pas de réponse simple pour ce que signifie être canadien. Il y a mille réponses qui se réunissent. Mais une partie de cela est qu'il y a une mythologie nationale.

J'ai dit à plusieurs reprises qu'il n'y a que deux choses à écrire: l'amour et la mort. Et quand vous avez des enfants, vous vous souvenez que le monde est plein de coins pointus et de choses dangereuses, et soudain, vous avez ces petites créatures douces, que vous aimez de manière presque douloureuse.

Ses oeuvres

Ses derniers livres