C'est le début des années 2000, dans un collège huppé du New Hampshire. Ben, Jasper et LouLou rejoignent la société d'honneur dirigée par Pierre LaVerdere, un enseignant énigmatique, brillant, mais pervers. Il leur apprend à penser et à s'exprimer ; tous s'efforcent de lui plaire. Au fil des années, l'instruction du professeur perdure dans la vie de ses étudiants. En déroute, Ben sent le rythme de sa vie adulte s'accélérer, des échecs professionnels et romantiques le poussent à reconsidérer ses relations intimes, de moins en moins épanouissantes. Et que lui a réellement enseigné la Bailey Academy ? Tandis qu'il retrouve un semblant de stabilité, la réapparition de LaVerdere dans sa vie perturbe son équilibre. Tout ce qu'il pensait savoir sur son professeur — et sur lui-même — est alors remis en question. Grâce à son talent de portraitiste, Ann Beattie observe l'âme humaine dans des situations extrêmes et nous entraîne dans le sillage de ses personnages attachants et tourmentés.

Coup de chance

C'est le début des années 2000, dans un collège huppé du New Hampshire. Ben, Jasper et LouLou rejoignent la société d'honneur dirigée par Pierre LaVerdere, un enseignant énigmatique, brillant, mais pervers. Il leur apprend à penser et à s'exprimer ; tous s'efforcent de lui plaire. Au fil des années, l'instruction du professeur perdure dans la vie de ses étudiants. En déroute, Ben sent le rythme de sa vie adulte s'accélérer, des échecs professionnels et romantiques le poussent à reconsidérer ses relations intimes, de moins en moins épanouissantes. Et que lui a réellement enseigné la Bailey Academy ? Tandis qu'il retrouve un semblant de stabilité, la réapparition de LaVerdere dans sa vie perturbe son équilibre. Tout ce qu'il pensait savoir sur son professeur - et sur lui-même - est alors remis en question.

Grâce à son talent de portraitiste, Ann Beattie observe l'âme humaine dans des situations extrêmes et nous entraîne dans le sillage de ses personnages attachants et tourmentés.

Bailey Academy, un collège chic dans le New Hampshire, réservé aux élèves « brillants et perturbés ». C'est le début des années 2000, G. W. Bush est Président des États-Unis. Ben, Jasper et la jolie LouLou font partie du groupe privilégié du mystérieux professeur LaVerdere. Il leur apprend à penser et à s'exprimer ; tous s'efforcent de lui plaire. Le matin du 11 septembre 2001, LouLou, hystérique, se rue dans les chambres de ses amis pour les prévenir de l'attentat contre les tours jumelles du World Trade Center. Un poste de télé est installé dans le solarium. Ben, à peine réveillé, arrive en chaussettes. Les professeurs et le personnel du collège rejoignent peu à peu les élèves pétrifiés devant l'écran. Pour chacun, le traumatisme prend une forme différente.
De facture classique, habilement construit, ancré dans le tumulte et les événements conflictuels de la vie moderne, Coup de chance se déploie peu à peu, emporté par le cours des années, chargé de souvenirs et de nostalgie, entremêlant la solitude, les rencontres et les inévitables séparations, décrites avec le talent de portraitiste d'Ann Beattie. Les dialogues sont affutés, les relations entre les êtres examinées à la loupe, la langue acérée, souvent ironique, un vrai plaisir pour le lecteur. L'auteur observe l'âme humaine dans des situations extrêmes. Elle nous entraîne dans le sillage de ces personnages attachants et tourmentés.

Coup de Chance

Ann Beattie, autrice di culto negli Stati Uniti e capofila della corrente minimalista, è tuttora considerata una delle più grandi maestre della short story americana. Gelide scene d'inverno, il romanzo con cui esordì nel 1976, racconta la storia del giovane Charles, impiegato in un ufficio statale, ossessivamente innamorato di Laura ? la donna con cui ha avuto una storia ma che ha preferito tornare al quotidiano ménage col marito ? e circondato da una famiglia disfunzionale (la madre squilibrata, il patrigno pieno di buone intenzioni ma irrecuperabilmente mediocre): è il ritratto di un'America disillusa, che ha visto svanire l'ebbrezza visionaria degli anni Sessanta e di Woodstock e deve fare i conti con la propria desolata normalità. Un Grande freddo senza concessioni al romanticismo, una scrittura penetrante e non priva d'ironia capace di dipingere un'epoca e una situazione sociale che a distanza di quarant'anni mantengono intatta la propria forza di suggestione: l'inverno americano della Beattie è innanzitutto, per qualunque lettore, un luogo dell'anima.

