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Essai sur la nature et la destination de l'ame humaine

Excerpt from Essai sur la Nature Et la Destination de l'Ame Humaine Ce qui prouve encore davantage com bien il eft injufie de foupconner la droi ture de ceux qui ne veulent pas croire fane examen c'ei'r que cet examen-la meme ef't une marque de candeur 8c de fincerite car on court beaucoup plus de rifque de le tromper en admettant aveu alement les opinions recues qu'en les.

Anthony Collins was cast in an unflattering light and dismissed out-of-hand by early critics who included the classical scholar Richard Bentley, the philosopher Bishop Berkeley and the satirist Jonathan Swift. His correspondence, particularly with John Locke - the most intense and seminal of his friendships - and Pierre Des Maizeaux - among the most protracted and certainly best documented, shows him very differently and sets the stage for a proper appreciation of the most penetrating and philosophically acute of the early 18th century English free-thinkers.



Jim Dybikowski is Professor Emeritus of Philosophy at the University of British Columbia. Starting as a specialist in Greek Philosophy, he has more recently focused on 18th century intellectual mavericks such as the free thinker Anthony Collins and the priest of nature David Williams.

The correspondance of Anthony Collins (1676-1729), freethinker

Il faut rendre à Anthony Collins, auteur scandaleux du Discours sur la libre-pensée, l'honneur d'avoir le premier, et le plus vigoureusement, défini pour la philosophie de son temps un principe fondamental : toute proposition ne peut être crue qu'à proportion de l'évidence que lui découvre la raison. Toute proposition: il n'y a donc pas de vérités de la foi, mais seulement des vérités en lesquelles on peut avoir foi. La libre-pensée se donnait d'emblée pour objectif d'attiser la polémique anti-religieuse, ce qui n'a pas échappé aux théologiens qui prirent immédiatement pour cible, et avec quelle violence, le Discours et son auteur.

Discours sur la liberté de penser

Anthony Collins (né le 21 juin 1676 à Heston, près de Londres et mort le 13 décembre 1729), est un libre penseur et philosophe anglais.

Je suis obligé de croire moi-même certaines opinions. La croyance de aucun homme ne me sauvera sauf la mienne.

Croyez-le, mon bon ami, d'aimer la vérité pour la vérité est la partie principale de la perfection humaine dans le monde et la place des semences de toutes les autres vertus; Et si je ne me trompe pas, vous en avez autant que jamais dans n'importe qui.

Il ne suffit pas de rendre des choses égales à la volonté, qu'elles sont égales ou similaires en elles-mêmes.

Les excuses pour les vérités évidentes ne peuvent jamais avoir d'effet sur ceux qui ont assez peu de sens pour les nier. Elles sont le Fondement de tout Raisonnement, et le seul Fond juste sur lequel les Hommes puissent procéder pour se convaincre mutuellement de la Vérité : et par conséquent quiconque est capable de les nier, n'est pas en état d'être informé.

En freinant, je veux dire l'utilisation de la compréhension pour s'efforcer de découvrir le sens de toute proposition que ce soit, en considérant la nature des preuves pour ou contre et en le jugeant selon la force ou la faiblesse apparente des preuves.

Le volant ou la préférence est le même en ce qui concerne le bien et le mal, que le jugement concerne la vérité ou le mensonge.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Anthony_Collins

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