The latest adventure from bestselling author Ben Fogle explores what we can learn from nature about living well and living wild.

 What can rowing across the Atlantic teach us about boredom and about patience?

 Can coming down from Everest take more resilience than climbing up in the first place?

 How can the isolation of the South Pole highlight what's most important? And how can we tap into the same reflective state in our daily lives?

 Writing during the unprecedented period of the coronavirus pandemic and drawing on a wealth of personal stories, Ben reflects on the significance of nature to all our lives and shows us how we can benefit from living a little more wild.

 Drawing on his greatest adventures, he shares what his time spent in the wilderness has taught him about life. Ranging across seas, icecaps, jungles and deserts, Ben's stories are filled with wonder and struggle, with animals, adventure, wilderness, friendships, unexpected acts of kindness and heroism, and are bursting with inspiration directly from nature. Ben's epic stories reveal a new side to his adventures and show how everyone can find meaning in the wilderness, even if it's just outside their front door.

 Full of exciting adventures and practical guidance, this primer on positivity is a story about overcoming obstacles, surpassing your expectations and inspiring your journey of adventure.

Inspire - Life Lessons from the Wilderness

Sunday Times Bestseller

 'Passionate and well-researched' Tatler

 'A must-read' Independent

 A social history of Labradors, and how they have become the world's most beloved dogs, by writer, presenter and long-time dog lover Ben Fogle.

 Labradors are the most popular breed of dog in the world. Not only a great family companion, they also excel at hunting, tracking, retrieving, guiding and rescuing. But where did the breed originally come from? How did it develop? When did black, yellow and chocolate Labradors first appear? Did they really all come from Labrador in Canada and are they really all related to just one dog?

 In this first history of the Labrador, Ben Fogle goes in search of what makes Labradors so special. Their extraordinary companionship, intelligence, work ethic and loyalty is captured by Ben as he weaves the story of the breed into his own story of his beloved Inca.

 Ben visits Canada, discovers hair-raising stories of early Labrador exploits and uncovers stories of RNIB Labradors and Labradors at war, Labradors as working dogs and every other manifestation of the Labrador's character. Exploring their origin, early characteristics, their use as gun dogs, as therapy dogs, as police dogs, as search and rescue dogs and last - and absolutely not least - as family pets, Ben tells the story of a dog breed which has captured our imagination and love for hundreds of years.

Labrador - The Story of the World’s Favourite Dog

New Year's Day, 2009. Somewhere on the bottom of the world, six teams of adventurers and explorers have gathered to race one another, on foot, to the South Pole. It is the first time that anyone has undertaken such a race in almost a hundred years; the first time since the great Norwegian, Roald Amundsen, beat Captain Scott to the same goal in 1911. The stakes are high, as double-Olympic Gold-winning medallist James Cracknell and TV presenter and adventurer Ben Fogle must contend with hidden crevasses, frostbite and the favourites to win: a team of teak-hard former soldiers from Norway, trained in Arctic warfare. Temperatures as low as minus 45 degrees Celsius lie in store for the teams as they attempt to ski across 800 kilometres of unforgiving, icy wilderness, pulling behind them sledges laden with equipment, tents and food. Race to the Pole is a rip-roaring 'boy's own' adventure packed with excitement, humour and even a few tears. But with just a few months to learn to cross-country ski before the start, and with national pride at stake, can Ben and James re-write history and beat the Norwegians?

Race to the Pole - Conquering Antarctica in the world's toughest endurance race

Wild

Nous sommes une génération pratique beaucoup plus délicate que nos pères, mais jongler avec le travail, la famille et la vie sociale et essayer d'être romantique et de vous tenir en forme est vraiment difficile. Je veux être le père parfait mais tu ne peux pas être le père parfait à moins que tu ne compromis ailleurs.

Je me souviens avoir lu sur une maladie appelée leishmaniose, qui correspondait à mes symptômes. J'avais toujours pensé que c'était un conte de vieilles femmes - une morsure de mouche de sable qui mange votre chair. Mais quand j'ai regardé sur Internet et vu des photos de personnes qui l'avaient, leurs lésions ressemblaient à la mienne.

En tant qu'êtres humains, nous ne sommes pas des gens solitaires, nous sommes comme des chiens, nous aimons vivre en packs et nous connaître les uns des autres. Et, si quoi que ce soit, la renommée est des gens qui essaient d'atteindre la communauté à l'échelle de masse, car lorsque vous devenez célèbre partout où vous allez, les gens savent ce que vous avez fait et ce que vous êtes sur le point de faire.

La majorité du temps, je vis dans un sac à dos dans une jungle ou que je suis resté de la montagne. Le luxe a tendance à être lorsque ma femme et mes enfants sont là.