Gelide scene d'inverno

"On sait, on a toujours su, quelle est la force de ces nouvelles : leur capacité - non, leur volonté - de ne pas se reposer sur une conclusion trop simple ou une fausse révélation". David L. Ulin, L. A. Times "Le nouveau recueil [d'Ann Beattie] L'Etat où nous sommes. Nouvelles du Maine est une révélation. Il est nuancé par la perspective d'un auteur qui comprend désormais les deux côtés de la division générationnelle". Megan O'Grady, Vogue "Les détails de la signature d'Ann Beattie - son observation attentive des manières contemporaines, des discours, de la culture et des relations - sont toujours aussi originaux. Ses personnages sont mis en situation pour nous éclairer sur la nature de la vie moderne". Kelly Cherry, Colorado Review

L'état où nous sommes - Nouvelles du Maine - Occasion

Deux divorces, un mariage, neuf kilos à perdre : Cynthia essaye de reprendre sa vie en main. Une épouse, une maîtresse, un chien à partager : Jack doit prendre une décision. Dans un chassé-croisé perpétuel entre New York et les campagnes du Vermont, les couples se font et se défont. Légers, amers, seize instantanés de vie épinglent les trajectoires imparfaites de la classe moyenne américaine.

Nouvelles du New Yorker

Ann Beattie commença à publier ses nouvelles dans le New Yorker, au milieu des années soixante-dix. Elle fut instantanément saluée comme la voix de sa génération. Son nom devint même un qualificatif : beattiesque. Subtile, nerveuse, dérangeante, Ann Beattie est une observatrice magistrale de l’éclatement de la famille américaine. Les textes inclus dans ce recueil couvrent une génération, de la fin de la guerre du Vietnam à l’après 11 Septembre. Au fil des années, l’auteur promène son regard aigu et sarcastique sur le pays et observe la vie des Américains, décortiquant les rapports entre les gens, en société ou dans le cadre de leur vie privée, entraînant le lecteur dans la traversée d’une époque passionnante où tant de choses ont changé aux États-Unis et dans le monde. Selon Margaret Atwood, chaque nouvelle de Beattie est "comme un nouveau communiqué du front : nous nous en emparons, impatients de savoir ce qui se passe là-bas, à la lisière du no-man’s-land mouvant et aléatoire qu’on appelle les relations impersonnelles". Faisant preuve d’une maîtrise incomparable de l’art du dialogue et d’un humour percutant, elle livre des regards acérés sur le paysage culturel de son époque.

Ann Beattie commença à publier ses nouvelles dans le New Yorker, au milieu des années soixante-dix. Elle fut instantanément saluée comme la voix de sa génération. Son nom devint même un qualificatif : beattiesque. Subtile, nerveuse, dérangeante, Ann Beattie est une observatrice magistrale de l'éclatement de la famille américaine. Les textes inclus dans ce recueil couvrent une génération, de la fin de la guerre du Vietnam à l'après 11 Septembre. Au fil des années, l'auteur promène son regard aigu et sarcastique sur le pays et observe la vie des Américains, décortiquant les rapports entre les gens, en société ou dans le cadre de leur vie privée, entraînant le lecteur dans la traversée d'une époque passionnante où tant de choses ont changé aux États-Unis et dans le monde.
Selon Margaret Atwood, chaque nouvelle de Beattie  est « comme un nouveau communiqué du front: nous nous en emparons, impatients de savoir ce qui se passe là-bas, à la lisière du no-man's-land mouvant et aléatoire qu'on appelle les relations impersonnelles. » Faisant preuve d'une maîtrise incomparable de l'art du dialogue et d'un humour percutant, elle livre des regards acérés sur le paysage culturel de son époque.

Ann Beattie, née le 8 septembre 1947 à Washington, est une romancière et nouvelliste américaine.

Il est gratifiant que ce soit le cas; J'adore donner des lectures.

