Arnulf Rainer
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@arnulfRainer
En 1968, je m'asseyais souvent dans un photomaton et pratiquais des images d'auto-miroir que j'ai ensuite documentées photographiquement. Des types curieux ouvriraient toujours les rideaux et me poursuivraient. Aujourd'hui, je travaille avec un photographe.
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Je ne pouvais me détendre que lorsqu'il ne restait plus qu'une petite place blanche. Je pouvais voir plus clairement. Je pourrais à nouveau saisir la forme de l'image ... les images sont vivantes à cause du reste blanc, de la cachée presque.
@arnulfRainer
Les «surpaignants totaux» se sont développés ... par le biais de remaniement incessant. Le motif d'origine a jeté un coup d'œil sur les bords. Progressivement, il a complètement disparu.
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Je me suis installé dans cette zone frontalière; J'essaie de trouver des normes de forme distinctes, et je longtemps pour vivre, formuler et évoquer cette tranquillité sombre, lourde.
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Parfois, je devais forcer la surpreinte de trois coins presque sans aucun sentiment de forme, presque sans inspiration, seulement pour retrouver mon chemin, pour sortir de cet enfer.
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Les principes de mes œuvres ... sont l'extinction de l'expression, de la couverture permanente et de la tranquillité contemplative ... Mon idéal est l'image complètement sombre, pleine d'un silence écrasant.
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... Je me sentais comme un nouvel homme; Mais j'ai été déçu de la documentation photographique parce que j'ai toujours vu l'ancien moi.
@arnulfRainer
Seuls les quatre coins de l'arrière-plan sont restés. C'était terriblement difficile de réparer mes yeux sur tous en même temps. Mon expérience a été que la chose la plus difficile de tous dans l'art est de peindre dans les quatre coins en même temps.