Garrett Clark Borns, mieux connu sous le nom de scène Børns, stylisé BØRNS est un chanteur américain de Grand Haven, Michigan né le 7 janvier 1992.

J'ai grandi avec une grande cour qui a conduit aux dunes de sable du lac Michigan.

J'aime vraiment les lieux intimes parce que j'ai l'impression que tout le monde dans le public est dans toutes nos blagues intérieures.

Mes influences vocales sont beaucoup de chanteurs de jazz: Billie Holiday, Julie London, ils avaient cette tendresse à leur voix.

La performance est un échange de beaucoup d'énergie et il peut vous effacer.

Quand je grandissais, il y avait quelques musiciens qui auraient des concerts réguliers dans les restaurants, et j'ai toujours pensé que c'était tellement cool et inattendu comment ils se produiraient spontanément. Étant l'enfant ambitieux que j'étais, je suis monté et je l'ai vraiment étudié. J'étais tellement inspiré par ça.

Il y a de belles choses à propos de Tour - vous voyez le monde, diffusant de la musique et je suis capable d'appeler cela ce que je fais. Mais il s'agit de vivre à la légère et d'abandonner les choses.

Quand j'ai écrit «Dopamine», j'étais tellement amoureux de Los Angeles et enfin de la musique qui m'a vraiment excité.

L'écriture de chansons elle-même, je ne pense pas que vous puissiez vraiment enseigner cela.

Une grande partie de mon cœur se trouve dans le Michigan et y restera toujours. Le fait d'avoir grandi dans cette région a sans aucun doute joué un rôle important dans la personne que je suis.

Je vais toujours faire des courses où je suis.

J'aime beaucoup l'écriture de chansons de style des années 60 ou 70.

Beaucoup de mes chansons sont inspirées par une sorte de muse, qu'elle soit réelle ou non.

J'aime juste le cours d'obstacle pour trouver quelque chose.

Beaucoup de gens pensent que je suis une nana. Cela se produit le plus dans les aéroports. Les hôtesses de l'air diront toujours : "Bon vol, Mme Borns". Ce doit être les cheveux.

J'ai le luxe d'avoir le choix de jouer et de monter sur scène tous les soirs.

Je ne me lave pas les cheveux aussi souvent, pour être honnête.

J'avais un groupe quand j'étais au collège, mais j'étais le batteur. Je pensais en quelque sorte que si j'allais être dans un groupe, je serais le batteur. Je suis intrinsèquement attiré par le rythme. Mais nous n'avons eu aucun spectacle. Nous avons juste coincé dans le sous-sol de nos parents.

C'est très facile en studio de devenir trop zélé avec vos prises vocales, en pensant: «Oh oui, je peux le faire encore et encore. Je peux chanter au sommet de ma gamme pour toute cette chanson. Mais quand vous le faites tous les soirs sur la route, c'est assez intense.

J'ai grandi en regardant «The Tonight Show» et Jimmy Fallon sur «SNL».

J'aime la façon dont la musique peut être mal comprise.

J'aime parfois acheter des livres dans les aéroports.

J'aime vraiment Colin Blunstone, le chanteur principal des Zombies.

C'est la pire et la meilleure chose d'être en studio, de se sentir complètement perdu et de ne pas savoir comment mettre la touche finale sur quelque chose. Mais une fois que vous l'avez trouvé, il n'y a rien de tel que ce sentiment.

Non, je ne pense pas que l'écriture de chansons soit émotionnellement difficile - j'ai l'impression que c'est presque un moyen de trier vos émotions et de les mettre là-bas.

Mon premier CD a commencé comme un projet de studio et j'enregistre tout avec un autre gars, donc je n'avais pas de groupe. C'est comme ça que j'aime le faire, cependant. J'aime le créer avec une autre personne, ce gars, Tommy English, qui produit tout. Et puis je sors sur la route avec un groupe qui l'interprète en direct.

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