Avec sa chevelure peroxydée et sa fougue rebelle, Billy Idol est resté une icône du rock'n'roll.
De son enfance en Angleterre à sa gloire au moment de la révolution punk-pop, cette autobiographie révèle les détails intimes de son parcours. Il se souvient des moments clés qui ont marqué son parcours, sa musique et sa carrière, dans le sillage des Sex Pistols ou ses années passées avec les groupes punks Chelsea et Generation X.
Mais aussi, sa carrière solo, inattendue et pourtant couronnée de succès, avec des titres tels « Eyes Without a Face », « White Wedding » ou « Rebel Yell ».
Billy Idol se confie avec le panache, l'envie furieuse  avec laquelle il a chanté pendant des décennies. Et tout en se faisant le chroniqueur insolent, impertinent et lucide de sa propre carrière, c'est toute l'histoire du rock qu'il embrasse, dans un hommage vibrant et électrique.

Drugs, sex & rock n'roll

Avec sa chevelure peroxydée et sa fougue rebelle, Billy Idol est resté une icône du rock'n'roll. De son enfance en Angleterre à sa gloire au moment de la révolution punk-pop, cette autobiographie révèle les détails intimes de son parcours. Il se souvient des moments clés qui ont marqué son parcours, sa musique et sa carrière, dans le sillage des Sex Pistols ou ses années passées avec les groupes punks Chelsea et Generation X. Mais aussi, sa carrière solo, inattendue et pourtant couronnée de succès, avec des titres tels « Eyes Without a Face », « White Wedding » ou « Rebel Yell ». Billy Idol se confie avec le panache, l'envie furieuse avec laquelle il a chanté pendant des décennies. Et tout en se faisant le chroniqueur insolent, impertinent et lucide de sa propre carrière, c'est toute l'histoire du rock qu'il embrasse, dans un hommage vibrant et électrique.

Drugs, sex & rock'n'roll

William Broad, dit Billy Idol, né le 30 novembre 1955 à Stanmore (Middlesex), est un chanteur et musicien de rock britannique.
Il rejoint brièvement le groupe Siouxsie and the Banshees en 1976 avant d’intégrer comme guitariste en 1977 le groupe punk Chelsea, qui deviendra Generation X après le départ de son leader Gene October (en) dont il récupère la place de chanteur-leader. Dans les années 1980, après la séparation du groupe, il entame avec succès une carrière solo internationale dans un style plus new wave.

Je ne pense pas que le punk décède jamais vraiment, car l'attitude punk rock ne peut jamais mourir.

Tes yeux vides semblent me passer et me laisser danser avec moi-même.

Mes cheveux étaient très longs et mes parents étaient encouragés lorsque je les coupe. Ils pensaient que j'allais «droit», mais je devenais juste plus étrange - du moins à leurs yeux. J'allais dans le truc punk.

Lorsque l'autre homme n'en a pas, vous n'avez pas besoin d'un pistolet.

Si je n'en avais que l'occasion, je demanderais à une danse et je danserais avec moi-même.

Je me fiche de quelle étape ou de quelle raison, tant que nous jouons.

Faisons une autre boisson, car cela me donnera le temps de réfléchir.

Marchez avec des électro-gliures sur la route bleue.

Je pense que l'amour est excitant et heureux, tout en étant capable de vous rendre triste.

Mon père était l'une des raisons pour lesquelles je suis entré dans le rock and roll, parce que j'apprenais les cordes de son entreprise, qui vendait PowerTools, et je cherchais un moyen de sortir sous son talon. Je me disais: «Où est le plaisir? Où est le glamour?

Le rock n'est pas de l'art, c'est ainsi que les gens ordinaires parlent.

Une partie de l'attitude punk était que vous devriez projeter votre musique à travers tout votre corps ... Montrez votre personnalité autant que possible.

Je n'essaye pas de me cacher de mon passé. Je veux y rouler. Comme un chien, roulant dans des excréments, je roule dans les excréments de mes plus grands succès - c'est un peu une façon sauvage de le regarder, mais je suis un homme, et nous aimons parfois rouler dans nos propres excréments.

Eh bien, il n'y a rien à perdre et il n'y a rien à prouver que je vais danser avec moi-même.

Elvis A Fight the Dying Light, Johnny Ray Il pleure toujours.

Ils ne joueraient pas mes disques sur American Radio parce que j'avais des cheveux épineux. Ils ont dit: «Le punk rock ne vend pas de publicité, cela ne gagnera pas d'argent».

La plus grande idée fausse que les gens ont à mon sujet est que je suis stupide.

C'est comme, ce qui s'était passé, je me dirigeais toujours la mode, puis le truc du grunge est venu. Et parce que j'ai été tellement en tête dans les années 80, vous savez, moi, vous savez, que puis-je faire? Vous allez soudain grunge?

Je suis vraiment une personne romantique, et j'aurais dû mettre cela dans ma musique plus tôt, mais je le nie probablement ... Je ne voulais pas être doux parce que je sentais que je devais être si difficile d'amener les gens à crois en moi.

Peu importe de l'argent; l'avoir, ne pas l'avoir. Ou avoir des vêtements ou ne pas les avoir. Vous êtes toujours laissé seul avec vous-même à la fin.

Un tel déchet humain, vos yeux sans visage.

Je suis vraiment chanteur, donc j'aime les chansons et j'aime chanter. J'aime la musique rap, mais je n'ai pas grandi en freestyling.

Il fut un temps où toute ma vie était dans le chaos, vraiment, et je ne me suis pas aidé à le régler. Mais un jour, je suis revenu à mes esprits, et je pense que j'ai eu de la chance parce que beaucoup de gens ne le font pas.

Je ne parle pas avec un accent américain. Je ne suis pas parti et je suis devenu Sammy Hagar.

Quand j'ai commencé, tout le monde semblait adopter ces noms ... Johnny Rotten, Sid vicieux. Je n'étais pas vraiment pourri, ou vicieux ou méchant, donc je voulais quelque chose d'un peu plus drôle - pourtant quelque chose qui semblait vraiment rock 'n' roll ... quelque chose qui a reconnu mon ambition.

Si votre monde ne vous permet pas de rêver, passez à celui où vous le pouvez.

J'adore quand quelqu'un m'insulte. Cela signifie que je n'ai plus besoin d'être gentil.

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