Andrew Latimer
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@andrewLatimer
L'un des défis rencontrés par la petite presse comme Little Island Press est comme toujours, incitant les gens à acheter des livres. On me dit que la prochaine génération sera plus intéressée par les "expériences" que par les objets tangibles comme les livres. C'est un très grand défi pour un éditeur de toute taille.
@andrewLatimer
Comme beaucoup de petits fondateurs de presse, je cherchais un chemin dans la publication - ainsi qu'un moyen de sortir du monde universitaire. Sans déménager à Londres, je ne pouvais pas voir un moyen de travailler pour une maison d'édition dont j'aimais le travail. Croyez-le ou non, le moyen le plus simple pour moi de me lancer dans la publication était de démarrer ma propre presse.
@andrewLatimer
Il était une fois, un éditeur pourrait essayer un ou deux livres farfelus, sachant très bien que leur liste contrebalancerait tout risque avec une écurie de best-sellers et de paris sûrs. De nos jours, chaque livre doit gagner son propre pain. Avec des frais généraux faibles et un statut de fonctionnement souvent épisodique, la petite presse indépendante est bien placée pour prendre la littérature la plus innovante en ce moment. Pour prendre les risques. Cela signifie que les petites presses ne sont plus des tenues configurées pour publier votre travail ou vos amis. Ils ont quelque chose de vraiment important à offrir.
@andrewLatimer
Malgré le fait de vouloir travailler dans Publishing, j'étais le pire cauchemar d'un éditeur: j'ai rarement acheté de nouveaux livres. Mon objectif était donc de publier le type de livres que j'achèterais et que j'achèterais. Mes habitudes de lecture ont changé depuis le début de la presse. Le seul autre "objectif", par exemple, est de continuer à expérimenter. Je ne veux pas que la presse tombe jamais dans une formule, ou qu'elle soit pigeonnée - "Ils font de grandes rééditions de poètes modernistes!" - Je veux continuer à pousser, à explorer le type de titre avec lequel nous pouvons nous en tirer. Et travailler avec des auteurs qui défient la façon dont je pense à l'écriture, à l'édition et à la lecture.
@andrewLatimer
Il y a une raison pour laquelle tant de bons matériaux se résument aux petites presses: il est difficile de réaliser un profit, tout bien considéré. Mais vous ne pouvez pas vous lancer dans la petite presse et vous plaindre de l'argent. Notre petite édition de l'île n'a que survivre. Si nous sommes toujours là dans quelques années - en vaguement la même forme que nous le sommes aujourd'hui - alors, pour moi, c'est du succès.
@andrewLatimer
Dans un sens, vous mettez beaucoup de vous dans une petite presse - ce sont vos goûts personnels qui sont en jeu - donc lorsque la critique est nivelée, elle peut sembler personnelle. Mais, d'un autre côté, cela peut être le bienvenu et nécessaire. Vous n'êtes jamais entièrement imperméable, et l'un des principaux avantages d'être une petite opération est que vous pouvez changer la façon dont vous faites les choses rapidement en réponse à la critique. Dans tous les cas, il est avantageux d'avoir le sens de l'humour et la perspective.
@andrewLatimer
Malgré le fait de vouloir travailler dans Publishing, j'étais le pire cauchemar d'un éditeur: j'ai rarement acheté de nouveaux livres. Mon objectif était donc de publier le type de livres que j'achèterais et que j'achèterais. Mes habitudes de lecture ont changé depuis le début de la presse. Le seul autre "objectif", par exemple, est de continuer à expérimenter. Je ne veux pas que la presse tombe jamais dans une formule, ou qu'elle soit pigeonnée - "Ils font de grandes rééditions de poètes modernistes!" - Je veux continuer à pousser, à explorer le type de titre avec lequel nous pouvons nous en tirer. Et travailler avec des auteurs qui défient la façon dont je pense à l'écriture, à l'édition et à la lecture.
@andrewLatimer
L'un des grands avantages de la publication de seulement cinq livres par an est que je suis enthousiasmé par chaque livre.