Andrew Coyle Bradley
@andrewCoyleBradley
En premier lieu, il faut se rappeler que notre point de vue dans l'examen de la construction d'une pièce ne coïncidera pas toujours avec ce que nous occupons en pensant à tout son effet dramatique.
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En premier lieu, il faut se rappeler que notre point de vue dans l'examen de la construction d'une pièce ne coïncidera pas toujours avec ce que nous occupons en pensant à tout son effet dramatique.
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Mais, en outre, il y a, tout au long de la tragédie, une alternance constante de hausses et de chutes dans cette tension ou dans la hauteur émotionnelle de l'œuvre, une séquence régulière de sections plus excitantes et moins excitantes.
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Mais, en outre, il y a, tout au long de la tragédie, une alternance constante de hausses et de chutes dans cette tension ou dans la hauteur émotionnelle de l'œuvre, une séquence régulière de sections plus excitantes et moins excitantes.
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L'idée d'un ordre moral ne s'affirme pas non plus à l'attaque ou au manque de conformité en totalité de nos sentiments concernant le caractère tragique.
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Dans la tragédie shakespearienne, la principale source de la convulsion qui produit la souffrance et la mort n'est jamais bonne: le bien contribue à cette convulsion uniquement à partir de son implication tragique avec son contraire dans un seul et même caractère.
@andrewCoyleBradley
L'idée de Shakespeare du fait tragique est plus grande que cette idée et va au-delà; Mais il l'inclut, et il vaut la peine d'observer l'identité des deux dans un certain point qui est souvent ignoré.
@andrewCoyleBradley
Brutus et Hamlet sont très intellectuels par nature et réfléchis par l'habitude. Les deux peuvent même être appelés, dans un sens populaire, philosophiques; Brutus peut être appelé ainsi dans un sens plus strict.
@andrewCoyleBradley
Une tragédie shakespearienne telle qu'elle a été considérée jusqu'à présent peut être qualifiée d'histoire d'une calamité exceptionnelle entraînant la mort d'un homme en haute condition. Mais c'est clairement beaucoup plus que cela, et nous devons maintenant le considérer d'un autre côté.
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Nous pourrions ne pas nous opposer à la déclaration que Lear méritait de souffrir pour sa folie, son égoïsme et sa tyrannie; Mais affirmer qu'il méritait de souffrir de ce qu'il a souffert, c'est faire de la violence non seulement à la langue mais à un sens moral sain.
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Nous ne pouvons pas arriver à toute la façon dramatique de Shakespeare de regarder le monde à partir de ses seuls tragédies, car nous pouvons arriver à la manière de Milton en ce qui concerne les choses, ou chez Wordsworth ou chez Shelley, en examinant presque n'importe laquelle de leurs œuvres importantes.
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Mais, en outre, il y a, tout au long de la tragédie, une alternance constante de hausses et de chutes dans cette tension ou dans la hauteur émotionnelle de l'œuvre, une séquence régulière de sections plus excitantes et moins excitantes.
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En parlant, pour plus de commodité, des appareils et des expédients, je n'avais pas l'intention de laisser entendre que Shakespeare visait toujours délibérément les effets qu'il a produits.
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Dans la tragédie shakespearienne, la principale source de la convulsion qui produit la souffrance et la mort n'est jamais bonne: le bien contribue à cette convulsion uniquement à partir de son implication tragique avec son contraire dans un seul et même caractère.
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Le roi Lear seul parmi ces pièces a une double action distincte. En plus de cela, il est impossible, je pense, du point de vue de la construction, de considérer le héros comme la figure principale.
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Shakespeare introduit également le surnaturel dans certaines de ses tragédies; Il présente des fantômes et des sorcières qui ont des connaissances surnaturelles.
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La plupart des gens, même parmi ceux qui connaissent bien Shakespeare et entrent en contact réel avec son esprit, sont enclins à isoler et à exagérer un aspect du fait tragique.
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Le travail était le plus grand de tous les enfants de l'Est, et ses afflictions étaient à peu près plus qu'il ne pouvait supporter; Mais même si nous les imaginions en le portant à mort, cela ne rendrait pas son histoire tragique.
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Dans la tragédie shakespearienne, la principale source de la convulsion qui produit la souffrance et la mort n'est jamais bonne: le bien contribue à cette convulsion uniquement à partir de son implication tragique avec son contraire dans un seul et même caractère.
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En abordant notre sujet, il sera préférable, sans tenter de raccourcir le chemin en se référant aux théories célèbres du drame, à partir directement des faits, et à collecter progressivement une idée de la tragédie shakespearienne.
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Brutus et Hamlet sont très intellectuels par nature et réfléchis par l'habitude. Les deux peuvent même être appelés, dans un sens populaire, philosophiques; Brutus peut être appelé ainsi dans un sens plus strict.
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En parlant, pour plus de commodité, des appareils et des expédients, je n'avais pas l'intention de laisser entendre que Shakespeare visait toujours délibérément les effets qu'il a produits.
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L'idée de Shakespeare du fait tragique est plus grande que cette idée et va au-delà; Mais il l'inclut, et il vaut la peine d'observer l'identité des deux dans un certain point qui est souvent ignoré.
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Shakespeare fait très rarement la moindre tentative de surprendre par ses catastrophes. Ils se sont sentis inévitables, bien que la manière précise de la façon dont ils seront provoqués ne sont pas, bien sûr, prévues.
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Lorsque Shakespeare commence son exposition, il fait généralement en général les gens à parler du héros, mais garde le héros lui-même pendant un certain temps hors de vue, afin que nous attendions son entrée avec curiosité, et parfois avec anxiété.