This book deals with the life and works of Charles Baudelaire, one of the French great Poets.

When Baudelaire is great, when his genius is at its highest point of imaginative creation, of imaginative criticism, it is never when he works by implication-as the great men who are pure artists (for instance, Shakespeare) work by implication only-but always from his personal point of view being simply infallible and impeccable. The pure artist, it has been said, never asserts: and the instances are far from being numerous; Balzac asserts, and Balzac is always absolutely just in all his assertions: he whose analysis of modern Society-La Comédie Humaine-verges almost always on creation; and despite certain deficiencies in technique and in style, he remains the greatest of all novelists. As for Baudelaire, he rarely asserts; he more often suggests or divines-with that exquisite desire of perfect and just work that is always in him.

Charles Baudelaire - A Study of the Poet

À dix-sept ans, Esther Kahn, fille de modestes couturiers, prend la décision irrévocable de consacrer sa vie à la scène ; elle parvient très vite à jouer de petits rôles, et en peu de temps vit une ascension spectaculaire. Quelque chose manque à son jeu cependant : de l'avis de son plus proche ami, une certaine forme de maturité - l'expérience de l'amour, et celle de la souffrance. Elle fait alors la connaissance d'un jeune metteur en scène au talent prometteur... Paru en 1902, Esther Kahn est un portrait de femme d'une magistrale concision. Porté à l'écran par Arnaud Desplechin en 2000, c'est l'un des rares textes de fiction écrits par Arthur Symons (1865-1945), poète et critique littéraire, ami de Thomas Hardy, Joseph Conrad ou James Joyce.

Esther Kahn

"It is in and through Symbols that man, consciously or unconsciously, lives, works, and has his being: those ages, moreover, are accounted the noblest which can the best recognise symbolical worth, and prize it highest."

Carlyle

Without symbolism there can be no literature; indeed, not even language. What are words themselves but symbols, almost as arbitrary as the letters which compose them, mere sounds of the voice to which we have agreed to give certain significations, as we have agreed to translate these sounds by those combinations of letters? Symbolism began with the first words uttered by the first man, as he named every living thing; or before them, in heaven, when God named the world into being. And we see, in these beginnings, precisely what Symbolism in literature really is: a form of expression, at the best but approximate, essentially but arbitrary, until it has obtained the force of a convention, for an unseen reality apprehended by the consciousness. It is sometimes permitted to us to hope that our convention is indeed the reflection rather than merely the sign of that unseen reality. We have done much if we have found a recognisable sign.

The Symbolist Movement in Literature

Arthur William Symons, né le 28 février 1865 à Milford Haven (Pays de Galles) et mort le 22 janvier 1945, est un poète, essayiste, critique d'art, et traducteur britannique.

Presque personne n'est capable de voir ce qui est devant lui, tout comme il est en soi. Il vient attendre une chose, il trouve une autre chose, il voit à travers le voile de sa préconception, il critique avant qu'il n'ait appréhendé, il condamne sans permettre à son instinct la possibilité de s'affirmer.

Les palourdes du printemps sont les mêmes vieux bruits délicats, la Terre renouvelle sa jeunesse magique à la respiration.

J'ai mis du chagrin à dormir; l'amour des dorsions. Elle m'a souvent fait pleurer.

Je sais que la femme n'a pas d'âme, je sais que la femme n'a aucune possibilité d'âme, d'esprit ou de cœur, mais c'est simplement le chef-d'œuvre de la chair: eh bien, que ce soit ainsi. C'est sa chair que j'adore; Je vais à nouveau pour vider son baiser vide. Je sais qu'elle ne peut pas aimer: ce n'est pas que mon cœur vaincu implore dans le renversement. Tyranchement, j'ai envie, j'ai envie seul, son splendide corps, la musique la plus éloquente de la Terre, l'harmonie humaine divine; Son corps maintenant un instrument silencieux, que «Myath My Touch va se réveiller et me faire les souches dont je n'ai que rêvé, jamais connu.

C'est dans leurs yeux que leur magie réside.

Mais on nous a appris à voir avant que nos yeux aient découvert un moyen de voir par eux-mêmes.

Et j'aurais, maintenant l'amour est terminé, une fin à tous, une fin: je ne peux pas, ayant été votre volet amant pour devenir votre ami!

Il n'y a pas de rêve qui peut ne pas se réaliser, si nous avons l'énergie qui fait ou choisit, notre propre sort ... Ce ne sont que les rêves de ces dormeurs légers qui rêvent légèrement qui ne se réalisent pas.

L'art commence quand un homme souhaite immortaliser le moment le plus vivant qu'il ait jamais vécu.

Laissez des mots à ceux que les mots, pas les fêtes, bougent.

J'ai adoré les couleurs, et pas les fleurs; leur mouvement, pas les ailes des hirondelles; et a gaspillé plus de la moitié de mes heures, sans la camaraderie.

Il savait que tout le mystère de la beauté ne peut jamais être compris par la foule, et que bien que la clarté est une vertu de style, une explicitation parfaite n'est pas une vertu nécessaire.

L'amour est un cœur flamboyant, et ses flammes aspirent / jusqu'à ce qu'elles obscènent l'âme dans la fumée d'un feu venteux.

Le vent se lève sur la mer, les danseurs de mousse blancs venteux sautent; et la mer gémit mal à l'aise, et se transforme pour dormir et ne peut pas dormir.

Mon âme est comme cette bague opale nuageuse et flamboyante.

Ma vie est comme un halle musical, où, dans l'impuissance de la rage, enchaîné par l'enchantement à mon stand, je me vois sur la stages pour amuser un hall musical.

La vie est un rêve dans la nuit, une peur parmi les peurs, un coureur nu perdu dans une tempête de lances.

Dieu, comme toutes les choses les plus élevées, se cache à l'ombre, et dans la nuit ses visites pour dormir et les rêves sont les plus clairs.

Pour avoir aimé, avoir été rendu heureux ainsi, / quel meilleur sort nous réserve la vie?

J'avais mes rêves de Venise, mais rien de ce que j'avais rêvé n'était aussi impossible que ce que j'ai trouvé.

Comme le parfum reste dans les plis où il a lain, donc la pensée de vous, restant profondément pliée dans mon cerveau, ne me quittera pas: toutes choses me quittent: vous restez.

Le mystique trop plein de Dieu pour parler intelligemment au monde.

Il y a certaines natures à qui le travail n'est rien, l'acte de travail.

Le tronçon gris-vert d'herbe sablonneuse, indéfiniment désolée; une mer de plomb, un ciel d'ardoise; déjà l'automne dans les airs, hélas! Une monotonie austère de pierre, le long hôtel, aigument blanc, contre les légers après le Sunset gris gris gris gris -Green, et prend le ton de l'herbe.

Un endroit a presque la timidité d'une personne, avec des étrangers ; et son secret est de ne pas se laisser surprendre par un interrogatoire trop direct.

La critique est correctement la tige de la divination: un interrupteur de noisetier pour la découverte de trésors enterrés, pas une brindille de bouleau pour la casting des délinquants.

Doux, puis-je vous chanter la chanson de vos baisers? Quelle est la douceur de celle-ci, à quel point cela est subtil, à quel point le baiser d'un oiseau est subtil, comme un oiseau qui tape sur un sommifère feuillu; Comment celui-ci s'accroche et comment cela se déroule du bourgeon à fleurir dans la voie des roses.

Le désert de la virginité fait mal dans la chaleur de sa bouche.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Arthur_Symons

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