Une taxe forfaitaire est à peu près la même qu'une taxe de vente.

Comme le grand naturaliste Charles Darwin le voyait clairement, les intérêts individuels et collectifs coïncident souvent, comme dans le récit de la main invisible. Mais il a également vu que dans de nombreux autres cas, les intérêts aux deux niveaux sont carrément en conflit et que dans ces cas, les intérêts individuels l'emportent généralement. Cette simple observation suggère que l'échec du marché est souvent le résultat non d'une concurrence insuffisante (la charge traditionnelle des critiques sociaux de gauche), mais de la logique même de la concurrence elle-même.

Depuis la Grande Dépression, les économistes savent que les pénuries de demande ont tendance à persister à la suite de crises financières graves comme celles qui se sont produites en 1929 et 2008.

Pratiquement toutes les familles au milieu de la distribution des gains aspirent à envoyer leurs enfants dans une école de qualité au moins moyenne. (Nous pensions mal à tout parent dont les aspirations étaient plus faibles.) Le frottement est que les meilleures écoles ont tendance à être situées dans des quartiers plus chers.

Le résultat est que pour envoyer ses enfants à une école de qualité moyenne, une famille doit surenchérir la moitié d'autres familles similaires qui poursuivent le même objectif. Et cela est devenu considérablement plus cher en raison de la croissance de la taille médiane de la maison, qui a été à son tour causée par des dépenses plus élevées au sommet.

Rien n'indique que les familles à revenu intermédiaire se sentent pleines de ressentiment sur les plus grandes demeures et les yachts. Mais les quasi-riches, dont les cercles sociaux se croisent ceux des riches, sont subtilement influencés par eux.

Une fois que les entreprises ont dû payer pour polluer, elles sont devenues incroyablement inventives pour trouver des moyens moins chers d'éliminer leurs émissions de SO2.

Les routes commerciales dans les communautés qui manquent de lois de zonage, par exemple, sont souvent un cauchemar esthétique non pas à cause de la concurrence insuffisante, et non parce que les commerçants sont stupides ou manquent de goût. Le problème est plutôt que le signe de tout marchand individuel ne sera pas remarqué à moins qu'il soit plus grand et plus criard que ceux des marchands rivaux.

Chaque groupe dépense plus lorsque ses revenus augmentent.

Dans presque tous les cas, les objectifs de la qualité de l'air et de l'eau ont été atteints à moindre coût et rapidement lorsque nous avons imposé une pollution que lorsque nous avons essayé de le réglementer directement.

À long terme, un plus grand investissement signifierait une plus grande productivité et croissance des revenus.

Les réglementations normatives, telles que dire aux services publics d'électricité quels types de charbon brûler ou quels types d'épurateurs à installer sur leurs cheminées, étaient non seulement intrusifs, ils étaient également largement inefficaces.

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