The position of Ancient Egypt was unique, not in one, but in every sense. To begin at the very foundation of life in that country, we find that the soil was unlike any other on earth in its origin. Every acre of fruitful land between the first cataract and the sea had been brought from Inner Africa, and each year additions were made to it. Out of this mud, borne down thousands of miles from the great fertile uplands of Abyssinia by rivers, grew everything needed to feed and clothe man and nourish animals. Out of it also was made the brick from which walls, houses, and buildings of various uses and kinds were constructed. Though this soil of the country was rich, it could be utilized only by the unceasing co-ordinate efforts of a whole population constrained and directed. To direct and constrain was the task of the priests and the pharaohs.

Never have men worked in company so long and successfully at tilling the earth as the Egyptians, and never has the return been so continuous and abundant from land as in their case.

The Nile valley furnished grain to all markets accessible by water; hence Rome, Greece, and Judaea ate the bread of Egypt. On this national tillage was founded the greatness of the country, for from it came the means to execute other works, and in it began that toil, training, and skill indispensable in rearing the monuments and doing those things which have made Egypt famous forever, and preserved to us a knowledge of the language, religion, modes of living, and history of that wonderful people who held the Nile valley.

The Pharaoh and the Priest

En ce XIe siècle avant notre ère, le quatrième fils du pharaon Ramsès XII reçoit en héritage la promesse du trône de Haute et Basse-Egypte. Humbles et puissants se réjouissent : ce jeune homme de vingt-deux ans est "robuste comme le boeuf Apis, courageux comme un lion et sage comme les prêtres eux-mêmes". Lourde charge toutefois pour ce fougueux chef de guerre que l'avenir d'un empire en déclin, menacé sur ses frontières, dont les richesses sont canalisées au profit du Temple et qui sécrète ses propres venins dans les coulisses du pouvoir. Malgré l'aide de ses fidèles amis - Tutmosis, son cousin ; Patrocle, le chef des armées ; Hiram, le banquier phénicien et Pentuer, son guide spirituel -, celui qui fait désormais figure de réformateur sera bien souvent déchiré entre sa volonté et les affaires de l'Etat.

Le pharaon

En ce XIe siècle avant notre ère, l’erpatrès Cham-Semmerer-Amen Ramsès reçoit en héritage la promesse du trône de Haute et Basse-Égypte.Lourde charge pour ce jeune et fougueux chef de guerre que l’avenir d’un empire en déclin, menacé sur ses frontières, et qui secrète ses propres venins dans les coulisses du pouvoir.Nous voici entraînés dans l’aventure de celui qui fait désormais figure de réformateur et qui déjà s’oppose à l’emprise tentaculaire du clergé d’Amon sur le pays.À travers le combat du jeune pharaon dans une Égypte déchirée entre les privilèges d’une caste et l’éveil d’un peuple asservi, Boleslaw Prus évoque le destin de la Pologne de son siècle, en même temps qu’il compose le premier et l’un des plus beaux romans historiques sur l’Égypte.

La Pharaon

Bolesław Prus, pseudonyme de Aleksander Głowacki Prus, né le 20 août 1847 à Hrubieszów et mort le 19 mai 1912 à Varsovie, est un écrivain et journaliste polonais, peintre de mœurs de son époque et l'un des meilleurs romanciers du positivisme polonais.

L'homme a de tels moments dans sa vie qu'il aime s'entourer d'objets qui ressemblent à la tristesse.

Nul n'est exempt de peines ni de soucis... Nul ne passe sa vie sans rencontrer de vicissitudes. L'homme naît et meurt dans les larmes.

Celui qui a la force entre les mains a le monde à ses pieds.

L'invisible araignée de la mélancolie étend toujours sa toile grise sur les lieux où nous fûmes heureux et d'où le bonheur s'est enfui.

Ne pensez pas au bonheur. Si cela ne vient pas, il n'y a pas de déception; Si cela vient, c'est une surprise.

Il se commet de grands crimes dans le monde ; mais peut-être le plus grand est-il de tuer l'amour.

Parfait la volonté, l'esprit, le sentiment, leurs organes corporels et leurs outils matériels; être utile à vous-même, à vos propres et aux autres; Et le bonheur, dans la mesure où il existe sur cette terre, viendra de lui-même.

L'amour a besoin de temps et de liberté pour s'épanouir

La colère n'est pas soeur de la justice.

De tous temps les faibles ont fait les frais de conflits entre les forts.

La sagesse vaut mieux que la force. L'éléphant est cent fois plus fort que l'homme, et pourtant celui-ci le vainc...

La folie est aussi grande que la mer, elle compasse tout.

Pour la nature humaine, c'est étrange: moins nous sommes enclins à se sacrifier, plus nous insisons sur les autres.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Boles%C5%82aw_Prus

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