Published to coincide the with 50th anniversary of the Israel occupation of the West Bank, an anthology that explores the human cost of the conflict there as witnessed by such notable writers as Colum McCann, Colm Toibin, Dave Eggers, Madeleine Thien, Eimear McBride, Taiye Selasi and editors Michael Chabon and Ayelet Waldman.

 June 2017 marks the 50th anniversary of the Israel occupation of the West Bank. The violence on both sides of the conflict has been horrific, the casualties catastrophic. Michael Chabon and Ayelet Waldman, two of today's most renowned novelists and essayists, have joined forces with the Israeli NGO Breaking the Silence-an organization comprised of former Israeli soldiers who served in the occupied territories and saw firsthand the injustice there-and a host of illustrious writers to tell the stories of the people on the ground in the contested territories.

 KINGDOM OF OLIVES AND ASH includes contributions from some of our most esteemed storytellers, including essays from editors Chabon and Waldman. Their writing enables readers to understand the human narratives behind the litany of grim destruction broadcasted nightly on the news. Together they all stand witness to the human cost of the occupation.

Kingdom of Olives and Ash - Writers Confront the Occupation

En 1945, Jack Wiseman, lieutenant américain basé à Salzbourg, est chargé de garder le " train de l'or hongrois ", rempli de biens volés aux Juifs. Avant d'être démobilisé, il dérobe un médaillon en forme de paon, en souvenir d'une femme qu'il a rencontrée là et dont il est tombé amoureux. Soixante ans plus tard, voulant faire la paix avec sa conscience, il confie une mission à sa petite-fille, Natalie : retrouver la propriétaire du bijou.
De l'Empire austro-hongrois à l'Amérique contemporaine, un bouleversant roman polyphonique qui combine avec brio trois intrigues : un puissant roman d'amour, un thriller sur le trafic d'oeuvres d'art, l'histoire vraie enfin d'un scandale historique.

" Ambitieux, captivant et terriblement émouvant. Le Médaillon de Budapest n'est pas un simple roman, c'est une malle aux trésors. " Joyce Carol Oates

Le médaillon de Budapest

En 1945, Jack Wiseman, lieutenant américain basé à Salzbourg, est chargé de garder le " train de l'or hongrois ", rempli de biens volés aux Juifs. Avant d'être démobilisé, il dérobe un médaillon en forme de paon, en souvenir d'une femme qu'il a rencontrée là et dont il est tombé amoureux. Soixante ans plus tard, voulant faire la paix avec sa conscience, il confie une mission à sa petite-fille, Natalie : retrouver la propriétaire du bijou. De l'Empire austro-hongrois à l'Amérique contemporaine, un bouleversant roman polyphonique qui combine avec brio trois intrigues : un puissant roman d'amour, un thriller sur le trafic d’œuvres d'art, l'histoire vraie enfin d'un scandale historique.

Le Médaillon de Budapest

In the aftermath of a devastating wedding day, two families, the Tetherlys and the Copakens, find their lives unraveled by unthinkable loss. Over the course of the next four summers in Red Hook, Maine, they struggle to bridge differences of class and background to honor the memory of the couple, Becca and John.
As Waldman explores the unique and personal ways in which each character responds to the tragedy--from the budding romance between the two surviving children, Ruthie and Matt, to the struggling marriage between Iris, a high strung professor in New York, and her husband Daniel--she creates a powerful family portrait and a beautiful reminder of the joys of life.
Elegantly written and emotionally gripping, RED HOOK ROAD affirms Waldman's place among today's most talented authors.

