Sur l'île 365, tout est très bien organisé, chacun obéit strictement aux règles définies par la Mère Nourricière qui a su dompter la nature et le climat, mettant à l'abri la Communauté. Oui mais à l'abri de quoi ? Et qu'arrive-t-il si on refuse d'être comme tout le monde, si l'on est trop curieux ? Honor, après avoir tout accepté, va poser trop de questions... Roman d'aventure et d'anticipation, ode à la liberté, à la nature, à la rébellion, à l'amour filial, cette histoire illustre avec force la tentation des jeunes à vouloir être comme tout le monde, mais aussi leur pugnacité lorsqu'ils disent non.

De l'autre côté de l'île

sandy et marion sont co-directeurs d'un laboratoire spécialisé dans la recherche contre le cancer à cambridge (massachusetts).
 budget serré, équipe studieuse. sandy, ambitieux, court après les honneurs, marion est une scientifique pure et intègre. la routine de leur royaume clos, où s'agitent les chercheurs, est brisée quand l'un d'eux obtient des résultats inespérés avec ses expériences. sandy alerte les médias ; des rivalités internes éclatent, des tensions s'exacerbent. la situation se complique lorsque une autre scientifique expérimentée exhume des documents contradictoires et accuse le chercheur d'avoir falsifié les résultats.
 un organisme chargé d'enquêter sur les fraudes s'en mêle : tous les membres du laboratoire en sortiront ébranlés. allegra goodman, fine observatrice, est une jane austen moderne dans un laboratoire. elle met en lumière la comédie humaine qui se joue dans ce milieu austère, les intrigues révélant l'individu dans sa brillance et ses mesquineries. un roman plein de suspense, à la fois subtil et divertissant.

Intuition

Dans des romans comme «Kaaterskill Falls», j'ai pu écrire avec sympathie sur les religieux - et au-delà, j'ai pu prendre un point de vue religieux - parce que la croyance ne m'embarrasse pas ou ne m'embarrasse pas.

Connaissez votre tradition littéraire, savourez-la, volez-la, mais lorsque vous vous asseyez pour écrire, oubliez d'adorer la grandeur et les chefs-d'œuvre fétichisants.

Pour de nombreux écrivains juifs américains, les motifs dominants ont été culturels, laïques, parfois comiques, souvent satiriques. Écrivant sur la composante religieuse du judaïsme, j'ai trouvé mes propres thèmes indépendants de l'expérience de New York et de l'expérience immigrée.

Je soupçonne que la popularité des jeunes adultes et des romans dystopiques a quelque chose à voir avec le désir d'allégorie et de contes de moralité à l'ancienne. En fait, vous pourriez trouver votre cadre religieux ici dans la fiction dystopique post-apocalyptique. Ici, et dans les jeux vidéo, vous trouvez des codes d'autorité stricts, les «règles du jeu», la quête et la lutte de la vie ou la lutte que les gens recherchent.

Je ne pense pas que les romans sont nécessairement plus valables que les jeux. Un roman peut être une perte de temps triviale et un jeu peut enseigner. Quel que soit le genre, je pense qu'un récit réussi nous permet de participer, d'essayer de nouveaux rôles et de nouveaux points de vue. À leur meilleur, les romans et les jeux servent de véhicules à la découverte.

Les femmes se détestent dans la science. Tu sais pourquoi? Parce que les quelques-uns qui sont là ont été formés par des hommes. Ils ont survécu en étant deux fois plus bon et deux fois plus compétitif et deux fois plus dur à cuire que les gars.

Je pense que la poésie plie le texte et l'image. La poésie est visuelle dans son imagerie - mais elle nécessite une attention particulière aux mots eux-mêmes. Les mots deviennent des bijoux dans la poésie, alors qu'ils sont souvent des outils dans d'autres genres.

Je pense que certains jeux sont des œuvres d'art, bien que leur médium soit visuel plutôt que verbal. Les jeux et les romans permettent au lecteur / joueur de devenir un protagoniste dans le théâtre de l'imagination. Les deux construisent des mondes. À mon avis, la grande différence entre le jeu et le roman est dans la structure narrative. Les jeux de rôle communaux sont un plan ouvert sans fin. Un roman - au moins le genre que j'écris - a une structure fermée avec un début, un milieu et une fin. J'aime cette structure fermée, et je sens que je peux en dire plus avec.

Aimez votre matériel. Rien ne fait plus peur au critique intérieur que l'écrivain qui aime son travail. L'écrivain qui est amoureux de son matériel oublie tout de censurer. Elle ne s'arrête pas pour se demander si son livre est bon, ou qui le publiera, ou ce que les gens penseront. Elle écrit en transe, perdant le temps, n'entendant que ses personnages dans sa tête.

Le nouveau lit en fait, mais seulement pour porter un jugement. C'est ainsi que les enfants apprennent aujourd'hui. Quelqu'un leur a dit ce que vous pensez être plus important que ce que vous savez, et ils pensent donc que les accusations sont des idées. C'est une correction politique qui se déroule.

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