La nostalgie de l'ange

The lovely bones - film tie in

" Tout compte fait, je n'ai pas eu de mal à tuer ma mère.
" Comment survivre au matricide ? Pendant les vingt-quatre heures qui vont suivre, Helen Knightly se réfugie dans ses souvenirs... Surgissent alors les images d'une enfance passée auprès d'une femme splendide et démente, impitoyable et fragile, qui s'enfonce volontairement dans la maladie. Même après le meurtre, l'amour-haine que Helen voue à sa mère est toujours vivace. Et l'angoisse monte, inéluctablement...

Noir de lune

Dès la première ligne, Helen Knightly avoue. Il y a bien eu meurtre. Que sa mère ait été sénile et méchante ne change rien. Tout au long des vingt-quatre heures qui vont suivre, Helen louvoie entre ses souvenirs et la réalité, pour tenter de comprendre, pour tenter de survivre... Surgissent les images d'une enfance bizarre passée auprès d'une femme belle et démente, impitoyable et fragile, qui s'immerge lentement dans la maladie pour mieux punir son mari. Nous voilà pris à notre tour au piège de l'amour-haine qu'Helen voue à cette mère aux allures d'idole destructrice. Son angoisse devient notre angoisse : que faire du corps ? où trouver un complice ? faut-il quitter la ville ? se tuer ? Le suspense est intolérable : on ne lâche pas Noir de lune avant le tout dernier paragraphe.

The Almost Moon

«Le souterrain où je me suis fait violer donnait jadis accès à un amphithéâtre. Il permettait aux acteurs de surgir au milieu du public, sous les sièges. Une fille avait été assassinée dans ce souterrain, et coupée en morceaux. Ce sont les policiers qui m'ont raconté ça. Ils m'ont dit que par rapport à elle, j'avais eu de la chance.» De la chance... C'est ce qu'Alice Sebold s'est entendu dire à 18 ans, après s'être fait violer dans ce souterrain. Après le choc, c'est l'indignation et le besoin de vengeance qui l'emportent. Pourquoi le viol est-il le seul crime dont la victime est supposée coupable ? Comment accepter les réactions de son entourage ? Comment supporter, si jeune, l'enquête et le procès ? Depuis ce 8 mai 1981, sa vie n'a plus été la même. C'est pour en témoigner que l'auteur nous livre ce récit fort et essentiel.

Lucky

Alice Sebold n'a jamais oublié ce jour où elle a cru mourir sous les coups de son violeur. Elle avait dix-huit ans. Contrairement à Susie, son héroïne de La Nostalgie de l'Ange, elle s'en est sortie. Elle a été " chanceuse ", lui ont dit les policiers (" Lucky " en anglais). Elle raconte ici les cinquante minutes qui ont décidé de sa vie entière. Ce jour d'horreur, elle a vu dans le regard des enquêteurs qu'on la soupçonnant d'avoir été consentante. Pourquoi, s'est-elle demandé, le viol est-il le seul crime dont La victime est supposée coupable ? Au choc, a succédé la révolte. C'est pour cela qu'elle a décidé de ne pas se taire.	 Du viol quelle a subi, Alice Sebold ne cache rien : elle décrit la violence, la terreur, puis l'enquête, et le procès. Ce récit d'une puissance étonnant est aussi l'histoire d'une vengeance - et d'une renaissance.

Lucky - Occasion

Illuminating the experience of trauma victims, the author even imparts wisdom: "You save yourself or you remain unsaved." Here, she reveals how her life was utterly transformed when, as an eighteen-year-old college freshman, she was brutally raped and beaten in a park near campus.

LUCKY

Alice Sebold, née le 6 septembre 1963 à Madison, Wisconsin, est une romancière américaine.

Il commençait à comprendre: vous étiez traité spécial et, plus tard, quelque chose d'horrible vous serait dit.