Red Hook Road

Voilà dix ans que John et Rebecca s'aiment, dix ans que Rebecca vient en vacances à Red Hook, ville côtière du Maine où John habite. C'est aujourd'hui le grand jour, le mariage a été méticuleusement préparé, le buffet est prêt. On attend les mariés... qui n'arriveront pas : leur limousine a terminé sa course dans un fossé. Ils sont morts sur le coup. Tout oppose les familles des mariés. John et ses deux frères ont été élevés à la dure par une mère femme de ménage à Red Hook. Les parents de la mariée, universitaires new-yorkais, viennent depuis toujours dans la charmante station balnéaire pour les vacances. Le drame va unir les destins de ces deux familles. Parents, frères et soeurs vont tenter chacun à leur manière de surmonter le deuil, année après année. Jusqu'à doucement retrouver, ensemble ou séparément, une nouvelle forme d'harmonie.

Un mariage en héritage

Épouser un homme déjà père est une chose, mais s'occuper de son fils âgé de cinq ans tous les mercredis en est une autre... En tombant amoureuse de Jack, Emilia pensait pouvoir aimer William, le fils de ce dernier. Mais elle est exaspérée par ce petit garçon précoce et je-sais-tout, qui prend un malin plaisir à corriger sa prononciation à chaque mot, à calculer sa masse corporelle dès qu'elle goûte un gâteau. D'ailleurs, pourquoi faudrait-il aimer ses beaux-enfants ? Emilia se débat avec ses états d'âme lorsque le drame survient : le bébé qu'elle vient de mettre au monde meurt subitement. La vue du moindre enfant la fait fondre en larmes, et les mercredis au parc avec William l'anéantissent. Pourtant, c'est grâce à lui qu'elle reviendra à la vie...

Mercredi au parc

Il avait été tellement évident de tomber amoureuse de Jack, qu'Émilia pensait pouvoir aimer William, le fils de ce dernier, tout aussi simplement. Mais comment ne pas être exaspéré par un petit garçon précoce et je-sais-tout de cinq ans qui corrige votre prononciation anglaise ou calcule votre masse corporelle à chaque fois que vous avalez un gâteau? et pourquoi faudrait-il aimer ses beaux-enfants à tout prix? Émilia se débat encore avec ces questions et ce petit garçon rebelle quand sa vie explose : le bébé qu'elle vient de mettre au monde meurt subitement. Tout l'accable, la vue du moindre enfant la fait fondre en larmes, et les mercredis avec William l'anéantissent. Pourtant, c'est grâce à lui qu'elle reviendra à la vie. À travers ses tentatives maladroites pour gagner l'amour de William, elle parviendra finalement à se retrouver elle-même, à faire son deuil, et à construire une vraie famille... Ayelet Waldman forme avec Michael Chabon un des couples littéraires américains les plus en vue du moment. Avec un sens aigu de la formule et des dialogues d'une justesse absolue, l'auteure nous balade brillamment entre l'exaspération et l'émotion, le rire et les larmes.

Épouser un homme déjà père est une chose, mais garder son fils de cinq ans tous les mercredis en est une autre... Une drôle d'histoire d'amour qui nous plonge dans les affres de la famille recomposée.
Il avait été tellement évident de tomber amoureuse de Jack, qu'Émilia pensait pouvoir aimer William, le fils de ce dernier, tout aussi simplement. Mais pourquoi faudrait-il aimer ses beaux-enfants à tout prix ? Et comment ne pas être exaspéré par un petit garçon précoce et je-sais-tout de cinq ans qui corrige votre prononciation anglaise ou calcule votre masse corporelle à chaque fois que vous avalez un gâteau ? Émilia résistera-t-elle à la tentation de devenir une " vilaine belle-mère " oe
Quand l'histoire tourne au drame... Un roman bouleversant et juste sur la culpabilité et les difficultés à construire une famille.
Émilia se débat encore avec ces questions et ce petit garçon rebelle quand le bébé qu'elle vient de mettre au monde meurt subitement. Là, sa vie explose. Tout l'accable, la vue du moindre enfant la fait fondre en larmes, et les mercredis avec William l'anéantissent. Pourtant, c'est grâce à lui qu'elle reviendra à la vie. À travers ses tentatives maladroites pour gagner l'amour de William, elle parviendra finalement à se retrouver elle-même, à faire son deuil, et à construire une vraie famille.
Ayelet Waldman forme avec Michael Chabon un des couples littéraires américains les plus en vue. Une voix originale qui " appuie là où ça fait mal ", pointe nos faiblesses, nos maladresses et nos doutes avec un humour tranchant.
Avec un sens aigu de la formule et des dialogues d'une justesse absolue, Ayelet Waldman nous balade brillamment entre l'exaspération et l'émotion, le rire et les larmes. À la fois drôle et dramatique, lucide et dur, ce roman nous parle de nous. Que l'on soit parent ou non, voilà un livre qu'on ne peut pas lâcher.

