Fortnum & Mason Food Book of the Year 2020

 We never snacked like this and we never binged like this. We never had so many superfoods, or so many chips. We were never quite so confused about food, and what it actually is.

 This is a book about the good, the terrible and the avocado toast. A riveting exploration of the hidden forces behind what we eat, The Way We Eat Now explains how modern food, in all its complexity, has transformed our lives and our world. To re-establish eating as something that gives us both joy and health, we need to find out where we are right now, how we got here and what it is that we share.

 Award-winning food writer Bee Wilson explores everything from meal replacements such as Huel, the disappearing lunch hour, the rise of veganism, the lack of time to cook and prepare food and the rapid increase in food delivery services. And Bee provides her own doable strategies for how we might navigate the many options available to us to have a balanced, happier relationship with the food we eat.

The Way We Eat Now - Strategies for Eating in a World of Change

'This book can't give you a six-pack in seven days or the skin of a supermodel. But I can promise that if you make even a few of these adjustments, your eating life will alter for the better in ways that you can sustain.'

 This Is Not A Diet Book is a collection of calm, practical tips and ideas on healthier, happier eating from award-winning food writer Bee Wilson.

 From unsweetening your palate to rethinking the lunchtime sandwich, This Is Not A Diet Book gathers together some of the wisest, most constructive advice for feeding you and your family.

This Is Not A Diet Book - A User’s Guide to Eating Well

Le groupe qui pourrait vraiment bénéficier de plus de protéines n'est pas en forme de jeunes gymnases mais des personnes âgées, qui semblent être beaucoup plus à risque de carence en protéines.

Le danger de grandir entouré de concoctions industrielles sucrées et salées sans fin n'est pas que nous sommes intrusment incapables de leur résister, mais plus nous les mangeons, surtout dans l'enfance, plus ils nous forment à nous attendre à ce que tous les aliments goûtent de cette façon.

Une chose que je fais toujours - et je suis sûr que cela est en partie à voir avec la mémoire et le désir et parce que je l'ai fait depuis que mes enfants sont nés - je fais du pain d'épice chaque année. Et c'est en partie juste le parfum des épices de la maison, me fait sentir l'hiver pour moi.

En théorie, l'écriture alimentaire est une aide ou un prélude à des repas réels: vous lisez une recette, puis vous cuisinez. Dans la pratique - dans un «paradoxe» que Michael Pollan, entre autres, a identifié - nos fantasmes gastronomiques actuels, en particulier à la télévision, ont coïncidé avec une baisse de la cuisine maison.

L'une des choses les plus grossières que vous puissiez faire, en termes de nourriture, est de regarder quelqu'un en train de manger. Il attire l'attention sur le fait inconvenant que la consommation est une fonction corporelle - comme les animaux, nous sommes piégés par nos faims, mais nous faisons de notre mieux pour les déguiser avec des accessoires civilisés tels que les menus et les fourches.

L'ancienne injonction «Ne parlez pas avec votre bouche complète» est basée sur la présomption que, quelle que soit une bouche multifonctionnelle, elle ne devrait effectuer qu'un seul travail à la fois. Les humains ont trouvé un moyen de contourner cette limitation sous forme d'écriture alimentaire.

La principale influence sur le palais d'un enfant n'est peut-être plus un parent mais une série de fabricants d'aliments dont les produits - malgré leur illusion de choix infini - fournissent un coup de saveur monotone, contrairement aux saveurs les plus variées de la cuisine traditionnelle.

L'ustensile le plus triste que j'ai rencontré est un «bol de ramen anti-loneness», qui maintient votre iPhone pour vous tenir compagnie pendant que vous glissez votre bol solitaire de nouilles. Mais l'iPhone ne peut pas retourner votre regard ou vous rassurer que vous n'avez pas trop pressé de chaux dans la soupe, bien qu'une application de conversation pour le dîner ne soit qu'une question de temps.

Ce qui me frappe, plus je cuisine, c'est que les meilleures recettes sont celles où l'anatomie de base est si saine qu'elle survivra à plusieurs ajustements. Lorsqu'une recette a de bons os, vous pouvez changer l'assaisonnement, doubler l'ail, échanger de la chaux contre le citron, et il s'avère toujours délicieux.

