Spanning the length and breadth of the twentieth century, Alice Mattison's masterful In Case We're Separated looks at a family of Jewish immigrants in the 1920s and 1930s and follows the urban, emotionally turbulent lives of their children, grandchildren, and great-grandchildren against a backdrop of political assassination, the Vietnam War, and the AIDS epidemic. Beginning with the title story, which introduces Bobbie Kaplowitz-a single mother in 1954 Brooklyn whose lover is married and whose understanding of life is changed by a broken kitchen appliance-Mattison displays her unparalleled gift for storytelling and for creating rich, multidimensional characters, a gift that has led the Los Angeles Times to praise her as "a writer's writer."

In Case We're Separated - Connected Stories

Men Giving Money, Women Yelling is Alice Mattisons latest collection in which the characters lives are told in tales that overlap or echo one another. At the center of the stories is Denny Ring, a young man nobody quite knows. Other characters include John Corey, a contractor who renovates old houses in New Haven, Connecticut; his younger brother Eugene, a volunteer at a soup kitchen; and his older brother Cameron, who is a lawyer specializing in obnoxious law. Johns assistant, Tom, is in love with his former English teacher, Ida Feldman, and Charlotte LoPresti, a social worker who interviews the Corey brothers and their aged father, is friends with Pam Shepherd, a social worker whos in charge of the house for psychiatric patients that John and Tom are renovating.

Men Giving Money, Women Yelling - Intersecting Stories

To Frances, an only child living in McCarthy-era Brooklyn, her mother, Hilda, and her aunt Pearl seem as if they have always been friends. Frances does not question the love between the two women until her father's job as a teacher is threatened by anti-Communism, just as Frances begins to learn about her family's past. Why does Hilda refer to her "first pregnancy, " as if Frances wasn't her only child? Whose baby shoes are hidden in Hilda's dresser drawer? Why is there tension when Pearl and her husband come to visit?The story of a young girl in the fifties and her elders' coming-of-age in the unquiet thirties, this book resonates deeply, revealing in beautiful, clear language the complexities of friendship and loss.

Hilda and Pearl - A Novel

From critically acclaimed author Alice Mattison, "a charmer" (New York Times) whose "voice is like that of no one else writing today" (Kirkus)-comes a profoundly moving meditation on love, friendship, and the unforgotten past One quiet spring day in 1989, Constance Tepper arrives from Philadelphia to watch over her mother's Brooklyn apartment and her orange cat. Con's mother, Gert, has left town to visit her old friend Marlene Silverman in Rochester. Marlene has always seemed alluring and powerful to Con, and ever since Con was a little girl, the long-standing bond between Gert and Marlene has piqued her curiosity. Now she finds herself wondering again what keeps them together. Con's week in Brooklyn will take a surprising turn when she wakes to find that someone has entered her mother's apartment and her own purse is missing. Stranded, with no money, she begins to phone family and friends. By the end of that week, she will experience a series of troubling discoveries about her marriage, her job, and her family's history, and much of her life will be changed forever. In the fall of 2003, now living in Brooklyn and working as a lawyer, Con has almost forgotten that strange and shattering week. But a series of unsettling reminders and surprising discoveries-including traces of a lost elevated train line through Brooklyn-will lead to grief, love, and more questions. At last, a confrontation between Marlene and Con's daughter will unravel some of the mysteries of the past.

Nothing Is Quite Forgotten in Brooklyn - A Novel

J'ai commencé à voir, encore et encore, des histoires qui étaient d'abord déroutantes et deuxièmement où l'impact émotionnel a été muet parce que la grande scène est venue avant l'explication de ce qui se passait. Il y avait un ordre chronologique inversé ainsi qu'une dissimulation de ce qui se passait exactement. Je pense que souvent cela sort de la peur d'être ennuyeux, et parfois je pense que c'est juste une tentative de sembler intelligente.

De temps en temps, quelqu'un dit: "Vous ne pouvez rien apprendre, si vous êtes vraiment un écrivain, vous n'auriez pas besoin de le faire." Mais je pense que ce que les gens ont besoin, c'est du sentiment de ne pas être seul. Ils vont aux programmes MFA pour faire partie d'une communauté de personnes qui se soucient, puis vous commencez à vous soucier de votre ami qui essaie de modifier un magazine et votre autre amie qui est coincée au milieu de son poème. Là, vous avez toutes sortes de choses à craindre en plus de votre propre succès.