Ayelet Waldman née le 11 décembre 1964 à Jérusalem est une romancière, essayiste, scénariste et activiste pacifiste israélo-américaine.

Le plus grand défi pour toute personne ou artiste est d'accepter les contraintes de son médium et de faire quelque chose de beau malgré eux. C'est plutôt amusant, en fait.

Tout le monde sait maintenant à quel point un fœtus devient tôt un bébé. Les femmes enceintes ont vu leurs bébés sur les échographies. Ils savent qu'il y a une terrible vérité à ces images horribles que les fanatiques anti-choix tiennent devant les cliniques d'avortement.

J'ai pitié de la jeune femme qui tentera de s'insinuer entre le garçon de ma maman et moi. Je sympathise avec la nature monumentale de sa tâche. Il faudra un pied de biche, deux bulldozers et une demi-douzaine de cocktails Molotov pour faire des lâches et moi les uns des autres.

La plupart des écrivains passent leur vie à se tenir un peu en dehors de la foule, à regarder et à écouter et à espérer attraper ce petit soupçon de désespoir, ce ruban de méchanceté, qui leur fait penser: «Aha, voici l'histoire».

Une bonne mère se souvient de servir des fruits au petit déjeuner, est toujours gaie et ne crie jamais, parvient à ne pas projeter ses propres névroses et insuffisances sur ses enfants, est une bénévole communautaire active et aimée. Elle se souvient de faire des dates de jeu, d'ajuster les vêtements de ses enfants, elle fait des projets artistiques avec eux et aime tous leurs jeux.

Je dis toujours à mes enfants que dès que vous avez un secret, quelque chose sur vous que vous avez honte d'en faire découvrir d'autres, vous avez donné au pouvoir à d'autres personnes de vous blesser en vous exposant.

Mais je suis vraiment convaincu que nos enfants font beaucoup trop de devoirs. La recherche est de mon côté. Il est facile de faire des histoires lorsque vous avez raison. Cela peut être le slogan de ma vie: "Il est facile de faire des histoires lorsque vous avez raison."

Rouler comme un tigre transforme certains enfants en pianistes qui font leurs débuts au Carnegie Hall mais n'écrase que d'autres. Le coddling donne à une excuse pour échouer et d'autres la possibilité de réussir.

Beaucoup de médicaments fonctionnent pendant un mois, ou un an, puis arrêtent de travailler.

L'avortement de mon bébé est le plus grave des nombreux crimes maternels que je compte dans ma tête quand je suis au plus bas, quand l'étiquette Bad Mother semble convenir le mieux. Rocketship était mon bébé. Et je l'ai tué.

Si vous concentrez toute votre passion émotionnelle sur vos enfants et que vous négligez la relation qui a amené cette famille à l'existence ... finalement, les choses peuvent se passer vraiment, vraiment mal.

Oui, j'ai quatre enfants. Quatre enfants avec qui je passe une bonne partie de chaque jour: les baigner, se coiffer, assis avec eux pendant qu'ils font leurs devoirs, les tenant pendant qu'ils pleurent leurs larmes tragiques. Mais je ne suis amoureux d'aucun d'entre eux. Je suis amoureux de mon mari.

J'ai fumé du pot quand j'étais adolescent parce que d'autres enfants le faisaient, mais je ne l'ai pas beaucoup apprécié.

