L'histoire d'un deuil familial et de l'obsession qui s'en suivie. Hiver 1995. Richard et Ellen Thomas, accompagnés de leurs filles de dix-huit et sept ans, Alison et Claire, partent pour des vacances de rêve dans les Caraïbes. La famille Thomas arrive à quatre. Une semaine plus tard, c'est à trois qu'ils quittent ce si joli nulle part ; le corps d'Alison a été retrouvé sans vie. Des années plus tard, Claire croise par hasard Clive Richardson, soupçonné à l'époque d'avoir tué sa soeur. Cette rencontre ravive chez elle le souvenir douloureux de la tragédie. Elle se lance alors dans une quête de vérité qui tourne vite à l'obsession. Désormais adulte, elle porte un regard nouveau sur le drame et sur la personnalité de cette soeur dont elle n'a que des souvenirs d'enfant. Elle veut savoir ce qu'il est arrivé à Alison, mais également comprendre qui était cette jeune femme de dix-huit ans, belle, provocante et imprévisible. Alors que Claire fait tout pour gagner la confiance de Clive et comprendre ce qu'il s'est vraiment passé sur l'île paradisiaque, une étrange relation se noue entre eux. Claire n'est pas la seule à être hantée par son passé...

Un si joli nulle part - Occasion

"Ils sont dans un si joli nulle part, au beau milieu d'une mer translucide. Une fois de retour chez eux, ils oublient vite le nom des choses. Ils ne se souviennent ni du nom de la plage de leur hôtel, ni de celui de l'îlot où ils sont allés faire de la plongée. (Là-bas les oursins plats pullulaient sur la plage comme de vulgaires coquillages.) Ni de celui de leur restaurant favori (était-ce le nom d'une fleur exotique ? ). Ils oublient même le nom de l'île."

Un si joli nulle part

'Hypnotic, delivering acute social commentary on everything from class and race to familial bonds and community .

Saint X

Il est plus facile de tracer les contours de la douleur des autres ; beaucoup plus délicat de reconnaître la sienne.

Il ne comprenait pas qu'une mère et une fille ne peuvent pas être protégées les unes des autres, que les dommages qui passent entre eux ne peuvent pas être atténués parce qu'ils sont aussi des expressions d'amour.

Pour certains, la pluie est un outrage personnel, un impôt sur le bonheur. D’autres sont secrètement reconnaissants. La pluie leur évite d’avoir à jouer les épanouis toute la journée.

Ce n’est pas parce qu’une personne est moins intelligente que toi qu’elle n’a rien à t’apprendre .

Avoir dix-huit ans, n’est-ce pas en fin de compte être constamment tiraillé entre l’intensité de ses désirs et la conscience naissante de soi-même ?

Il est aisé d’être tolérant lorsque vous menez une vie heureuse.

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