Amanda Harlech est une consultante, écrivaine, rédactrice de mode et actrice de courts-métrages connue pour sa longue association avec les couturiers John Galliano pendant plus d'une décennie, puis Karl Lagerfeld.

Les gens me considèrent comme un stéréotype: muse, privilégié, décoratif. Classiquement, les muses ont été l'inspiration. Ils allaient et venaient - ils ne feraient pas des choses, se salissaient les mains. Je ne pense pas que je sois une muse, même si je pense que je peux aider à appuyer sur une gâchette. J'aime vraiment me salir les mains.

Le style est anti-mode; Il ne s'agit pas de suivre les tendances.

Je pense que le processus artistique vient du trouble. Lorsque vous êtes heureux, ce n'est pas toujours le sentiment que vous pouvez identifier. C'est comme un chien assis devant un feu. La douleur vous isole, mais cela peut également clarifier les choses.

Nous devons garder un œil sur l'avenir avec un sens du passé à chaque moment qui passe du présent.

Je pense que je suis vraiment facile à vivre. Eh bien ... comme j'étais à mi-chemin de cette phrase, je me suis dit: "Non, en fait tu es vraiment pointilleux." Mais les choses que je demande sont vraiment simples à faire.

L'écriture est quelque chose que j'aurais dû faire plus, c'est une forme de rentrer à la maison.

Je ne pense pas que je suis une personne fière, mais je pense que mes enfants sont incroyables ... Je pense que j'en fais partie.

À la maison, j'adore tendre la main dans ce silence absolu, lorsque vous pouvez entendre le hibou ou le vent.

Je ne suis pas un bon matériel de femme parce que je suis farouchement indépendant et que j'aime partir et faire mon propre truc.

Mon premier souvenir d'enfance est de regarder le soleil à travers un pot d'ambre plein de guêpes.

Je ne voulais pas divorcer, mais au moment où vos enfants en font partie, vous devez faire quelque chose. J'aimerais vraiment que cela ne s'était pas produit parce que ça vous hante, ça ne disparaîtra jamais, et c'est probablement le plus gros échec, et je dois vivre avec ça.

Couture a un pouvoir que le prêt-à-porter ne peut jamais avoir; l'attention des aires de Les Petites lorsqu'ils coudent; Tout cet amour et cette croyance entrent dans le tissu. C'est ce que vous ressentez lorsque vous le portez.

Vous connaissez cet écart entre où vous êtes et où vous aimeriez être? Dans cet écart, il y a une douleur et un saut ambitieux, ce qui est très bon pour l'écriture.

La culture contemporaine est comme le temps - nous devons y être ouverts. Je n'aime pas la façon dont il est rejeté ou fermé.

Notre idée du bonheur, une partie, est très liée au culte de la célébrité: il y a cette vie dorée et merveilleuse que je veux, et si je m'habille comme ça, je suis sur mon chemin.

En tant que femmes, nous devons nous souvenir: ne soyez pas un paillasson!

Je fais pas mal d'art, avec un petit «A». Je suppose que c'est ainsi que j'étais dragué, avec des peintures et des crayons. Même quand j'étais à la pépinière, je savais instinctivement comment mélanger les couleurs, comment faire du violet ou de l'orange.

Je pense que la chose la plus destructrice est la peur: quand les gens ne veulent pas dire ce qu'ils pensent.

Je pense que la mode, mal gérée, peut être assez toxique. Il s'agit d'image et de culte de la célébrité. Je pense que lorsqu'un artiste est vu dans de nombreuses fêtes en tant que célébrité, je trouve cela inquiétant. Je pense que cela peut les limiter.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Amanda_Harlech

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