Le Q Je déteste et méprise, le Q chaque écrivain que je connais déteste et méprise, est-ce que c'est: «Où», le lecteur demande: «Avez-vous vos idées? C'est une question simple, et ma réponse habituelle est une sorte d'impuissance: «Je ne sais pas».

J'aime mon mari plus que j'aime mes enfants.

Je suis une féministe catégorique. Il ne m'est jamais venu à l'esprit de prendre le nom de mon mari lorsque nous nous sommes mariés. Je suis un partisan des droits à l'avortement, de l'égalité de rémunération pour un travail égal, des droits des femmes prisonniers, de toutes les causes féministes sécurisées, puis certaines.

En présentant un enregistrement fidèle et honnête de mon expérience en tant que mère, j'espère montrer à mes lecteurs et à mes enfants comment la vérité peut racheter même ce que vous craignez pourrait être le plus grave des péchés.

Vous savez, j'ai l'impression que mon travail est d'écrire un livre. Ensuite, les cinéastes viennent et ils font un film. Et ce sont deux formes d'art vraiment différentes.

Où serait les mémoires sans écrivains bipolaires? Je veux dire, c'est ce que - cette chose de surprenant est vraiment un symptôme très clair du trouble bipolaire. Et je ne dis pas que chaque, vous savez, je n'accuse pas tous les mémoires d'être bipolaires. Mais je pense d'une certaine manière, c'est une sorte de cadeau.

Je veux dire, je m'appelle absolument féministe. Et par cela, je veux dire une femme qui croit que vos opportunités ne devraient pas être limitées par votre sexe, que les femmes devraient avoir droit aux mêmes opportunités que les hommes.

J'ai tendance à aborder les interviews avec le même sentiment de circonspection et de retenue à l'approche de mon écriture. C'est-à-dire, pratiquement aucun. Lorsqu'on m'a demandé ce que j'ai fait de blogs comme le mien, des blogs écrits par des parents sur leurs enfants, j'ai dit: "Un blog comme celui-ci est le narcissisme dans sa floraison la plus obscène."

Pendant quelques mois là-bas, je criais comme une banshee.

Avant de me marier, je n'ai pas considéré mon échec à gérer même les outils de base d'une insuffisance féministe. Je pensais que cela avait plus à voir avec le fait d'être juif. Les Juifs que je savais en grandissant ne faisaient pas de «faire soi-même». Lorsque mon père avait besoin de marteler quelque chose, il utilisait généralement sa chaussure, et le seul véritable outil qu'il possédait était une paire de pinces à nez d'aiguille.

Les États ont commencé à réaliser combien d'argent ils dépensaient pour l'incarcération et combien d'argent ils dépensaient pour lutter contre cette guerre ridicule contre la drogue qui était en fait contre-productive.

Écoutez la femme enceinte. Valoriser elle. Elle valorise la vie qui grandit en elle. Écoutez la femme enceinte et vous ne pouvez pas vous empêcher de défendre son droit à l'avortement.

En tant que romancier, j'ai extrait mon histoire, ma famille et ma mémoire, mais d'une manière très spécifique. Écrivant de la fiction, je n'ai jamais utilisé les expériences immédiatement telles qu'elles se sont produites. J'avais besoin de laisser les choses se passer dans ma mémoire, mature et transmogrifier en quelque chose de significatif.

J'ai appris que j'ai souffert du trouble bipolaire II, une variante moins grave de Bipolar I, qui était autrefois connue sous le nom de dépression maniaque. L'information était naturellement effrayante; Jusqu'à 1 sur 5 personnes atteintes de trouble bipolaire se suicideront, et les taux peuvent même être plus élevés pour ceux qui souffrent de bipolaire II.

L'une des hontes les plus sombres et les plus profondes que beaucoup d'entre nous ressentent de nos jours est notre peur que nous soyons de mauvaises mères, que nous échouons nos enfants et que nous ne sommes pas loin de nos propres idéaux.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ayelet_Waldman

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