Touché par une balle en pleine jambe, Jazz se vide de son sang dans un garde-meuble de New York. Connie, sa petite amie, est entre les griffes de Billy Dent, son tueur en série de père. Quant à Howie, son équipier et meilleur ami, il gît inerte sur le sol de sa petite maison de Lobo's Nod.
Pourtant, tous trois doivent se relever, s'enfuir, lutter et mettre un terme à la folie de Billy Dent. Pour Jazz, l'enjeu est d'autant plus grand qu'il vient d'apprendre que sa mère, disparue des années plus tôt, est encore en vie. Et prisonnière de Billy.
Jazz a le courage et la force de la jeunesse, mais Billy a toujours un coup d'avance dans ce jeu macabre qu'il a lui-même inventé.
Il est temps de tuer le père.
Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Mélanie Fazi

Sang pour sang

Touché par une balle en pleine jambe, Jazz se vide de son sang dans un garde-meuble de New York. Connie, sa petite amie, est entre les griffes de Billy Dent, son tueur en série de père. Quant à Howie, son équipier et meilleur ami, il gît inerte sur le sol de sa petite maison de Lobo’s Nod.Pourtant, tous trois doivent se relever, s’enfuir, lutter et mettre un terme à la folie de Billy Dent. Pour Jazz, l’enjeu est d’autant plus grand qu’il vient d’apprendre que sa mère, disparue des années plus tôt, est encore en vie. Et prisonnière de Billy.Jazz a le courage et la force de la jeunesse, mais Billy a toujours un coup d’avance dans ce jeu macabre qu’il a lui-même inventé.Il est temps de tuer le père.

Sang pour sang  (Jasper Dent, #3)

Dans I Hunt Killers, Jazz Dent, le fils du serial killer Billy Dent, voulait prouver au reste du monde qu'il n'avait rien à voir avec son illustre père, allant jusqu'à traquer un tueur en série sévissant dans la région. Seul problème : Jazz pourrait bien avoir permis à son père de s'évader de prison...Plutôt que d'attendre que Billy vienne le chercher, Jazz préfère accepter la proposition d'un enquêteur venu de New York. La police est sur les traces d'un serial killer et l'expertise de Jazz dans le domaine serait la bienvenue. Mais plus d'un tueur l'attend dans les rues de New York...

Game (I Hunt Killers, #2)

(I Hunt Killers tome 2)Dans I Hunt Killers, Jazz Dent, le fils du serial killer Billy Dent, voulait prouver au reste du monde qu'il n'avait rien à voir avec son illustre père, allant jusqu'à traquer un tueur en série sévissant dans la région. Seul problème : Jazz pourrait bien avoir permis à son père de s'évader de prison...
Plutôt que d'attendre que Billy vienne le chercher, Jazz préfère accepter la proposition d'un enquêteur venu de New York. La police est sur les traces d'un serial killer et l'expertise de Jazz dans le domaine serait la bienvenue. Mais plus d'un tueur l'attend dans les rues de New York...
 Barry Lyga signe un thriller glaçant en nous plongeant dans les méandres de l'esprit d'un serial killer, pour qui la mort n'est qu'un jeu et les victimes, de simples pions.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Marie Cambolieu

Game

"Et si le plus dangereux serial killer au monde etait... votre propre pere ?"A Lobo's Nod, petite ville tranquille des Etats-Unis, nul ne veut croire que le corps de jeune fille retrouve dans un champ est l' uvre d'un serial killer. Jazz, lui, en est convaincu. Et il sait de quoi il parle puisqu'il n'est autre que le fils d'un criminel celebre dans tout le pays pour avoir assassine des dizaines de femmes. Son pere est en prison mais Jazz, lui, est libre et n'a qu'une crainte: que l'opinion le designe comme le coupable ideal. Il decide alors de faire equipe avec le sherif et de mettre a profit les enseignements de son pere dans l'espoir de demasquer le veritable coupable... Mais est-ce si facile quand on a recu le gout du sang en heritage ?Teinte d'un humour noir et grincant, "I Hunt Killers" est un thriller palpitant et totalement addictif !