Quand quelqu'un nous regarde manger, nous nous sentons exposés. Nous pourrions également soupçonner que la personne qui regarde veut voler de la nourriture dans notre assiette. Le tabou, en tout cas, est de longue date.

J'aime le quinoa. J'aime le pain d'épice. Je pense qu'ils devraient être séparés. Je ne suis pas en faveur de cette chose de fabriquer une sorte de gâteau au chocolat végétalien cru et de dire que c'est aussi bon que le gâteau au chocolat. Je veux dire, mangez simplement du gâteau et en finissez avec. Puis prendre un repas séparé de quinoa.

Si nous allons changer notre alimentation, nous devons d'abord réapprendre l'art de manger, ce qui est une question de psychologie autant que la nutrition. Nous devons trouver un moyen de vouloir manger ce qui est bon pour nous.

Dans les bonnes circonstances, je suis un grand fan de manger seul. Souvent, un dimanche soir, je vais à un cours de yoga dont le charme est en grande partie qu'il me donne un alibi pour éviter de cuisiner un souper de famille pour une fois. Je reviens pour avoir des œufs et des soldats en silence avec un livre. Bonheur.

Plus les gens sont invités à manger des légumes, moins il semble qu'ils souhaitent les manger. Et c'est une réponse assez naturelle. J'ai donc dit que la principale façon dont nous aimons la nourriture est de leur exposer, mais il y a une deuxième condition. Nous devons être exposés à eux sans ressentir aucun sentiment de coercition.

Le grand écrivain de la cuisine américaine M. F. K. Fisher a écrit un autre essai intitulé «L'anatomie d'une recette». Pour avoir une bonne anatomie, à son avis, une recette devrait avoir un sentiment de progression logique. Elle désespérait des recettes avec des «défauts anatomiques», où le lecteur est dit de faire une pâte à gâteau et seulement pour graisser les moules à pain.

Barres protéiques, flapjacks protéiques, granola protéique, crème glacée protéique et eau de coco protéique ... Pour regarder les allées de la santé, on pourrait penser que la protéine était une substance que personne ne pouvait trop manger. Même le pain se présente maintenant sous forme enrichie en protéines.

J'apprécie les recettes qui vous indiquent ce qui peut être changé et ce qui doit rester fixe. «The Zuni Cafe Cookbook» de feu Judy Rodgers en est superbe.

Apprendre à cuisiner dans les années 1990, je pensais que des «olives appropriées» signifiaient le noir. La référence était Kalamata de Grèce: le noir violet avec une profondeur de saveur presque champignon. D'autres beaux exemples étaient de minuscules coquilles de tanches rondes belles et dodues de Nyons.

Lorsque nous consommons beaucoup plus de protéines que nous avons besoin, nos reins ont du mal à le traiter, entraînant des protéines dans l'urine. Trop de protéines de la viande peuvent également contribuer aux calculs rénaux.

Parfois, le buzz de la lecture sur les autres aliments vient du frisson voyeuriste de voir comment vit l'autre moitié: la feuille d'or et les truffes ou - dans le cas de la fête de Trimalchio dans Petronius '' Satyricon '- le dortoir et le miel.

Il y a des années, lors d'une phase de John Grisham, j'ai essayé de déterminer exactement pourquoi j'ai trouvé des thrillers juridiques souvent prévisibles de Grisham assez réconfortants. La meilleure réponse que je pouvais trouver était la fréquence avec laquelle Grisham nous dit que ses personnages principaux sirèdent le café. En ce qui concerne la nourriture et les boissons, la prévisibilité peut consoler.

Une recette n'est pas une formule exacte, mais elle a besoin d'une certaine structure. Lorsque les os sont à droite, vous pouvez l'habiller de plusieurs façons.

Le retour de True Green Olives faisait partie d'un renouveau alimentaire espagnol au début des années 2000. Je crédite Sam et Sam Clark de Moro Restaurant à Londres pour les rendre à nouveau cool.

Il y a une nouvelle ligne de démarcation en olives: entre ceux qui préfèrent Nocellara à toutes les autres variétés et aux personnes qui ne les ont jamais goûtées.

En 2009, il a été prévu que le nombre de ménages à une seule personne augmenterait de deux millions en 10 ans, ce qui suggère que l'isolement social ne fera qu'empirer.

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