Je voulais faire de Jérusalem comme long métrage. Mais nous ne pouvions pas le financer uniquement par libération théâtrale, nous ne pouvions pas obtenir tout l'argent dont nous avions besoin. Nous avons dû obtenir de l'argent de la télévision. Nous avons donc dit, OK, faisons-le dans les deux sens. Nous l'avons donc fait en quatre parties.

Dès le début, nous étions préparés, nous savons comment nous tirerions et couperions les deux versions.

Nous avons beaucoup parlé des meilleures intentions et de la façon dont nous pourrions tirer certaines scènes de différentes manières avec des morceaux de dialogue et d'informations légèrement différents, afin que plus tard, nous pouvions couper la pièce plus facilement et cela se sentirait toujours complet, même s'il était plus court.

Ce fut un rêve majeur devenu réalité. À bien des égards, Jérusalem est une histoire très moderne et importante sur les gens dans une période de transition, avec toutes les troubles qui imprègne la société à la veille d'un nouveau siècle. Les grands problèmes de vie sont en jeu.

Le roman est une étude pénétrante de la morale et de l'éthique.

Elle est également amenée à un point de zéro au début de l'histoire, et je pense que vous pouvez dire cela à propos de beaucoup de mes films en ce qu'ils concernent souvent des gens qui sont amenés au point de zéro au début du film .

C'était en fait l'idée de Peter que je devais faire le film. Il m'a appelé au tout début, et je n'avais même pas lu le livre. Alors je l'ai lu et je l'ai beaucoup aimé et je savais que je voudrais certainement le faire.

J'ai passé près de 3 mois avec Bergman, quatre heures chaque après-midi. Nous nous sommes assis et avons traversé tout le script. Pour être honnête, la plupart du temps, nous avons parlé de la vie et d'autres choses différentes. C'était vraiment un moment merveilleux.

Il considère la version théâtrale de Fanny et Alexander une version amputée de ce qu'était son film original, et il n'aime pas vraiment le film plus court.

Je m'intéressais surtout en tant que film théâtral. Personnellement, je ne suis pas si intéressé par la télévision, simplement parce que je ne regarde pas la télévision moi-même. Je suis dans les films.

La grande différence est la taille de l'équipage et la flexibilité du tir en raison de la taille. Je veux dire, c'est fou. Vous ne pouvez donc pas improviser, vous ne pouvez pas soudainement faire quelque chose qui vous vient à l'esprit, alors que dans une petite production, vous avez beaucoup plus de flexibilité.

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