Je n'avais jamais écrit sur ce que c'est que de vivre la vie d'un écrivain, et je n'avais jamais lu un livre qui s'est combiné parler de la vie de l'écriture et comment vous pouvez le faire, comment vous pouvez le supporter, comment vous pouvez le gérer émotionnellement , avec les choix que nous faisons tous sur la page.

Si vous avez un personnage debout et mettez ses chaussures et ouvrez la porte, pour ce faire, vous imaginez ses chaussures et ses vêtements et sa maison et sa porte. Le personnage devient plus réel. Mais une fois que vous avez fait cela, vous pouvez probablement tout faire avec quelques détails.

Je pense que les gens ressentent longtemps qu'ils devraient savoir comment écrire un roman dans deux brouillons.

Je suis très secret. Je vais écrire un roman entier et le réviser, ce qui pourrait me prendre deux ans ou plus, et les gens que je connais ne savent pas de quoi j'écris.

Je trouve que je suis très excité par ce que mes élèves font et que je peux être l'obstacle dont ils ont besoin pour sauter.

J'ai entendu un écrivain blanc dire: "Oh, je ne mettrais jamais les Noirs dans mon écriture, j'ai peur d'offenser quelqu'un en faisant mal." Je ne peux pas supporter ça!

J'adore lire la non-fiction et les mémoires, mais je suis surtout intéressé par le morceau d'écriture que la personne.

Parfois, un style indirect et une chronologie variable sont géniaux, mais très souvent, j'ai vu que c'est juste quelque chose qui gêne. Il s'avère que lorsque je parle à l'écrivain qu'elle ou lui, et le plus souvent c'est une femme, qu'elle est inquiet.

Je n'aime pas vraiment dire aux gens de sortir de la drogue.

Je ne pense pas qu'une personne blanche puisse écrire avec précision et de manière convaincante ce que les Noirs vivent de l'oppression.

Lorsqu'un éditeur m'a expliqué la différence entre l'écriture directe et indirecte, je pensais juste que c'était un choix stylistique.

D'une manière ou d'une autre, nous devons nous sentir comme si l'argent était une norme rapide et facile par laquelle nous pouvons évaluer la façon dont nous faisons.

J'arrive à un certain point, et je pense que dans un roman, il s'agit du troisième projet, quand je veux d'autres yeux dessus.

Les écrivains sont parfois payés beaucoup d'argent, mais beaucoup plus souvent ils ne sont pas payés ou ne sont payés qu'un peu.

Certes, les enfants sont encouragés bien plus qu'ils ne l'étaient il y a soixante-quinze ans et sont plus acceptés comme ils le sont.

Je pense qu'une journée de votre vie sur laquelle rien de mal se passe peut être une merveilleuse journée, mais ce ne sera probablement pas la base d'une histoire.

Parfois, les gens veulent savoir comment écrire une histoire du point de vue d'un meurtrier et la rendre sympathique. Je pense que la réponse est que vous commencez par lui faire chercher ses clés de voiture, parce que tout le monde sait à quoi ça ressemble.

Qui écrivait des livres? Il souffre aussi bien que très satisfaisant. Et il y a certainement une souffrance dans le sens où vous ne savez pas longtemps comment le faire.

En fait, je pense qu'il est parfois plus facile pour les monstres de contrôle de se détacher.

Parfois, il est intéressant de voir ce que les gens qui ont trop de contrôle doivent faire pour écrire librement.

Je pense que nous devons développer le courage d'écrire du point de vue des personnes qui peuvent sembler très différentes de nous-mêmes, qui pourraient avoir une orientation sexuelle différente ou une race différente ou une ethnie différente.

Dans de nombreuses cultures, les femmes sont parfois littéralement empêchées d'apprendre à lire ou d'aller à l'école.

Je pense que la différence entre l'écriture en tant que quelqu'un et l'écriture pour lui est que lorsque vous écrivez pour quelqu'un, vous prenez une sorte de fardeau ou de message politique, ce que je ne pense pas que nous ayons le droit de faire.

Dire à quelqu'un d'être confiant dans l'abstrait ne va pas faciliter le fait que l'écrivain peu accueillant se met en place au point de pouvoir mettre les trucs bouleversants.

Nous inventons toujours, même si nous faisons quelqu'un qui est assez proche de nous-mêmes.

J'adore quand les gens peuvent m'aider avec mon travail, donc je le montre.

Je pense que vous devez vous rappeler que l'écriture est difficile; Mon premier éditeur me disait cela.

Il y a la croyance que nous ne pouvons pas être assez intelligents pour écrire. Et certainement la censure des femmes aussi.

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