Asif Kapadia, né à Hackney (Londres) en 1972, est un cinéaste britannique d'origine indienne.

Je veux faire mes propres films à partir de mes propres scripts en fonction des histoires que je veux raconter, mais ils prennent le temps de mettre en place.

Pourquoi faire un film sur Ayrton Senna? Quelqu'un qui a roulé en rond à 200 mph dans une voiture qui ressemblait à un paquet de cigarettes géant? Pourquoi quelqu'un qui n'est pas déjà fan de la Formule 1 prendrait soin?

J'étais fan de sport bien avant d'avoir intégré la réalisation de films.

Je ne fais normalement pas de documentaires. Je suis un réalisateur dramatique. J'ai fait quelques courts documents, mais je n'aime pas parler de têtes ou des narrateurs de «voix de Dieu».

Mon intérêt pour le cinéma a toujours été les visuels et les images.

Nous voulons faire des films pour le grand écran. Nous voulons que les gens aient le théâtre et ont l'impression de regarder un film.

J'ai adoré les films. Je savais que je voulais travailler sur le film, pas sur la vidéo.

Vous ne pouvez pas empêcher les gens de regarder sur les mobiles, mais j'espère que l'idée à l'ancienne de s'asseoir dans une pièce sombre avec un grand écran avec un groupe d'étrangers vit pour toujours.

Je peux maintenant officiellement à la femme "c'est du travail, chérie" Je dois regarder la course. Je dois regarder chaque seconde. Et en fait, ma femme qui ne supporte pas la course s'est lancée et une fois qu'elle a compris la politique, elle devient plus intéressante pour les personnes non racatées, je pense.

Enfant, je pensais que les films étaient ennuyeux. Mes parents louaient des magnétoscopes VHS pour le week-end et regardaient des films de Bollywood. Je m'ennuyais et j'allais à Stoke Newington pour jouer au football.

Je n'ai jamais réalisé que «le retour» prendrait tellement de temps à faire - c'était une «expérience politique» très difficile et la post-production à L.A. semblait durer éternellement.

J'ai travaillé avec Michelle Yeoh sur mon dernier film, «Far North», et son partenaire est Jean Todt; À l'époque, il dirigeait Ferrari. Je suis donc allé comme VIP au Grand Prix britannique.

La boxe est faite pour le film - il y a de la corruption, de la violence, de la tragédie et la chance que l'opprimé puisse attraper le champion avec un coup de poing chanceux.

Sur «Senna», il est arrivé au point où il y avait tellement de séquences que notre premier éditeur avait la suggestion sauvage que nous n'utilisons que les archives.

Je voulais faire un film qui ne ferait pas simplement appel aux fans de Formule 1. C'est ce que font les grands documentaires sportifs - «Hoop Dreams», quand nous étions rois »- ce sont les drames humains d'abord, le sport deuxième, voire pas du tout.

Dans un film intitulé «Senna», l'indice est dans le titre, et nous avons un badge brésilien sur notre manche comme nous le faisions. Nous le faisions du point de vue de Senna, avec Senna le racontant.

Ce que les gens ne font pas sur les films indiens, c'est que les chansons sont l'histoire.

Après Newport, j'ai travaillé à la télévision pendant un certain temps, puis je suis allé au Royal College of Art et j'ai fait une maîtrise. J'ai vraiment beaucoup étudié!

Être coéquipiers en Formule 1 signifie en fait que vous êtes les premiers rivaux, pas vraiment des amis.

J'ai fait trois courts métrages à moi que j'ai écrits, produits, réalisés ... vous avez tout fait à cette époque. Mon préféré était quelque chose que j'ai tourné sur VHS ... un petit documentaire.

J'adore raconter des histoires avec des images. Mais je pense qu'il y a plus à dire qu'un film est super visuellement.

Les gens ont toujours enregistré ce qui se passe autour d'eux sous une forme ou une autre.

Je fais souvent des films sur des sujets que je ne connais pas vraiment grand-chose. C'est peut-être la paresse, mais je n'y vais pas après avoir fait une tonne de recherche; La recherche se produit pendant que je fais le film.

Les sujets doivent venir avec des questions pour moi. Je ne fais pas de films où je suis un grand fan.

La vraie vie est beaucoup plus compliquée que la fiction.

Le Grand Prix de Monaco est en mai à l'époque de Cannes.

J'avais toujours l'intention de faire «d'extrême nord» juste après «le guerrier». Nous avions les droits sur la nouvelle, le script était en développement et je savais où je voulais le tirer. Il a fallu beaucoup de temps pour rassembler le script et augmenter la finance.

Ma femme Victoria Harwood était directrice artistique à «Far North», et elle avait conçu mon film étudiant, «The Sheep Thief».

Vous n'avez pas besoin d'être quelqu'un qui aime marcher une corde raide à travers les tours jumelles pour regarder «Man on Wire».

https://fr.wikipedia.org/wiki/Asif_Kapadia

Ses oeuvres