I Hunt Killers

Et si le plus dangereux serial killer au monde était… votre propre père ?À Lobo’s Nod, petite ville tranquille des États-Unis, nul ne veut croire que le corps de jeune fille retrouvé dans un champ est l’œuvre d’un serial killer. Jazz, lui, en est convaincu. Et il sait de quoi il parle puisqu’il n’est autre que le fils d’un criminel célèbre dans tout le pays pour avoir assassiné des dizaines de femmes. Son père est en prison mais Jazz, lui, est libre et n’a qu’une crainte : que l’opinion le désigne comme le coupable idéal. Il décide alors de faire équipe avec le shérif et de mettre à profit les enseignements de son père dans l’espoir de démasquer le véritable coupable… Mais est-ce si facile quand on a reçu le goût du sang en héritage ? Teinté d’un humour noir et grinçant, I Hunt Killers est un thriller palpitant et totalement addictif !

I Hunt Killers (I Hunt Killers, #1)

Everyone is treating Kevin as a hero. He was in the right place and the right time and he saved a girl from being murdered. Only Kevin knows though, why he was able to save her. Things get even more complicated when Kevin is seen removing two patriotic "Support the Troops" ribbons from his car bumper. Now the town that lauded him as a hero turns on him, calling him unpatriotic. Kevin, who hadn't thought much about it up to then, becomes politcially engaged, suddenly questioning what exactly supporting the troops or even saying the pledge of allegiance every day means.

Hero-Type

Josh Mendel has a secret. Unfortunately, everyone knows what it is.    Five years ago, Josh's life changed. Drastically. And everyone in his school, his town-seems like the world-thinks they understand. But they don't-they can't. And now, about to graduate from high school, Josh is still trying to sort through the pieces. First there's Rachel, the girl he thought he'd lost years ago. She's back, and she's determined to be part of his life, whether he wants her there or not. Then there are college decisions to make, and the toughest baseball game of his life coming up, and a coach who won't stop pushing Josh all the way to the brink. And then there's Eve. Her return brings with it all the memories of Josh's past. It's time for Josh to face the truth about what happened.    If only he knew what the truth was .

Boy Toy

. ... mais il y a un ordre de restriction en place". Elle parle lentement, choisissant ses mots avec soin. Je ne suis pas censée être aussi proche de toi". Tu n'étais pas censée être aussi proche de moi", dis-je, sans savoir pourquoi.

Cela signifie simplement que si quelqu'un vous déteste, il a toujours des sentiments pour vous. S'ils ne se souciaient vraiment pas de vous, ils vous oublieraient. Ils ne perdraient même pas le temps à vous détester.

Il a bougé pour passer une main dans ses cornrows, puis s'est retiré en se souvenant de la seule fois où il a essayé ce que-Connie l'avait donné des conférences sur le onzième commandement: tu ne toucheras pas les cheveux de ta petite amie noire. Jamais.

La meilleure vengeance est de bien vivre, m'a dit mon père.

À la fin de la journée, c'est une série de défis individuels contre une défense d'équipe. C'est un test psistonal à chaque fois que j'entre dans la boîte du frappeur: puis-je faire mieux que la dernière fois? Et c'est pourquoi j'adore ça.

C'est comme ça: "Il avait expliqué une fois à Connie." Si quelqu'un vous donnait une seule rose, vous seriez heureux, non? "" D'accord, "il a continué," Imaginez maintenant que quelqu'un vous donne dix mille roses. " "C'est beaucoup de roses", a-t-elle dit. "C'est trop." "Bien. Trop. Mais plus que cela, cela rend chaque rose individuelle beaucoup moins spéciale, non? Il est difficile d'en choisir un et de dire: «C'est le bon». Et cela vous donne envie de vous débarrasser de tous parce qu'aucun d'entre eux ne semble spécial maintenant. "Connie avait plissé les yeux." Êtes-vous en train de dire que lorsque vous êtes à l'école, vous voulez juste vous débarrasser de tout le monde?

Et si une marionnette pouvait couper ses propres cordes, et dans cet acte de défi et de force de devenir vraiment vivante? Devenez est propre Puppetmaster?

C'est une bonne journée quand une déesse monte avec vous.

La colère était une perte de temps et d'énergie. La colère était inutile. " La colère " était l'étiquette donnée à l'émotion qui n'accomplissait rien.

C'est pourquoi je pardonne, mais je n'oublie pas. Lorsque vous oubliez quelqu'un, le pardon ne signifie plus rien.

Et mes parents m'ont donné envie que je le suis. Et alors? Nous obtenons des trucs de nos parents, mais nous obtenons également des trucs du monde qui nous entoure. Des gens autour de nous. Et à la fin de la journée, nous sommes nous.

