Jerry Fletcher, chauffeur de taxi new-yorkais, sympathique mais un peu perturbé, voit des complots partout et publie même pendant ses heures de loisirs une petite revue ronéotée sur le sujet.
Il voudrait bien convaincre la séduisante Alice Sutton, procureur au ministère de la justice, de l'exactitude de ses théories. Hélas, celle-ci ne croit pas un mot de ce qu'il lui raconte. Jusqu'au jour où Jerry, enlevé et torturé par le mystérieux Jonas, réussit miraculeusement à échapper à ses tortionnaires.
Le déploiement de forces mis en oeuvre par la CIA et le FBI pour retrouver un innocent chauffeur de taxi paraît soudain un peu suspect. Y aurait-il quelque chose de juste dans une de ses invraisemblables théories ? Alice décide de l'aider sans savoir que son existence va en être bouleversée...

Complots - Occasion

Brian Helgeland  est un réalisateur et scénariste américain, né le 17 janvier 1961 à Providence (Rhode Island).

J'étais dans une librairie un après-midi, et je suis tombé sur ce livre intitulé «A Guide to Film Schools». J'ai toujours aimé les films en grandissant et je n'avais même jamais conçu que c'était quelque chose que vous pouviez faire pour gagner votre vie. Réalisant que la plupart d'entre eux étaient à Los Angeles et sachant que c'était chaleureux, j'ai fini par postuler.

Il y a beaucoup d'écrivains qui vont devenir réalisateurs après leur prochain emploi, mais personne ne croira que vous êtes un réalisateur à moins que vous ne le croyiez.

J'ai travaillé aussi dur pour écrire le pire film de l'année que je l'ai fait pour écrire le meilleur film de l'année.

D'après ma propre expérience, les scripts que j'ai écrits, s'ils ne sont pas allés dans les deux ans et sont devenus un film, ils ne sont jamais allés et personne n'est jamais venu les chercher.

Le dialogue du film est un dialogue de films. Cela peut sembler réel, mais personne ne parle de cette façon.

J'écris des drames d'action cotés R, et chaque année qui se passe, cela devient un monde de plus en plus petit dans lequel vous devez travailler. Vous devez penser à la façon de faire exciter le studio et de les vendre quelque chose.

Je sais que beaucoup de réalisateurs ont tout un personnel de personnes qui essaient de trouver leur prochain film pour eux. Je finis toujours par écrire le mien.

Je pense que Cool Hand Luke était probablement le premier film dans lequel je connaissais l'écriture comme sa propre chose séparée. C'était ce discours lorsque le gars lit Paul Newman The Riot Act. Le discours sur la boîte dans la boîte.

Je n'écris pas vraiment en pensant aux acteurs vivants. Je suppose que j'écris pour des acteurs morts. Je vais penser comme, vous savez, Burt Lancaster serait bon dans cette partie, et ainsi de suite. Avec 'L.A. Confidentiel, «C'était comme», ne serait-ce pas cool si Dean Martin jouait la partie Kevin Spacey?

Je ne suis pas comme un catalogue d'idées Sears. Je n'ai pas autant d'idées. Je les ai plus ou moins écrits au fil des ans. Habituellement, je trouve une situation ou un personnage, et cela secoue dans ma tête jusqu'à ce que l'histoire ou l'intrigue émerge.

C'est une chose tellement égoïste de pouvoir rester là et dire: «Action! C'est comme être un petit mini-Dieu.

Je pense toujours que toutes les circonstances peuvent être drôles. Non pas que je sois irresponsable, mais quand les choses tournent mal, je trouve toujours une blague ou je pense à quelque chose de drôle à dire.

Si je suis dans la librairie et que je vois un roman de 700 pages, ma première pensée est, OOH, comment pourriez-vous réduire cela à la taille et en faire un film?

Je pense que l'écriture est une chose difficile et vous devez souffrir un peu, même si c'est juste pour rester là et penser à ce que vous êtes un idiot et comment quelqu'un d'autre pourrait faire cela mieux que vous.

Si vous écrivez un original, c'est comme si vous étiez entré et creusé un puits et que vous frappez de l'huile. Mais une adaptation, c'est comme les puits d'huile en feu, et ils vous amènent pour éteindre le feu et le faire fonctionner à nouveau - ou quelque chose comme ça.

Je pense que lorsque je commence à écrire, j'essaie toujours d'écrire la version du film que je veux aller voir. Je ne le pense pas d'une manière qui ignore le public, mais j'ai vraiment décidé de faire un film que je veux voir et que, j'espère que d'autres personnes voudront aller le voir. Donc, quoi que ce soit amusant pour moi, je suppose, je jette le tout là-dedans.

C'est toujours une fois que le script est terminé au cours des deux premières années si cela ne se déroule pas d'une manière ou d'une autre, je n'ai jamais eu de vieux script que quelqu'un a fait plus tard.

Autant que j'aime les films d'époque et surtout plus de films de cape, je pense que parfois ils ont tendance à l'être, umm ... il est difficile pour le public de se rapporter à eux.

Le studio dépense de grandes sommes d'argent, et ils veulent une assurance, ils récupéreront de l'argent. Ils optent pour le milieu de la route, large en appel. C'est restrictif. C'est une lutte constante, mais si vous cédez, vous faites juste du fromage cottage, et c'est la fin.

Si je suis dans la librairie et que je vois un roman de 700 pages, ma première pensée est: "Ooh, comment pourriez-vous couper cela à la taille et en faire un film?"

Vous pouvez écrire tout ce que vous voulez sur le papier, comme faire sauter le pont sur la rivière Kwai, mais quand vous devez vraiment le faire en tant que réalisateur, ce n'est pas la même chose. Quatre-vingt-dix pour cent de la mise en scène n'est pas créatif - cela met le théorique dans le monde pratique.

En échange de dix ans d'être au top, je vais finir en prison ou je vais finir, et il y a quelque chose de fascinant à ce sujet.

Il est normal de mentir tant que vous atteignez une vérité plus élevée en le faisant.

C'est aussi ennuyeux de voir un méchant complètement maléfique que de voir un gars complètement bon.

Travailler sur une adaptation n'est pas aussi satisfaisant, car ce n'est pas votre travail original: vous interprétez. Avec 'L.A. Confidentiel, «J'ai adoré le livre. Dans ce cas, je sentais que j'étais gardien de l'œuvre, restant aussi fidèle au roman que possible. Depuis, j'ai rencontré le romancier, et il aime le film et le script.

Je pense qu'il y a quelque chose d'étrange dans l'écriture d'un script que j'ai écrit beaucoup, beaucoup de scripts - des dizaines et des dizaines de scripts - et chaque fois que j'en commence un, je me pense: `` Pourquoi dans le monde je pense que je sais comment faire ça ?

https://fr.wikipedia.org/wiki/Brian_Helgeland

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