Arie de Geus
Arie de Geus, né à Rotterdam le 11 août 1930 et mort le 9 novembre 2019. Il rejoint Royal Dutch/Shell en 1951 et y reste jusqu'à sa retraite en 1989. Il devient responsable du groupe de planification stratégique de Shell, se spécialisant dans la prospective à long terne et la construction de scénario prévisionnels pour l’entreprise, notamment avec Pierre Wack.
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@arieDeGeus
Les entreprises meurent parce que leurs gestionnaires se concentrent sur l'activité économique de la production de biens et services, et ils oublient que la vraie nature de leurs organisations est celle d'une communauté d'humains.
@arieDeGeus
Le succès d'une entreprise ne dépend plus principalement de sa capacité à mobiliser des capitaux d'investissement. Elle dépend de la capacité de ses employés à apprendre ensemble et à produire de nouvelles idées.
@arieDeGeus
Une fois qu'une entreprise s'est adaptée à un nouvel environnement, ce n'est plus l'organisation qu'elle était; il a évolué. C'est l'essence de l'apprentissage.
@arieDeGeus
J'avoue que l'on ne devrait jamais sous-estimer la capacité des banques à détruire d'énormes quantités de capital accumulé et à réduire temporairement l'offre. Après tout, le capital est l'épargne accumulée de l'humanité. Et les banques sont de grandes maîtres pour détruire d'énormes quantités de capitaux avec une grande régularité.
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J'avoue que l'on ne devrait jamais sous-estimer la capacité des banques à détruire d'énormes quantités de capital accumulé et à réduire temporairement l'offre. Après tout, le capital est l'épargne accumulée de l'humanité. Et les banques sont de grandes maîtres pour détruire d'énormes quantités de capitaux avec une grande régularité.
@arieDeGeus
Étant donné que les entreprises d'aujourd'hui dépendent totalement d'une adhésion humaine continue qui produit une production intellectuelle supérieure par rapport à la concurrence, il y a inévitablement une lutte sur le droit vers le résultat net.
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Le succès d'une entreprise ne dépend plus principalement de sa capacité à mobiliser des capitaux d'investissement. Elle dépend de la capacité de ses employés à apprendre ensemble et à produire de nouvelles idées.
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J'avoue que l'on ne devrait jamais sous-estimer la capacité des banques à détruire d'énormes quantités de capital accumulé et à réduire temporairement l'offre. Après tout, le capital est l'épargne accumulée de l'humanité. Et les banques sont de grandes maîtres pour détruire d'énormes quantités de capitaux avec une grande régularité.
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Étant donné que les entreprises d'aujourd'hui dépendent totalement d'une adhésion humaine continue qui produit une production intellectuelle supérieure par rapport à la concurrence, il y a inévitablement une lutte sur le droit vers le résultat net.
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J'avoue que l'on ne devrait jamais sous-estimer la capacité des banques à détruire d'énormes quantités de capital accumulé et à réduire temporairement l'offre. Après tout, le capital est l'épargne accumulée de l'humanité. Et les banques sont de grandes maîtres pour détruire d'énormes quantités de capitaux avec une grande régularité.
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J'avoue que l'on ne devrait jamais sous-estimer la capacité des banques à détruire d'énormes quantités de capital accumulé et à réduire temporairement l'offre. Après tout, le capital est l'épargne accumulée de l'humanité. Et les banques sont de grandes maîtres pour détruire d'énormes quantités de capitaux avec une grande régularité.
@arieDeGeus
La capacité d'apprendre plus rapidement que les concurrents peut être le seul avantage concurrentiel durable.