Boris Sidis
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La science est la description des phénomènes et la formulation de leurs relations.
Boris Sidis
Auteur
Boris Sidis, né le 12 octobre 1867 à Berdytchiv (Ukraine) et mort le 24 octobre 1923 à Portsmouth (États-Unis), est un psychologue, psychiatre et médecin ukrainien.
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Citations
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Pas un but mais le hasard est au cœur de la vie mentale.
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Les superstitions, et en particulier la culture précoce de la religion, avec sa «peur du Seigneur» et des agences mystérieuses inconnues, sont particulièrement puissantes dans le développement de l'instinct de la peur. Même la culture précoce de la moralité et de la conscience, avec leurs peurs du bien et du mal, provoque souvent des états psychonévrotiques plus tard dans la vie. Les tabous et superstitions religieux, sociaux et moraux, associés à l'appréhension de la menace du mal imminent, basé sur l'instinct de peur, forment les germes des affections psychopathiques.
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La synthèse mentale du contenu psychique dans l'unité d'un moment-conscience est un principe fondamental de la psychologie.
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La principale source de maladies psychopathiques est l'instinct fondamental de la peur avec ses manifestations, le sentiment d'anxiété, d'angoisse et d'inquiétude.
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Le rire social est momentané, se brûle bientôt et décède comme le feu et fume de la paille, mais le génie secoue le ciel même avec son rire durable et inextincatif.
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L'auto-préservation est l'objectif central de toutes les activités de vie.
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La suggestibilité varie comme la quantité de désagrégation et inversement comme l'unification de la conscience.
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Les superstitions, et en particulier la culture précoce de la religion, avec sa «peur du Seigneur» et des agences mystérieuses inconnues, sont particulièrement puissantes dans le développement de l'instinct de la peur. Même la culture précoce de la moralité et de la conscience, avec leurs peurs du bien et du mal, provoque souvent des états psychonévrotiques plus tard dans la vie. Les tabous et superstitions religieux, sociaux et moraux, associés à l'appréhension de la menace du mal imminent, basé sur l'instinct de peur, forment les germes des affections psychopathiques.
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La psychologie doit postuler l'uniformité de l'interrelation des processus physiques, physiologiques et psychiques.
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Les institutions humaines dépendent de leur existence et de leur stabilité à l'égard de l'impulsion de l'auto-préservation et de son proche associé, - l'instinct de peur.
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La tendance de la vie n'est pas la préservation de l'espèce, mais uniquement la préservation de chaque organisme individuel, tant qu'elle existe, et est capable de poursuivre ses processus de vie.
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L'homme de génie, que ce soit en tant qu'artiste ou penseur nécessite une masse de variations accidentelles pour sélectionner et un processus d'attention rigidement sélectif.
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Le principe de reconnaissance du mal sous toutes ses formes est à la base de la véritable éducation de l'homme.
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Les superstitions, et en particulier la culture précoce de la religion, avec sa «peur du Seigneur» et des agences mystérieuses inconnues, sont particulièrement puissantes dans le développement de l'instinct de la peur. Même la culture précoce de la moralité et de la conscience, avec leurs peurs du bien et du mal, provoque souvent des états psychonévrotiques plus tard dans la vie. Les tabous et superstitions religieux, sociaux et moraux, associés à l'appréhension de la menace du mal imminent, basé sur l'instinct de peur, forment les germes des affections psychopathiques.
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Le fait que la psychologie postule un monde matériel externe et l'étudie dans la mesure où il se reflète dans la conscience, souligne un autre postulat que la psychologie doit supposer en outre, à savoir l'existence d'une conscience intérieure du monde.
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L'hypothèse psycho-physiologique est à la fois inductive et déduction la condition sine qua non de la science de la psychologie.
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Les superstitions, et en particulier la culture précoce de la religion, avec sa «peur du Seigneur» et des agences mystérieuses inconnues, sont particulièrement puissantes dans le développement de l'instinct de la peur. Même la culture précoce de la moralité et de la conscience, avec leurs peurs du bien et du mal, provoque souvent des états psychonévrotiques plus tard dans la vie. Les tabous et superstitions religieux, sociaux et moraux, associés à l'appréhension de la menace du mal imminent, basé sur l'instinct de peur, forment les germes des affections psychopathiques.
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La reconnaissance, le diagnostic et la préservation des individus psychopathiques expliquent l'augmentation apparente des neurotiques dans les communautés civilisées.
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Si la société doit progresser sur une base véritablement humaniste, sans être soumise à des épidémies mentales et à des maladies sociales virulentes auxquelles le subconscient tombe une victime facile, la conscience personnelle de chaque individu devrait être cultivée au plus haut degré possible.
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Le cours de l'évolution est à une plus grande intégration de ganglions fonctionnels similaires.
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Si la société doit progresser sur une base véritablement humaniste, sans être soumise à des épidémies mentales et à des maladies sociales virulentes auxquelles le subconscient tombe une victime facile, la conscience personnelle de chaque individu devrait être cultivée au plus haut degré possible.
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La psychologie est la science des États psychiques à la fois quant au contenu et à la forme, considérés d'un point de vue objectif, et apportés à l'individu corporel vivant.
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La tendance générale de l'évolution est de la structure au fonctionnement, de la servitude à la liberté des éléments individuels.
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