Il avait été presque à moi. Ma puissance-been-been. J'avais peur de ce que je voulais le plus - son baiser. Pourtant, j'ai collecté des histoires de baiser. -SUSIE SALMON

Une partie du processus créatif pour moi est une invitation aux lecteurs à suivre leur imagination.

Je suis d'accord avec tout ce qui me vient, et tout ce qui ne me arrive pas, je suis d'accord aussi. J'ai une attitude très laissez-faire avec le tout.

Je ne suis pas un type de barre oblique et de brûlure, et je ne suis pas non plus une sorte de postérité. Ils existent juste sur mon disque dur. C'est comme marcher dans la rue - ce que vous laissez derrière vous est toujours là, même si vous ne retournez jamais en arrière et ne le révisitez pas.

Il trouverait sa Susie, à l'intérieur de son jeune fils. Donnez cet amour aux vivants.

Je voudrais retourner à la poésie. Je vénère vraiment, vraiment une bonne poésie. C'était ma discipline privée.

J'étais comme si j'étais en cours de sciences: j'étais curieux.

Ceux qui disent qu'ils préfèrent se battre à mort plutôt que d'être violés sont des imbéciles. Je préfère être violée mille fois. Vous faites ce que vous devez.

C'est difficile, car lorsque vous parlez de processus ou de vos personnages qui gouvernent votre récit, il semble que vous n'ayez aucun contrôle, mais évidemment, vous êtes finalement l'auteur, vous avez donc le contrôle.

Dans la vingtaine, je me suis lancé contre quoi que ce soit «spirituel», je pensais que tout était de la merde.

Apprenez une langue d'un autre pays et vous pouvez ensuite aller dans ce pays: un endroit où les problèmes de votre famille ne suivront pas. Une langue qu'ils ne parlent pas.

Ce que je pense que j'ai été le plus difficile pour moi de réaliser, c'est qu'il avait essayé à chaque fois de s'arrêter. Il avait tué des animaux, prenant moins de vies pour éviter de tuer un enfant

Dans la vingtaine, je me suis lancé contre quoi que ce soit «spirituel»; Je pensais que c'était de la merde.

Les livres et les romans en particulier qui se sont affrontés avec pas mal de choses sont difficiles à expliquer, donc je pense que la première ligne peut se substituer pour essayer de former un sens plus long de ce qu'est le livre.

Le meurtre avait une porte rouge sang de l'autre côté qui était tout inimaginable pour tout le monde.

Hé, les yeux de l'océan », a déclaré mon père. "Où alliez-vous nous?

Qui aurait pensé que quelque chose qui s'est produit il y a longtemps pourrait avoir un tel pouvoir?

Comme les flocons de neige, "Franny a dit:" Aucun d'entre eux, et pourtant chacun, d'où nous sommes, exactement comme celui avant

Votre premier baiser est le destin qui frappe.

Je vous pardonne, "J'ai dit. J'ai dit ce que je devais. Je mourrais par morceaux pour me sauver de la mort réelle.

S'il vous plaît, ne laissez pas papa mourir Susie, "chuchota-t-il." J'ai besoin de lui.

Je n'ai jamais hésité à écouter la contribution des autres et à le peser sérieusement.

Une chose à propos de l'échec à plusieurs reprises: si vous le faites toujours après avoir échoué, vous le parlez vraiment.

Mais elle attendait patiemment. Elle ne croyait plus à la conversation. Il n'a jamais rien sauvé. À soixante-dix, elle était venue à croire dans le temps seule. ~ Pg 254

Entre un homme et une femme, il y avait toujours une personne qui était plus forte que l'autre. Cela ne signifie pas que le plus faible n’aime pas le plus fort.

"Quand les morts en ont fini avec les vivants, les vivants peuvent passer à autre chose", dit Franny. "Et les morts ? ai-je demandé. "Où allons-nous ?"

Vous vous épargnez ou vous restez non sauvé.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Alice_Sebold

Ses oeuvres

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