Bien que je convienne que j'écris sur des sujets sérieux, et que ce ne sont pas nécessairement les sujets les plus agréables ou même les personnes les plus agréables, en tant qu'écrivain, je pense simplement aux aspects humoristiques de ces choses - c'est ce qui me fait avancer quand je «J'écrit une histoire.

Je pense presque toujours que ce qui me mène avec une histoire, c'est l'atmosphère, l'imagerie visuelle, puis je les gens avec des personnages, pas l'inverse.

Il ne s'agit pas d'avoir des choses à comprendre ou de communiquer avec d'autres personnes, d'essayer de leur faire comprendre ce que vous comprenez. Il s'agit d'un dîner de poulet à un drive-in. Un oreiller doux. Des choses qui n'ont pas besoin d'expliquer.

Si vous pouviez avoir un livre intitulé My Favorite Six Stories, je ne pense pas que j'aurais du mal à le faire.

Vous devez comprendre qui est la bonne personne pour raconter l'histoire. Et souvent, les gens qui sont très conscients de soi ne semblent que s'ils pontificateurs s'ils racontent l'histoire.

Il y a une raison, évidemment, que vous soyez attiré par votre matériel, mais la façon dont vous explorez cela pourrait être très différent de ce que vous attendez.

Lorsque j'enseignais à Harvard dans les années 1970, je suis allé à Project Incorporated in Cambridge et j'ai suivi des cours de photographie. Je ne savais même pas comment viser la caméra à cette époque.

Je dois aussi dire que cela n'a jamais fonctionné à mon désavantage que j'ai de longs cheveux blonds.

Personne ne peut supposer que, à un écrivain, tout est interdit.

Je pense que ces histoires sont écrites pour articuler certaines confusions et déceptions, et je veux dire pour secouer le lecteur, et j'espère qu'ils sont sur la cible.

Une grande partie de ce qui se passe dans l'amour provient toujours des conversations entendues dans le salon de thé russe. C'est une improvisation de la façon dont certains agents hollywoodiens pensent et se parlent.

Il me semble que le problème avec les journaux intimes, et la raison pour laquelle la plupart d'entre eux sont si ennuyeux, c'est que chaque jour, nous vacillons entre examiner nos hangons et spéculer sur l'ordre cosmique.

Je n'écris pas sur des choses auxquelles j'ai les réponses ou des choses qui sont très proches de chez moi. Ce ne serait tout simplement pas d'aventure. Il n'aurait aucune vitalité.

Toute vie semblera dramatique si vous en omettez en mentionner la plupart.

Vous mettez un personnage là-bas et vous êtes en leur pouvoir. Vous avez des ennuis si ils sont dans le vôtre.

Quand j'ai vécu à New York, non seulement j'avais des serrures de sécurité à la porte, mais j'avais la musique, en gardant la ville à distance, en essayant de trouver du temps créatif et de la paix, etc.

Les femmes sont évidemment beaucoup plus discriminées que les hommes à bien des égards.

Je pouvais nommer quelques chansons et dire exactement quel été ils sont sortis et quel garçon je pensais que j'étais amoureux quand j'avais quatorze ans, mais je pense que la musique faisait vraiment plus partie de la culture lorsque les gens sont sortis Danser d'une manière différente de ce qu'ils font maintenant.

Je suis dans cette entreprise depuis longtemps, et je ne pense plus que tout ce que je fais par clarification va jamais éradiquer les erreurs.

Je ne suis pas le seul à porter des rancunes contre les critiques qui ont condamné les chances d'un livre parce qu'ils ont raté le point, le ton, tout.

Le vrai tueur était lorsque vous avez épousé la mauvaise personne mais que vous avez eu les bons enfants.

De plus, le minimalisme est un terme dont nous tous, qui avons si peu en commun et qui sommes regroupés en tant que minimalistes, ne sommes pas très satisfaits.

On a souvent dit que je suis un écrivain cynique extrêmement déprimant. Je n'ai jamais su quoi faire de ça.

Les nuages sont des poèmes, et les poèmes les plus émouvants s'attardent sur le tableau noir si longtemps, écrit en cursif si charmant qu'ils existent également à l'intérieur de nos doigts. Nous ne les effuyons jamais vraiment à la fin de la leçon.

Ce qui va se passer ne peut pas être arrêté. Visez la grâce.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ann_Beattie

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