Vous apprenez tellement sur le chemin où vous pouvez vous pousser et ce que vous pouvez faire. Comment une expérience comme l'Antarctique vous aide, cela renforce votre confiance.

Sans risque, vous ne pouvez pas ressentir la vie. Il doit y avoir des risques, physiquement et mentalement, pris par tout le monde.

Nous avons tendance à faire défaut à la complaisance. Tenez-vous à l'option facile. Nous le faisons tous. Nous avons essayé de créer un modèle commercial et une société autour de nous qui est aussi simple et en boîte que possible. Nous aimons créer des frontières et des frontières.

Je ne peux même pas faire cuire un œuf. La seule chose que je peux bien faire, c'est de faire du pain. Je l'adore et je le trouve incroyablement thérapeutique.

De nombreux habitants de l'Afrique de l'Est appellent des clôtures à séparer la faune et les gens. Ils soutiennent que cela réduira les conflits et facilitera également la protection de la faune des braconniers. D'après mon expérience en Tanzanie, aucune clôture et aucune milice ne retiendra la vague de braconniers tirés par les énormes sommes d'argent en jeu.

Il y a quelque chose de très attrayant à déménager dans un endroit lointain.

Je me suis retrouvé de plus en plus éloigné de la viande. Cela n'a pas été tant un choix conscient qu'un changement organique.

Les vacances sont notre grande indulgence familiale.

Ma femme et moi sommes des optimistes et nous regardons les points positifs de la vie.

Les gens sont submergés par des problèmes sociaux, des problèmes politiques et des problèmes économiques - et cette notion de tout abandonner et d'aller vivre hors réseau et d'avoir un mode de vie plus simple est assez attrayant.

Certaines personnes confondent la confiance avec l'arrogance. Il ne fait aucun doute dans le monde des affaires, il y a quelques grands ego et je pense que l'arrogance peut gêner. Mais si vous avez la confiance nécessaire pour aller à votre supérieur supérieur et dire que c'est faux, cela peut faire une différence.

L'ivoire devient rapidement le nouveau diamant sanguin d'Afrique et qui alimente les batailles de la milice. Certains des groupes armés les plus notoires du continent, y compris l'armée de résistance du Seigneur, chassent les éléphants et utilisent les défenses pour acheter des armes.

J'en ai assez des titres sombres et de la politique de division, des drames télévisés sombres et des médias sociaux remplis de haine. J'embrasse un nouveau mouvement avec un nom légèrement ridicule et une seule mission, pour rendre le monde meilleur. Cela s'appelle «Hopepunk».

Après l'université, je voulais absolument devenir ambassadeur. Je suis revenue à la géographie : J'aimais l'idée de vivre dans des pays exotiques et passionnants, tout en conduisant une Land Rover et en buvant du thé. J'ai échoué trois fois aux examens du ministère des affaires étrangères.

J'ai une mémoire terrible. Je ne me souviens jamais de noms ou de visages. C'est incroyablement embarrassant.

Hopepunk fonctionne. Essayez-le et je vous garantis que vous vous sentirez mieux - tout comme les gens qui vous entourent. C'est positivement contagieux.

Bien que je sois un garçon de la ville, je suis un rural dans l'âme - et cela vient de l'école. J'avais vécu près de Marble Arch à Londres et c'était fantastique d'être entouré de champs et d'arbres.

J'adore l'océan. Partout à proximité de l'océan. De préférence l'océan Atlantique.

Je ne suis pas du genre à me plaindre de la maladie. Je suppose que j'ai un peu une lèvre supérieure raide. J'ai tendance à continuer les choses.

Le désert m'a sauvé. J'ai été façonné par mes expériences dans les grands espaces. Se sentir à l'aise dans la nature m'a donné la confiance d'être qui je suis, pas qui les autres veulent que je sois.

Le Hopepunk est un esprit ou une humeur. Ce n'est pas une chose réelle. C'est un sentiment. C'est le concept scandinave de «hygge» ou de «confort» de l'esprit. C'est un concept chaleureux, heureux, charmant et édifiant qui vous laisse avec une sensation floue dans votre ventre.

En tant que patron des Nations Unies du désert, l'un de mes rôles est de se présenter des sauvages restants de la Terre et d'agir comme une voix pour la nature.

Je suis très fier de ramer l'océan Atlantique.

J'ai échoué à mes examens et à mon test de conduite. Je n'ai pas réussi à entrer dans le Foreign Office and Drama School. Le Big F était dominant dans mes premières années.

Michael Palin et Paul Theroux sont mes icônes itinérantes. J'ai un faible pour Joanna Lumley. J'adorerais aller à l'aventure avec elle.

J'ai vu de première main les conséquences dévastatrices du braconnage. J'ai vu des éléphants avec de l'ivoire piraté de leurs visages et les longueurs de parcs privés vont pour protéger leur faune précieuse.

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