Avery Johnson dit « le petit général » (né le 25 mars 1965 à La Nouvelle-Orléans) est un ancien joueur de basket-ball. Il est depuis avril 2015 l'entraîneur de l'équipe du Crimson Tide de l'université de l'Alabama, ce qui marque son retour au coaching après avoir été limogé le 27 décembre 2012 par les Nets de Brooklyn, franchise de la NBA.

Grande communication, caractère, motivation compétitive, cohérence, compassion, confiance - compétences que les leaders qui réussissent partagent.

Les gens ne se soucient vraiment pas, à certains égards, que vous ayez une famille. Avec un travail de haut niveau comme moi, ils veulent juste que vous gagniez des matchs de basket. Vous pouvez le faire et garder votre famille ensemble. J'essaye de mon mieux pour être aux pratiques de basket-ball ou aux pratiques de tennis ou aux récitals. Au cours de ma première année à Dallas, mon fils (alors âgé de 11 ans) Avery Jr., a dit: "Tu sais papa, tu es toujours le meilleur entraîneur de la NBA." Je me disais: "Mais je n'ai pas encore remporté de match éliminatoire." Et il a dit: "C'est bon. Tu es toujours mon papa." Cela vous fait vous sentir bien.

Ce pistolet Mac peut mettre un rond propre à travers un navire de capital de l'alliance.

Je pensais que je le ferais (à la NBA). Je croyais que je le ferais. Mais j'avais un plan B. J'allais obtenir ma maîtrise à l'Université de Tulane si cela n'avait pas fonctionné. Je pense que la pression de le faire n'était pas aussi grande que d'autres joueurs qui n'avaient pas d'autres options. J'allais faire quelque chose de spécial dans la vie et je voulais jouer dans la NBA. J'avais un plan de sauvegarde mais j'ai fait de la vitesse à toute vitesse avec mon plan A.

Je suis passionné par le coaching et la possibilité de mentorer les jeunes hommes de toutes les manières différentes. Je pense que c'est bien de pouvoir faire ce que vous aimez faire. C'est en moi depuis le début. Je disais à mon entraîneur de collège quoi faire et il me faisait confiance. Quand je suis entré dans la NBA, j'ai commencé à avoir des conversations avec des entraîneurs. L'entraîneur Gregg Popp (Avich) a beaucoup sorti en moi. L'entraîneur Don Nelson m'a donné une occasion incroyable de passer du temps avec lui et il m'a modelé mais en même temps m'a permis d'être moi-même.

Je refuse juste d'écouter plus de mensonges. Vous les entendez de la FEMA, vous les entendez de la Croix-Rouge et je ne voulais tout simplement pas l'entendre de lui.

En 1989, à l'église gospel complète du Grand Saint Steven, j'ai donné ma vie à Christ. C'est à peu près là où tout a commencé pour moi. J'avais 23 ans à l'époque, juste après ma première année dans la NBA. Le pasteur a prêché un message sur le fait d'être pleinement engagé. C'était à peu près moi. Je n'étais pas pleinement engagé. J'étais en quelque sorte dans et hors du temps. Je voulais donc juste m'engager.

Il y a beaucoup de choses qui font que les joueurs sont de très bons entraîneurs. Que vous ayez joué dans la NBA ou non, il y a certaines choses que vous devez maîtriser et être vraiment bon. Ils doivent juste être doués dans ces domaines. Vous devez être compétent. Deuxièmement, vous devez pouvoir communiquer. Vous pouvez avoir une image dans votre esprit sur la façon de marquer, mais si vous ne pouvez pas le communiquer, si vous ne pouvez pas l'enseigner, à quoi bon? Vous devez être brutalement honnête et être un homme de caractère fort et ensuite vous devez avoir des cours. Ils doivent vous respecter.

Mes normes sont si élevées à cause de qui je sert, mais cela ne met pas d'eau sur mon feu pour gagner. Je suis toujours une personne intense. Vous pouvez être intense et sauvé. Vous pouvez rivaliser et toujours être sauvé. Vous pouvez défier un gars et être toujours sauvé. Il n'y avait rien de doux chez moi en tant que joueur et il n'y a rien de doux chez moi en tant qu'entraîneur. Vous voulez être un homme d'intégrité et vous voulez que les joueurs sachent que vous vous souciez d'eux. Qu'ils aiment ou non toujours ou non, c'est une toute autre affaire.

Je veux juste aider les gens à devenir gagnants. C'est de ça que je parle. Je suis de gagner.

J'ai toujours été un homme d'engagement, que ce soit académiquement ou professionnellement. Mais spirituellement je n'étais pas engagé. Je parlais le discours et je voulais juste prendre cet engagement. Cela a également rendu l'engagement dans d'autres domaines de ma vie plus forts.

Être né est facile. Alors prend votre dernier souffle. Tout le reste, c'est la partie difficile. La vie est entre les deux, et elle offrira des défis et des opportunités au-delà de la mesure.

Ayant grandi à la Nouvelle-Orléans, ma mère et mon père étaient des fidèles. J'irais à l'église avec eux. De plus, j'allais dans une école catholique, donc j'avais une fascination pour l'Église catholique principalement parce que, dans mon esprit, (leurs services) n'ont pas pris autant de temps. Je rebondissais entre l'église baptiste de ma mère, qui s'appelait Second Zion Baptist, et je me rendait dans une église catholique.

J'ai vraiment eu de la chance. Je ne crois pas à la chance, donc j'ai eu la chance. Dieu m'a vraiment béni en termes de santé. ... J'étais vraiment en bonne santé. Mais j'ai essayé de faire ma part en termes de préparation, en termes de persévérance. J'ai essayé de faire ma part pour m'assurer que j'étais toujours prêt à jouer et à essayer de rester en avance sur le jeu. J'ai essayé de battre les gens avec mon esprit. Je n'étais pas le plus grand ou celui qui a sauté le plus haut, mais j'avais un vrai QI de basket-ball et je le savais. ... J'étais étudiant en jeu et j'ai essayé de me préparer et d'être professionnel et d'avoir une bonne attitude. Toutes ces choses m'ont aidé à avoir une longue carrière.

Chaque époque des entraîneurs a son propre ensemble de problèmes et de défis. Le joueur d'aujourd'hui est différent, mais certaines choses à leur sujet sont meilleures qu'elles ne l'étaient par le passé. Je ne pense pas que l'entraînement des joueurs d'aujourd'hui soit plus difficile. Je pense que nous sommes un peu trop durs sur le joueur de jour en cours parce qu'il est différent.

Je suis vraiment à l'aise dans une position de leadership stressante. J'ai besoin de ce travail. Je dois le faire. Cela correspond à ma personnalité. C'est la meilleure chose pour moi, à moins de jouer.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Avery_Johnson

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