On s'imagine qu'avoir l'embarras du choix est une garantie de liberté individuelle, donc de satisfaction. Or qu'il s'agisse de s'offrir un nouveau jean, de s'abonner à un opérateur téléphonique, de désigner son médecin traitant ou de placer ses économies, toute décision est devenue affreusement compliquée dans les sociétés occidentales. Analysant ce phénomène moderne, Barry Schwartz dresse ici un constat surprenant : le " trop de choix " se révèle néfaste pour notre bien-être - et, bien sûr, pour notre porte-monnaie. Mais on peut y remédier. Pourquoi faire le bon choix est-il un exercice périlleux ? Peut-on encore résister aux sirènes de la consommation ? Comment déjouer les pièges des marques, des industriels et des médias ? Faut-il, en définitive, réduire l'éventail des possibles pour être heureux ? Un ouvrage militant, qui nous invite à exercer notre libre arbitre avec plus de discernement.

Le paradoxe du choix - Comment la culture de l'abondance éloigne du bonheur

Barry Schwartz peut faire référence à :

Barry Schwartz (1946- ), psychologue américain,
Barry Schwartz (en) (1980- ), blogueur et journaliste,
Barry K. Schwartz (en) (1942- ), homme d'affaires américain,
Barry Schwartz (en), sociologue.

Les personnes qui travaillent dans les services financiers n'ont pas de soucis de préoccupation concernant le bien-être des personnes qu'ils servent. Ils ne sont intéressés qu'à eux-mêmes.

Lorsque vous comptez sur des incitations, vous sapiez les vertus. Ensuite, lorsque vous découvrez que vous avez réellement besoin de gens qui veulent faire la bonne chose, ces gens n'existent pas parce que vous avez écrasé le désir de quiconque de faire la bonne chose avec toutes ces incitations.

Trop peu d'attention est accordée au côté obscur des incitations. Ils sont tout sauf une solution magique. Les psychologues le savent depuis des années, mais il semble largement caché au monde du commerce.

Ce que je recherche dans n'importe quel livre est un argument, basé sur des preuves, qui change la façon dont je pense à quelque chose d'important.

Tout le monde gagne de l'argent pour vivre, mais la plupart d'entre nous font réellement quelque chose qui a un point, en plus de simplement gagner de l'argent. Nous examinons et traitons les patients, nous enseignons aux étudiants, nous établissons des contrats et des testaments, nous écrivons pour les journaux, les magazines et les sites Web, nous nettoyons les planchers, ou nous servons des repas.

Dans quelle mesure est-il important que votre enfant profitera bientôt d'une première année à Harvard ou à Yale ou que finira plutôt à son troisième, quatrième ou cinquième choix? Probablement beaucoup moins que vous ne le pensez.

Je ne lis pas vraiment «Business Books» et je ne pensais pas que «le paradoxe de choix» était un livre d'affaires. Je suis très surpris et satisfait que le monde des affaires pensait que c'était un.

La sagesse pratique est ce que l'on appelle dans des situations qui leur ont une dimension morale.

Dans un monde idéal, le travail de personne ne serait à peu près de l'argent. Les gens pourraient poursuivre l'excellence dans ce qu'ils font, être fier de réaliser et tirer un sens en sachant que leur travail a amélioré la vie des autres.

Des années de recherche en psychologie ont montré que les récompenses et les punitions peuvent être très efficaces pour changer de comportement. Mais, en même temps, ils peuvent créer une dépendance aux récompenses et aux punitions.

Bien sûr, les banquiers étaient toujours intéressés à gagner de l'argent. Mais lorsque les banquiers avaient des clients, ils avaient une certaine responsabilité pour le bien-être des clients.

Je commence par une idée qui ne fait rien de plus d'un paragraphe et de l'élargir lentement dans un contour. Mais je suis toujours surpris par les directions que les choses prennent quand je commence à écrire.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Barry_Schwartz

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