Dans l'ensemble, ce sont les droits et libertés de tous les citoyens qui sont cruciaux en Arabie saoudite et de ceux des droits des femmes émaneront.

Notre police religieuse a l'effet le plus dangereux sur la société - la ségrégation des sexes, mettant les mauvaises idées dans la tête des hommes et des femmes, produisant des maladies psychologiques qui n'avaient jamais existé dans notre pays auparavant, comme le fanatacisme.

Le début de l'islam était une période de grande créativité. Les chercheurs excelaient dans les sciences et la littérature. Notre religion ne devrait pas être un bouclier derrière lequel nous nous cachons du monde mais une force motrice qui nous inspire à innover et à contribuer à notre environnement. C'est le véritable esprit de l'islam.

Je veux dire clairement que je suis humanitaire, pas un activiste. Je ne suis pas d'agendas - seulement celui de l'humanité, non seulement en Arabie saoudite, mais dans le monde entier.

Je suis une personne très publique. Je n'ai rien à cacher.

Nous avons des ministres qui sont incapables de faire ce qui a été ordonné par le haut car il n'y a pas de suivi, car il n'y a pas de conséquences. Si vous êtes pauvre et que vous volez, votre main est coupée après trois infractions. Mais si vous êtes un homme riche, personne ne vous dira rien.

Notre constitution devrait être inspirée par la philosophie du Coran avec des principes qui sont dans la pierre et non ouverts aux caprices des juges individuels, comme c'est le cas maintenant. En particulier, la Constitution devrait protéger les droits humains fondamentaux de chaque citoyen, indépendamment de leur sexe, de son statut ou de leur secte. Chacun devrait être égal avant la loi.

La façon dont les femmes aujourd'hui sont traitées en Arabie saoudite sont le résultat direct de l'éducation que nos enfants, garçons et filles reçoivent à l'école.

Le début de l'islam était une période de grande créativité. Les chercheurs excelaient dans les sciences et la littérature.

Pourquoi ne nous battons-nous pas réellement pour une femme même pour se plaindre d'être battu. C'est plus important que la conduite. Si une femme est battue, on leur dit de retourner chez eux - leurs pères, maris, frères - pour être battus et enfermés dans la maison.

Aujourd'hui, en Saoudien, les femmes sont soit à la merci de leur mari, soit à la merci des juges qui ont tendance à se ranger du côté des maris. La seule circonstance qu'une femme peut demander un divorce ou un «khali» est lorsque son mari est en accord total avec elle ou si elle vient d'une famille très puissante qui décide de la soutenir.

Si la Chine était comme la lune, alors arriver en Arabie saoudite était Mars. Au moins, vous pouvez voir la lune de la Terre.

Aujourd'hui, en Saoudien, les femmes sont soit à la merci de leur mari, soit à la merci des juges qui ont tendance à se ranger du côté des maris. La seule circonstance qu'une femme peut demander un divorce ou un khali, c'est quand son mari est en accord total avec elle ou si elle vient d'une famille très puissante qui décide de la soutenir.

Mon père a créé la première université féminine dans le royaume, aboli l'esclavage et a tenté d'établir une monarchie constitutionnelle qui sépare la position du roi de celle du Premier ministre.

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