Au baseball, lorsque vous montez dans la boîte du frappeur, c'est tout. C'est juste toi. C'est un homme contre le monde. Tout ce qui compte à ce moment-là, c'est votre réussite individuelle et votre compétence individuelle. Il n'y a littéralement rien que quelqu'un d'autre dans votre équipe puisse faire pour vous. Enfer, ils sont tous assis sur le banc, attendant de voir ce qui se passe, tout comme les fans de la foule! C'est juste toi et ta batte. Et le ballon.

Vous ne saurez même pas que vous avez franchi la ligne jusqu'à ce qu'il ne revienne dans votre rétroviseur.

Vous ne vous balancez à aucun terrain. Vous balancez ceux que vous pouvez frapper.

Vous et vos cicatrices. S'il te plaît! Vous ne vous tuez pas comme ça! "Je fais un geste, tenant un poignet tourné vers le plafond, puis en faisant semblant de le couper avec mon autre main." C'est juste un cri d'aide. C'est juste l'attention. Tout le monde le sait. Couper juste vous amène à l'hôpital. C'est juste des films et des émissions de télévision et des trucs comme ça. Vous n'avez pas vraiment essayé de vous tuer. Vous vouliez juste l'attention, mais vous avez foiré. Essayez plus fort la prochaine fois.

Voici le problème du baseball - ce n'est pas le sport individuel que je pensais que c'était. Il s'avère que j'avais tort à ce sujet. Oui, la frappe est un homme seul contre le monde. Il se tient dans la boîte du frappeur comme un soldat et c'est à lui - et lui seul, ce qui se passe ensuite. Mais voici la chose que je n'ai pas compris jusqu'à ce que je sois contraint, jusqu'à récemment: afin de frapper un home run… quelqu'un d'autre doit lancer le ballon.

[Elle était faite de peau, d'os, de haine et de folie, et la haine et la folie ne pèsent rien.

Vous ne pouvez pas compter sur l'amour. L'amour vous laissera tomber à chaque fois. Chaque. Seul. Temps. Je n'aime pas Jecca. Je n'aime pas Fanboy. Mais ... Dieu, les maiss de la vie vous tueront absolument à chaque fois, n'est-ce pas. Je n'aime pas. Mais, j'ai besoin. Je peux l'admettre.

L'amour vous rend faible. Je sais avec certitude. Maman aimait Roger. Roger aimait maman et regarde ce qui s'est passé là-bas. Elle mourut. Elle pensait que son amour la rendait forte. Elle n'arrêtait pas de me dire - après qu'elle a été diagnostiquée, elle me disait: "Je vais battre cette Kyra. Je vais en sortir. Je t'aime et j'aime ton père et cet amour est ma force. Tu es ma force.

Irréel. Je me sens nostalgique de quelque chose qui s'est produit il y a moins de vingt-quatre heures. Cela doit être un record.

Et quoi? Coupe accidentellement trois doigts après la mort ? 'Oups, oh, non, ma copine vient de mourir ! Maladroit moi, en essayant d'effectuer la RCR, je me suis coupé des doigts ! Je suppose que je vais juste les emmener avec moi... Oh, bon sang, où est passé ce majeur ?

...appelé neuf-un-un," dit Howie, "et puis j'ai entendu quelque chose dans la ruelle, alors j'y suis retourné et" --Howie toussa-- "et j'ai vaillamment attaqué son couteau avec mes tripes, en vain." "Vous l'avez bien vu ? Pouvez-vous le décrire ?" Howie sourit faiblement. "Oui. Il était à peu près long" -- il leva les mains, écartées de dix centimètres -- "mince, fait d'acier. Pointu. Pointu.

Je ne sais pas et je m'en fiche. J'étais censé avoir mon chemin pour une fois, une seule fois dans ma vie. J'ai tout fait correctement et je n'ai rien pour ça. Je veux tous les tuer. Non, mieux encore, je veux mourir. Non, même par Better que ça: je veux les tuer tous, puis mourir.

Oui », a déclaré Howie solennellement. «Je peux vous apprendre à être plus« rue »». "Pour l'amour de Dieu ..." "Ou est-ce" urbain "? Je ne me souviens pas. Quoi qu'il en soit, je peux t'apprendre, Grasshopper. Ou hip-hopper.

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