William Thomas Hader Jr., dit Bill Hader, est un acteur, scénariste et producteur de cinéma américain, né le 7 juin 1978 à Tulsa (Oklahoma).

J'ai beaucoup appris à regarder les gens jouer.

La nature de «SNL» est qu'elle est tellement dans le moment.

Mon père était un grand fan de Frank Zappa, donc je me souviens avoir écouté beaucoup de Frank Zappa. Les filles n'aiment pas Frank Zappa.

L'idée d'un groupe de Chicago qui voulait chanter des chansons sur la Californie est vraiment drôle. N'ayant jamais été en Californie.

J'étais toujours conscient du fait que je n'avais pas autant d'expérience de comédie que d'autres personnes de «SNL» et je n'arrêtais pas de penser qu'ils allaient réaliser qu'ils avaient fait une erreur en m'embauchant.

Aux États-Unis, c'est comme, vous commencez par un excellent script, puis sur le plateau - pas tout le monde, mais certainement dans le groupe Apatow - vous partez et vous improvisez à la caméra. Donc, pendant que vous êtes à la caméra, vous dites des choses que personne d'autre n'a jamais entendues auparavant lors de la prise réelle.

Il y a des femmes vraiment drôles à «SNL», mec.

J'aime regarder Kate McKinnon faire quelque chose - il y a une joie de voir un nouveau déménagement de quelqu'un et de dire: «Oh, elle peut faire ça.

Je ne suis pas fan des Eagles, mais j'ai regardé leur documentaire à plusieurs reprises et tous ceux qui l'ont regardé avec moi ont chanté aux chansons, à ma grande consternation.

Je suis le seul à Tulsa, Oklahoma, qui a le projet final sur mon ordinateur. Ensuite, vous vous présentez et allez dans n'importe quel café à L.A., et il y a une centaine de personnes avec votre âge avec le projet final.

Curieusement, j'ai une très mauvaise peur de la scène - me lever devant les gens. Et j'ai gagné ma vie en direct à la télévision en direct.

Ma vie est différente depuis que je suis retourné à L.A. depuis New York, principalement parce que j'ai une famille et que je ne sors pas.

Si un gars n'aime pas une fille drôle, quelque chose ne va pas avec lui.

Vous apprenez rapidement à «SNL», vous avez des ennuis si vous vous comparez à d'autres personnes, où ils sont ou ce que les autres avaient fait avant vous.

Souvent, je pense que les gens, quand ils font un film familial, s'inquiètent que ce soit trop ésotérique ou trop sombre ou trop bizarre.

J'ai grandi avec mes deux sœurs et ma mère, donc c'est mon sort dans la vie d'être entouré de femmes.

J'étais assistant de production dans le département du poste de «la vie surréaliste». Et il a été signalé auparavant que j'étais rédacteur en chef adjoint de «The Surreal Life». Ce n'est pas vrai.

Il y a un film intitulé «Pod People» qui a un étrange petit extraterrestre antiater. C'était un bon étranger.

Je ne vais jamais dire: "Eh bien, je ne ferai plus jamais de comédie." J'adore les comédies, et c'est pour cela que les gens me connaissent, donc j'adore le faire ... Je n'y pense pas vraiment en termes de «eh bien, je devrais le faire parce que c'est de la comédie ou du drame».

Aller dans n'importe quel endroit fort est terrible pour moi. Je suis mauvais dans les restaurants bruyants.

Avant d'arriver à «SNL», vous avez votre propre sensibilité. Et quand vous arrivez à «SNL», c'est la sensibilité de l'émission.

Je reçois beaucoup de migraines. Je les comprends quand je suis stressé. Mon cerveau se fige et j'essaie juste de passer à travers cela.

Vous savez quoi, je me souviens avoir fait partie de mon équipe T-Ball et parler aux gens du «peloton».

Mon père est de là-bas, et j'ai des parents là-bas, mais je ne pense pas que je suis allé à Chicago depuis que j'ai 9 ans.

J'étais dans l'écriture et la réalisation. J'étais un peu un acteur réticent. Je demandais toujours aux amis de tourner ou de diriger leurs films, mais ils voudraient que je sois en eux.

Il s'avère que la dactylographie est une chose réelle.

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