Bogyoke Aung San (birman : အောင်ဆန်း API : /bòʊdʒoʊʔ àʊn sʰán/) est un militaire, homme politique et dirigeant nationaliste birman, né le 13 février 1915 à Nat Mauk (région de Magway, Raj britannique) et mort le 19 juillet 1947 à Rangoun (Birmanie britannique).
Nommé Premier ministre de la Birmanie britannique en 1946, il négocie l'indépendance mais est assassiné l'année suivante avec six de ses ministres.
Il est le père d'Aung San Suu Kyi, prix Nobel de la paix en 1991.

Je ne pouvais pas, comme la fille de mon père, rester indifférent à tout ce qui se passait.

Chaque pensée, chaque mot et chaque action qui ajoute au positif et au sain est une contribution à la paix. Chacun de nous est capable de faire une telle contribution. Rejoignons les mains pour essayer de créer un monde paisible où nous pouvons dormir en sécurité et nous réveiller dans le bonheur.

Je suis bien conscient qu'il y a une si grande envie de l'homme pour l'héroïsme et l'héroïque, et que le culte héros ne forme pas un petit motif dans son complexe. Je suis également conscient que, à moins que l'homme ne croit en son propre héroïsme et à l'héroïsme des autres, il ne peut pas réaliser beaucoup ou de grandes choses. Nous devons cependant prendre soin de ne pas faire un fétiche de ce culte de l'âge des héros, car nous nous transformerons alors en votants de faux dieux et prophètes.

Je pense que c'est le cas dans la grande majorité des États autoritaires: en surface, à cause de la répression, tout semble gelé, mais quand le soleil se retire et que la glace fond, vous constatez qu'il y avait beaucoup de vie en dessous tout au long.

Je pense toujours que les défis sont intéressants et vous aident à devenir une meilleure personne.

Dans un système qui nie l'existence des droits de l'homme fondamentaux, la peur a tendance à être l'ordre du jour.

Il serait cohérent et approprié pour nous de rejoindre la guerre pour la liberté démocratique, seulement si nous serions également assurés que la liberté démocratique en théorie ainsi que dans la pratique.

Nous ne pouvons pas mettre en place nos espoirs sur les possibilités. Nous devons nous faire confiance en nous-mêmes, dans nos capacités, nos efforts et nos forces et nos préparatifs non seulement pour notre succès, mais même pour éviter notre propre défaite.

Ceux d'entre nous qui ont décidé de travailler pour la démocratie en Birmanie ont fait notre choix dans la conviction que le danger de défendre les droits de l'homme fondamentale dans une société répressive était préférable à la sécurité d'une vie au repos en servitude

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