Angela Robinson, née le 14 février 1971 à San Francisco, est une réalisatrice, productrice, scénariste et actrice américaine.

Lorsque «Dynasty» était en cours, c'était une énorme affaire lorsque Diahann Carroll est venu dans la série. C'était révolutionnaire.

Cela me donne une chance d'explorer autant de dynamiques - c'est ce que nous, les acteurs, rêvons de faire. Donc, j'adore jouer au méchant.

Quand je grandissais, mon père ne me permettait pas d'obtenir une permanente, alors j'ai redressé mes cheveux pour des occasions spéciales.

Personnellement, j'ai appris la persévérance: lorsque vous entendez le mot «non» et lorsque vous entendez le rejet, ce n'est pas toujours définitif. Et ce timing est tout, et vous devez garder le cap et continuer à travailler dur et savoir que, lorsque votre temps arrivera, qu'il sera doux et que ce sera le moment idéal.

Les mots d'Alice Walker ont un tel rythme et une telle musique criarde.

J'ai fait du théâtre la majeure partie de ma carrière et je peux voir la réaction du public juste après le spectacle.

J'ai commencé à porter des perruques quand j'étais plus jeune et j'avais une maladie thyroïdienne qui a fait tomber mes cheveux. C'était dévastateur. Je me suis dit: «Je pourrais avoir un problème avec cela, soit je pourrais aller au magasin et acheter une perruque». Et puis je suis tombé amoureux de les porter, et je suis resté avec ça même après que mes cheveux soient revenus.

Mon voyage capillaire a été très amusant. J'ai toujours aimé les perruques et les pièces, donc je ne suis jamais attaché à un style.

J'espère que nous pourrons voir les personnages afro-américains comme la diva, comme le méchant, et aussi comme la mère priante. Nous sommes toutes ces choses. Nous avons eu tendance à être le meilleur ami ou le voisin de la sitcom de tout le monde.

Si vous grandissez en disant: «Je veux être avocat», tout le monde dit: «Donnons-lui tout ce dont elle a besoin pour être avocat». Mais si vous dites: «Je veux être artiste ou danseuse ou peintre,« c'est: «Oh, elle en grandira».

Dans les années 80, «Dreamgirls» était notre «Hamilton». C'était de la pointe, et c'était ce qui m'a donné envie de faire du théâtre.

L'artiste en moi accueille une autre occasion d'être créatif.

Jouer au méchant, la ramener à la vie, est la plus amusante car il n'y a vraiment pas de règles.

C'est un honneur, lorsque vous vous bousculez dans l'entreprise depuis des années, des années et des années, cela n'a pas d'importance quand cela vient - vous êtes juste content que cela soit venu.

Je crois aux artistes. Je suis un défenseur des artistes.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Angela_Robinson

Ses oeuvres